Poèmes, écrits et citations personnelles

[sylvitara]

salut 'ti bob,

 

en quelques lignes , t'es gentil,

je me suis trouvée longue et à la limite !............ chiante !

 

mais c'est dit parce que je le pense !

 

à toi

[cyrilcvcf]

Parfois, je hais ce soleil qui brille et ces gens qui sourient et qui sont les même qui vous tirent dans le dos ! Ce monde est si cruel avec la vie, avec moi, pourquoi notre passage, surtout le mien ne pourrait être plus court, pourquoi tant de temps doit s'écouler entre deux stades extrêmes ! Et alors que je passe, tears roll down on my eye has I'm thinking about some of those things. (pardon, parfois je pense en anglais, inspiration d'origine musicale sans doute !)tout cela est confus et compliqué et quand tout à coup le mieux semble survenir, PAF une grande baffe dans la gueule vous arrive, vous secoue et vous renvoie au tapis ! Et comme tout va mal, le chien d'à côté viens vous pisser dessus quand vous êtes à terre et son propriétaire vous envoie un de ces coups de latte dans les parties, que vous voilà OUT pour le compte !

 

Saloperie de vie, quand elle peux vous enlever le sourire sur la tronche que vous avez eut l'impudence d'afficher cinq minutes, elle ne se prive pas de vous infliger une sentence digne de la bible ! Et la litanie de ses souvenirs impérissables remplie le bottin de la Chine entière, tout n'est qu'une succession de longue souffrance et pourtant vous voyez parfois le bout du tunnel, mais comme l'arc en ciel, vous n'en trouvez pas le pied ! And sometimes bad beat comes to you by remembering sad trip !

 

Oh P.... comme j'aimerais mieux être ailleurs que ce monde pourri et cette inutile durée qui nous est important, n'aurais-je pu avoir un condensé ?!

 

 

 

 

 

 

 

Désolé, j'suis pas très joyeux ce soir, mais ça m'a fait du bien d'écrire ces mots sortis de ma tripaille !

[Invité Bob917]

http://forum.zebulon.fr/index.php?showtopi...t&p=1076614

[cyrilcvcf]

Avis : avant de lire ce poème en prose, sachez que certains mots ou tournure de phrases sont un peu crus voire vulgaires ! Mis ça exprime bien ce que je voulais dire ! Mais ça ne reste que de la poésie imagée, et pas très gai !

"Si la censure veux bien laisser mon texte en intégralité", Modos, je vous remercie !

 

LA VIE

 

La vie est une pute,

elle te fait trimer,

c'est TA vie,

mais tu dois la gagner

pour l'entretenir !

Jamais de cadeau elle ne te fait.

Tout est chèrement acquis ;

chaque heure, chaque minute, chaque seconde est un long chemin de croix

mai toujours, elle te laisse le cœur au bord des lèvres.

La vie est une chienne,

mais elle est infidèle :

tu voudrais être heureux,

elle t'enfile

tuile par tuile

qui sur la gueule te tombent.

Tu est triste

et bien elle t'enfonce encore,

elle te défonce et t'emmène au plus profond

de l'abime, le tréfonds du coltard

où tu ne 'écrase pas,

cela serait trop facile !

Non, pour toi elle a prévu d'autres choses

cette sale garce !

Elle t'arrache

tes tripes, tes boyaux

ton cœur et toutes les larmes de ton corps

Mais ça ne lui suffit pas

Pas de temps mort ou perdu,

jamais elle ne t'a considéré comme innocent

depuis ta naissance, jusqu'à ta mort.

cette infâme vicieuse

te donne un peu, reprends beaucoup

elle apporte une lueur et puis te conduit au désespoir.

CRUAUTÉ est un mot faible au regard de ce qu'elle te fait.

Quand tu penses que rien ne pourrait être pire

elle te prouve le contraire, vile satyre.

Et elle t plonge dans les bas fonds de la douleur,

et les affres et les gouffres de la peine.

Un moment tu penses l'arrêter de battre

de respirer.

De plus en plus souvent, lancinante

cette pensée revient.

Mais c'est encore elle qui te l'impose.

Oui, la vie est une pute,

une sale, une vilaine

pleine de morpions et de pustules

elle est vérolée et elle aime ça,

charrier de la merde et creuser ta misère.

Et toi, on te dit que tu dois trouver ça beau,

la vie !

Non, finalement, pourquoi plutôt que tenter de réussir ma vie,

pourquoi ne réussirais-je pas ma mort ?!

Hier soir le 23/0/08, 23H.

Modifié le 24 août 2007 par cyrilcvcf

[sylvitara]

salut mon BullDog rose

 

même si les mots sont crus comme tu le dis,

le fond de ton texte est ce que beaucoup d'entre nous doit ressentir !

 

à chacun sa manière de le dire ou de le vivre.

 

de la

[sylvitara]

Salut petit Homme !

 

Oh oui, je me souviens de toi,

Oh oui, je me souviens de nos rires,

Oh oui, je me souviens de ton courage

Oh oui, je me souviens de notre histoire.

 

Durant 9 mois, j’ai été te chercher chez toi, on partait trop tôt, mais tu étais heureux,

Malgré tes souffrances, parce que tu aimais quand je roulais trop vite,

Tu ouvrais grand la vitre pour respirer encore ces quelques heures,

Ces heures de Bonheur, comme pour les vivre à 100 à l’heure …….

 

Durant 9 mois, nous avons fait la route dans cete voiture blanche, croix bleue sur la portière,

Entre ta maison et cet hôpital qui te soignait,

Cet hôpital qui te faisait espérer,

Cet hôpital qui fait toujours espérer des enfants.

 

Partant trop tôt, roulant trop vite,

Nous arrivions trop tôt, et nous allions à chaque fois là-bas,

Marcher en regardant les vitrines des magasins fermés,

Les vitrines de motos, les vitrines de tes rêves.

 

Et pourtant, à chaque fois, nous arrivions en retard à l’hôpital,

Alors un jour le médecin en chef m’a fait la réflexion,

Celle qui ne fallait pas, celle qui devait pourtant arriver un jour :

« Vous n’êtes pas sérieuse, vous arrivez toujours à 10h au lieu de 9h. »

 

Tu étais déjà parti dans les services, en me faisant un signe de la main,

Alors j’ai planté mon regard dans celui du médecin, et lui ai dit :

« Si vous pouvez me garantir que le fait d’amener cet enfant

A 9h plutôt qu’à 10, va le sauver, alors c’est à 8h que nous serons là »

 

Le médecin n’a rien répondu, il savait que ………..

« donc tant que cet enfant vivra, tant qu’il aura envie de vivre 1 h de plus loin d’ici,

Rien ne m’arrêtera, aucune réflexion, aucune menace, seulement sa mort ».

Le médecin a baissé les yeux … accablé par tant de vérités.

 

Chaque matin de notre arrivée, nous allions dans cette pièce,

Cette pièce dont un mur est décoré dans grand sapin de Noël,

Chaque boule porte un prénom, le tien aussi, mais plus maintenant,

Les boules rétirées signifient que l'enfant est parti pour toujours.

 

Oh oui, je me souviens de toi, petit homme courageux,

Oh oui, je me souviens aussi de ce jour où je suis passée te voir,

Oh oui, je me souviens que ta chambre était vide, complètement désinfectée,

Oh oui, je me souviens de l’infirmière qui m’a regardée les larmes aux yeux.

 

Alors là j’ai su que tu n’étais plus, que tu avais fini de souffrir,

J’ai su que plus jamais tu ne mettrais ta tête dehors,

Comme pour ébouriffer tes cheveux, cheveux inexistants

Cheveux mangés par la chimio.

 

Au fond de l’église seule j’étais, et pour toi j’étais venue en moto,

Pleurant toutes les larmes de mon corps, de mon cœur,

Je n’ai pas su te dire combien je t’aimais, je n’ai pas osé non plus,

Mais on ne remonte jamais le temps, c’était trop tard.

 

Au cimetière, tu es allé rejoindre ton père,

Mort en moto 6 ans auparavant, le jour de la fête des mères,

Tu n’avais ni frère ni sœur, tu étais fils unique,

Ta maman que j’admire est restée seule, la mort lui ayant tout pris.

 

 

Je suis désolée si mes textes sont tristes, mais ils sont tous des vécus .....

Alors, si vous aimez quelqu'un, n'attendez pas qu'il soit trop tard pour le lui dire,

Osez prononcer les mots "je t'aime", que ce soit à un(e) Ami(e), un frère, une soeur, une mère, un père,

Un enfant, votre enfant car on a tous besoin d'entendre ces mots là, même si on sait qu'ils sont pensés.

 

Arrêtez de faire la guerre pour des peccadilles,

Ca fait du mal, ça sert à rien, ça blesse, ça ronge .....

La mort sera toujours là pour nous rappeler que le temps à passé,

La mort sera toujours là pour nous rappeler que la vie est trop courte !

 

la

[cyrilcvcf]

LE JOUR D

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CLINE DOUCEMENT

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OLEIL ENCORE, DEHOR

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S

S

UR LE

S

MUR

S

ET MOI JE HURLE "MUETTEMENT".

JE VOUDRAI CRIER MA RAGE,

MAI

S

RIEN NE

S

ORT

QUE LE

S

MOT

S

DAN

S

MA T

Ê

TE,

ET LE

S

VI

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ION

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.

JE VOI

S

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S

CHIEN

S

VOLER !

AVEC LEUR

S

AILE

S

BLANCHE

S

ET ARGENT

É

E

S

ET LEUR

S

MU

S

EAUX ORANG

É

S

OH OUI, ELLE M'ENVAHIT

CETTE TRI

S

TE

S

S

E.

28/08/2007

[Invité Bob917]

La vie, une route parsemé d'obstacles, en fin de compte tous banals...

C'est vrai en fait de quoi je me plainds, je n'habite pas dans un pays en guerre,

J'ai a manger sur la table, j'ai les moyens de faire des études, j'ai une famille, etc.

Mais cela ne m'empeche pas de me sentir pas a ma place ici dans ce monde.

 

Je rejette les ''gens'' de ce pays, où la compassion et la tolérence n'est plus

Ce pays où il est mieux d'être une ordure, de ne pas être humain...

 

J'admet que je critique certaines personnes parfois, ce qui n'est pas une attitude exemplaire...

Mais seulement après en y réfléchissant je m'en veux enormément car la vie leur est surement dur..

Le phénomène de groupe surement mais plus ça va et plus je conteste, plus je me met des gens a dos

Car ils ne peuvent comprendre que je ne les suis pas de leurs moqueries blessantes sur les inconnus (oui je sais tu vas te reconnaitre)

 

Beaucoup vont se demander qui je désigne par ''gens'' dans ce que j'écris

C'est une sorte d'individus qui vivent sans se soucier ou très peu des autres,

Incapable de comprendre ce que certains peuvent ressentir dans leur coeur

Qui se sentent tellement parfait qu'ils se permettent de juger tout le monde

Qui ne se remettent jamais en cause et agissent en parfaits égoïste

 

Ce que je retiens ce soir c'est que je préfere m'isoler de ces ''gens'', quitte a me faire detester

Car je sais que certaines personnes m'aiment et savent que je me bats pour le changement.

Que je ne fais pas que des textes et de la musique, que j'agis directement tous les jours.

Car ce n'est pas tout d'écrire des textes ou des chansons engagés pour bien se faire voir,

Il faut agir en conséquence et se battre, mais très peu sont sincères, histoire d'argent...

Mais plus le temps passe et plus je me décourage, plus j'ai la haine, et moins j'ai foi en moi...

 

C'est vrai après tout a quoi bon se battre quand on se sent si seul...

[Invité Bob917]

Toutes ces journées passées à se poser toutes ces questions...

Tout se temps gâché a ne rien faire de mieux que de reculer.

 

 

La nuit arrive, l'obscurité s'approche, synonyme d'insomnie...

Il commence à se manifester, ce sentiment d'autodestruction.

 

 

Toutes ces nuits passées a essayer de faire le point...

Tout ce temps gâché a ne rien faire de mieux que de reculer

 

 

La nuit est là, l'obscurité me hante, synonyme de solitude...

 

Je rêve de me débarasser de ce poignard qui m'entaille le coeur,

Qui de nuit en nuit est de plus en plus violent, de plus en plus pesant.

 

 

Je sais que je ne peux pas m'en sortir tout seul, mais je perd patience...

Cette nuit encore je me retourne et je te vois, mais je ne sais pas où te trouver...

Mais es-tu si loin que ça ?

[sylvitara]

depuis le 22 Septembre, plus personne n'a écrit quoique ce soit sur ce topic !

et comble de l'ingratitude, le dernier message est de bob .........

 

je vous l'ai déjà dit, mais je tiens à vous le répéter quitte à passer pour une "radoteuse".

 

bob a ouvert ce topic pour qu'on puisse y mettre des poèmes, des réflexions, des phrases même qui n'ont ni queue ni tête, non, juste des mots ...

car de nos jours, les mots s'envolent, mais pas comme ceux des Poètes d'antan, avec le vent ....

 

non, ils se meurent et laissent place libre à l'ignorance de l'autre :

aux "je m'en fous", aux "chacun sa merde", aux "si j'avais su !" et à toutes ces phrases et pensées qui nous détruisent.

 

mais moi, je me contre fiche totalement de ce que vous pouvez penser en lisant ce que je vais écrire !

je vais l'écrire, parce qu'une fois de plus c'est du vécu !

alors le vécu n'est pas et surtout ne doit pas être "tabou"!

le vécu doit être le partage de l'expérience pour qui saura le comprendre .......... Bob l'avait compris et vous avait offert ce topic !

 

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Ta fameuse photo !

 

Cette fameuse photo où tu plais beaucoup à cause de tes cheveux dans le vent et ton regard….

 

Si je n’avais eu que ça à dire, si je n’avais rien ressenti d’autre, je n’aurais même rien dit.

 

Il émane de toi, une force farouche de fuir cette réalité et ton regard va plus loin encore que ce que ton imagination peut concevoir.

 

Tu regardes l’avenir en te posant de multiples questions !

 

Et ces questions font de toi un Homme ………… pas un jeune con !

 

Tu respires l’air qui fait danser tes cheveux et j’ai comme l’impression que tu te demandes si là-bas, c’est pareil qu’ici, si ce n’est pas mieux ou c’est pire encore. Mais où là-bas … ? Simplement là-bas, dans cet univers que tu rêves de voir beau et en Paix. Tu te dis …… en fait, non, tu dis « pardon » à notre terre pour tout ce qu’on lui inflige, parce que beaucoup n’ont pas compris que « marcher c’est caresser le ventre de la Terre ».

 

Mais pourquoi se poser cette question ridicule et inutile sur la terre puisque de toutes façons, on marche déjà sur nos enfants, certains sont armés jusqu’aux dents à l’âge où ils devraient encore croire aux Fées. Mais ceux-là, ils croient à la guerre, à la mort, ils la voient tous les jours. D’autres n’ont pas de parents, sont battus, oubliés, ignorés, errant vers nulle part, vers le néant.

 

Tout se pourrit petit à petit sans que personne hormis quelques allumés comme nous, tentent (mais est-ce bien la peine ?) de sortir la tête de l’eau.

 

Oh non, je ne voudrais pas avoir 20 ans aujourd’hui et voir toutes ces horreurs révoltantes, mais la révolte c’est fatiguant, c’est épuisant, alors tu restes seul, même entouré, tu es seul dans ton cœur.

 

Et ton cœur se déchire, hurle sa douleur à qui sait l’entendre et surtout l’écouter, t’écouter, t’aimer.

 

Tu tournes la tête mais vers quoi ? Vers qui ? Pour regarder plus loin ou pour ne plus voir ?

 

Il émane de toi une force puissante, une force belle et pure, quelque part une force tranquille, d’un Homme certain d’être dans la vérité. Mais pourtant si tourmenté, tu caches ton cœur torturé, tu caches tes peurs et tes pleurs, tu caches tes sentiments, tu caches l'Homme que tu es derrière un pseudo idiot.

 

Si tu savais comme j’aimerais être réellement ta grande sœur pour qu’on puisse être dans les bras l’un de l’autre, parce que tu dis que je te réconforte, mais toi aussi tu me réconfortes et ça c’est fantastique, presque Féerique.

 

Mais je ne suis que ………

Et pourtant je t'aime !