Aller au contenu
  • Pas encore inscrit ?

    Pourquoi ne pas vous inscrire ? C'est simple, rapide et gratuit.
    Pour en savoir plus, lisez Les avantages de l'inscription... et la Charte de Zébulon.
    De plus, les messages que vous postez en tant qu'invité restent invisibles tant qu'un modérateur ne les a pas validés. Inscrivez-vous, ce sera un gain de temps pour tout le monde, vous, les helpeurs et les modérateurs ! :wink:

Messages recommandés

Posté(e) (modifié)

Ouais c'est vrai moi aussi j'ai entendu parler de ce truc balancer par les maisons de prod!

 

C'est vraiment des -censurés- faudrait peut etre arreter de penser MP3=illégal!

Même si c'est le plus souvent le cas,le mec qui à ripper un CD audio qu'il a acheté pour ce faire ca playlist sur son PC il est dans la légalité!

Et à ca place ca me ferait chier de voire tout mes MP3 legaux sauter a cause d'un fichier lancé par Sony,Virgin ou autre!

 

De toute facon je pense que la communauté aura toujouts une petite longeur d'avance sur les grosses boites!Le jour ou les trackeurs de Mp3 illegaux seront bels et bien présent,il suffira de se rabbatre sur un autre format et au vu des technologie qui prendra surement moins de place!

 

Voilà @+

Modifié par Greywolf

Posté(e)

Ma solution à moi, je continue à acheter mes CD chez mon disquaire habituel ...

Les artistes que j'aime bien sont rétribués.

 

Un coup de CDex que je n'ai pas encore réussi à mettre en défaut, malgré les protections les plus récentes.

 

Et j'ai mes mp3 "libres de droits" que j'écoute où JE VEUX !

en bagnole, sur mon Palm, sur n'importe lequel de mes PC et même au boulot.

(winAMP=freeware + mes mp3 copiés sur un DVDr )

 

Pour le reste, pour découvrir, comme je rencontre beaucoup de gens qui sont dans le milieu de la musique, je fais du troc, avec mes mp3 et les leurs ...

(Ah ben oui, comme je faisais à l'école avec des K7 audio :P )

Si l'artiste me plait bien, je fini par acheter le(s) disque(s) ...

Sinon, le mp3 ne survivra pas au prochain formatage de ma clé USB ...

 

Au final, je ne suis pas sûr d'être tout à fait dans la légalité, mais je ne pense pas léser qui que ce soit.

Car la musique que j'écoute régulièrement, je l'achète toujours en CD

Et je ne paie pas du "vent" (quoi de plus volatile qu'un fichier ? ) et j'ai un bô CD navec un bô livret plein d'images et de texte dans une belle boîte.

 

 

-------------

Personnellement, je trouve qu'il n'y a pas de plus grosse arnaque de la part des Majors, que le p2p "légal" ...

- Non seulement on paie du vent (un fichier sans aucun support matériel)

- fichier sur lequel on a à peine le droit de l'écouter, même pas comme on veut.

- dans les cas où on peut le sauvegarder, c'est le CONsommateur qui paie le support

- support sur lequel, on paie une taxe sur les droits d'auteur :-(

 

 

Alors, payez, chers CONsommateurs, payez ... mais faites votre calcul

un album complet de 18 titres vous coûte aussi cher en mp3 qu'en CD (1€/titre)

et vous n'avez rien en main, sinon quelques impulsions électrique sur un support magnétique ...

 

Vaches à lait :-P

 

 

PS à la modération : les termes "CONsommateur" et "vaches à lait" ne sont là que pour illustrer comment je ressent la façon dont les majors nous considèrent.

Ce n'est nullement une insulte dirigée vers qui que ce soit :-P Peace and Love

Posté(e)

Pfff, ce que l'histoire ne dis pas, c'est que ce sont les FAI qui ici joue le diffuseur de musique on-line... c'est a elle de payer un forfait a la sacem et aux autres producteurs, pour l'accès qu'elle ouvre a ce mode de diffusion qu'est l'internet, et les reseaux P2P

 

ceux-ci pourront toujours retorqué que les internaute font ce qu'il veulent.... il n'en reste pas moins que les radio pourrais arguer de la meme manière pour ne pas avoir a payer les droits de retransmition, alors que préscisement elle offres le moyen par lequel une personne a accès aux ondes... là ce n'est pas la radio ni le PC,la matériel qui est en cause... mais celui qui permet la transmition... le mode particulier du net quant a son mode de transmition, n'est qu'un cas particulier, des forme possible de transmition de la musique...

 

De plus le FAI etant localisé, le surcout du prix forfaitaire de la musique teléchargé, est strictment propre au lieu de reception, et d'ou que provienne la musique elle-même, du kalaschistan, ou de suisse... les possibilité de dumping fiscal entre les différentes TVA nationale sont ainsi détruite....

 

reste a savoir comment doit-etre redistribué cette "manne" auprès des ayant droit... a mon avis il ne doit pas etre bien compliqué pour les fai de savoir ce qui ce download... après tout ses fichiers sont numérisés.

 

reste que si la musique devient legalement téléchargeable sur le net, que devient la chaine de diffusion du disque solide par lui-même?? a mon avis, celle-ci perdureras si les majors font un effort quand aux livrets et la présentation de l'objet "disque" par lui-même...

 

tout le problème du P2P tiens dans la possibilité offerte aux individus de partager au-dela du cercle famillial, et amical, des oeuvres protégées... cet audela est l'internet... et le moyen de ses transferts, download et upload sont les FAI...

 

autant dire que cela que ce téléchargement légal en "audition libre" rendra le P2P presque obsolète...

 

puisque tout ce qui est téléchargeable donc echangeable via le net, tout le numérisable protégé en tant qu'oeuvre de l'esprit, logiciel, jeu, DVD, etc...

 

on se trouve donc dans un monde ou toute les oeuvres de l'esprit sont en accès libre, et ou les FAIs se trouve etre des chaines de diffusion et de radio... reste que le prix de l'abonementpour internet risque de faire un sacré bon, puisque en arrière tout ce trouve etre gratuit...

 

mais bon il existe des forfaits au gigaoctet de donnée echangé... en gros cela reviens a un abonement a une blibliothèque universelle, dont le visionage est payé d'avance en poid octet... la seule chose est que les FAI doivent pouvoir comptabiliser CE qui a été donwloadé... mais on peut supposer que l'interet du P2P seras bien moindre, en face des diffuseurs que seront les majors, offrant des bandes passantes alléchantes....

donc dans cette options, l'interet ce trouve dans le prix du forfait au GIGA-octet de donnée dowloadable... a payer au FAI qui retransmetrons.. via la suisse(lol)

Invité jibi049
Posté(e)

Ou alors bon autant ripper sur une webradio mais bon on a les blabla au debut de la chanson, etc...

Posté(e)

Ouais c'est vrai et en plus c'est pas top la qualité!

 

Même que maintenant sur le web ils font payer la qualité superieur de Radio!

 

En tout cas RTL2 c'est comme ca!

 

Et puis si on veut bientot yaura surement la RNT la radio numérique terrestre et la suffira de se demerder a brancher ca sur un PC!

:P

Posté(e)

Salut à tous :-P

 

Ca fait plaisir de voir que le sujet fait couler autant...d'octets :-(

 

La conclusion incontournable de cette affaire c'est que ce sont les artistes

 

et les consommateurs qui se font entuber :-P

 

Les artistes, parce que j'aimerai bien savoir ce qui leur revient sur le prix

 

d'un cd! Pas gand chose je crois ...

 

Et nous CONsommateurs(c'est la bonne formule Sskull) ,parce que tout est

 

bon pour nous dépouiller!!

 

Certains tribunaux ont donné raison aux particuliers , mais la lutte continue:

 

le plus marrant c'est que la copie n'a rien de nouveau, déjà à l'époque du vinil

 

on faisait nos cassettes... Mais les temps changent et rentabilité et profits sont

 

devenus les maitres mots :P

 

Allez donc acheter vos disques en magazin, on y fait parfois des rencontres

 

interessantes, on y cotoie des gens de tout bord;et c'est quand même plus gratifiant

 

que de causer à un ecran lcd :-P

 

@ciao les amis

Invité tesgaz
Posté(e)
mais bon il existe des forfaits au gigaoctet de donnée echangé... en gros cela reviens a un abonement a une blibliothèque universelle, dont le visionage est payé d'avance en poid octet... la seule chose est que les FAI doivent pouvoir comptabiliser CE qui a été donwloadé..

 

salut,

 

pas d'accord, je ne télécharges pas de musique, mais cela ne m'empèche pas de télécharger autre chose, logiciel, iso linux, etc

 

donc, pourquoi je payerai sur des supositions de téléchargement de musique alors que ce n'est pas le cas ?

 

d'autant que quand j'achète un suport CD pour graver un iso linux, je payes deja des taxes pour les majors

ca commence à bien faire,

 

alors, je veux bien que qu'il y ai du profit, mais profiter au maximum de la crédulité des gens, c'est eux les majors qui font des actes inciviques

 

en 3 mots, ce sont juste des bandits de grand chemin

 

et le minot qui utilise le p2p pour télécharger sa musique a déja payé lourdement pour ces 3 Cd downloadés

achat du pc, cout mensuel du fai, antivirus à gogo, support CD, imprimante pour imprimer les jaquettes, etc

 

et pour se rincer, ils sont tous présent, l'état en premier avec 20% de tva

 

l'abus de pouvoir est dangereux pour notre santé

Posté(e)

ben, allons tesgaz, le problème du paiement des CD ne resoud en rien le problème des droits pour les oeuvres qui ne sont pas gravé et echangé dans le cadre famillial...

 

il serait sans doute de faire l'inverse, de tetawer les CD vierge, et de taxer le moyen de diffusion...

 

quand a savoir ce que tu downloads, le plus simple serait encore de payer a la consomation réelle quand penses-tu??? puisqu'un forfait de 5 10 25 50 GO semble te faire mal...

 

reste qu'en echange tu as tout de même accès a toute, les oeuvres téléchargeable... plus de code d'accès logiciel, plus de protection diverse... inutile puisqu'ils finissent toujours par etre craqué...

comme a la blibliothèque... et avec des serveurs qui le font...au lieu de ce P2P qui n'en finit pas de te faire poireauter.

 

mais ce qui te gène sans doute c'est que ceux qui paierons le plus seront forcement ceux qui téléchagerons le plus.. mais là, sommes toute, je ne voit pas ce qu'il y a redire...et que comme de toujours, les plus avantagé en face de la culture seront les plus fortunés... je me trompe...

 

les oeuvres de l'esprit, sont des oeuvres uniques pouvant etre largement diffusé par le biais de copie.... du simple ecrit, photo, et ce jusqu'au film et Mp3, jeux video, etc... les ayants droits auront toujours le fruit de leur travail... ce qui n'est pas plus mal...

 

pour ma part je pense qu'au dela de 50 giga de donnée en download, on a a faire a une personne qui a un problème d'alimentation... ça fait quelque film a voir, en se basant sur ce qui est le plus lourd a télécharger...

Posté(e)
Entre aléas et vicissitudes, les musiciens ont du mal à vivre sur le continent africain. Le développement d'un marché et la mise en place de structures professionnelles en Afrique butent sur des écueils récurrents. Dans les premiers jours de mai, une pétition, partie de Dakar, circule chez les musiciens. Elle émane du Sénégal, un des rares pays du continent où les efforts de professionnalisation de la musique ont eu des résultats tangibles, et qui doit organiser en décembre 2006 le troisième Festival mondial des arts nègres (Fesman).

 

 

Titrée Ta-Tam d'alarme pour Manu Dibango, en référence au nom de l'opération pour l'Ethiopie qu'avait mise sur pied le musicien camerounais en 1985, elle a été lancée après la décision des autorités camerounaises du retrait d'agrément à la société civile Cameroun Music Corporation (CMC), présidée par Manu Dibango.

 

Les signataires, notamment Mamadou Konté, producteur d'Africa Fête, Youssou N'Dour, Ismaël Lô, et Ray Lema y demandent "l'organisation d'un audit indépendant comme préalable à toute action décisive concernant la CMC et les autres sociétés de gestion collective" et proposent "à la CISAC (Confédération internationale des sociétés d'auteurs-compositeurs) l'organisation d'une mission d'enquête pour aider à la clarification de -la- situation."

 

La crise a éclaté le 3 mars, après l'arrivée de policiers et le dépôt de scellés au siège de la CMC, à Yaoundé. Cette action a été dirigée par le président de la Commission permanente de médiation et de contrôle (CPMC), un organisme mis en place par les autorités camerounaises. L'intervention suit la décision du ministre de la culture, Ferdinand Oyono, de suspendre l'agrément octroyé le 15 septembre 2003 à la CMC.

 

Motif ? Officiellement, malversations et mauvaise gestion. De simples rumeurs, répond Manu Dibango : "Il ne s'agit ni plus ni moins que de faire main basse sur la CMC, ses biens et ses acquis. L'objectif est le remplacement des équipes dirigeantes, trop autonomes, par des partenaires soumis au diktat de la Commission et du ministère."

 

 

2 % DE CASSETTES LÉGALES

 

Créée en remplacement de sociétés au fonctionnement aléatoire discréditées par les nombreux détournements financiers de leurs dirigeants, la CMC était un espoir pour les musiciens camerounais. "Une des premières opérations positives de la nouvelle structure a été l'arraisonnement en mai 2004 d'un bateau rempli de 10 000 CD et vidéos pirates" , déclarait il y a quelques mois Manu Dibango (Le Monde 20 juillet 2004).

 

Aujourd'hui, le musicien est amer, s'estimant calomnié par ceux-là même qui avaient fait de lui un dignitaire du pays en le désignant "artiste du siècle" à l'occasion des festivités de l'an 2000 à Yaoundé. Si aujourd'hui l'Occident s'émeut du piratage, via le téléchargement, en Afrique, c'est un mal qui étrangle les musiciens depuis plusieurs décennies.

 

A Bamako, en mars, les deux principaux producteurs maliens de cassettes, Mali K-7 et Seydoni Mali, ont annoncé leur fermeture. Lors d'une conférence de presse conjointe, Fousseyni Traoré, directeur de Seydoni Mali, rappelait que seulement 2 % des cassettes vendues dans les rues au Mali étaient légales. Un collectif d'artistes et de producteurs a été créé et une marche organisée, fin avril, en direction du Bureau malien des droits d'auteur (BMDA) a été organisée pour dénoncer le laxisme et le peu d'engagement des autorités.

 

Cette mobilisation va-t-elle déboucher sur une issue concrète ? En décembre 1999, Mali-K7 avait fermé ses portes pour alerter les pouvoirs publics. Quelques semaines après, les artistes maliens obtenaient des promesses des douanes, du Bureau malien des droits d'auteur et du fisc. Mali K-7 reprenait ses activités. Cinq ans plus tard, la piraterie continue de sévir au Mali, comme partout en Afrique.

Rejoindre la conversation

Vous publiez en tant qu’invité. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.
Remarque : votre message nécessitera l’approbation d’un modérateur avant de pouvoir être visible.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

  • En ligne récemment   0 membre est en ligne

    • Aucun utilisateur enregistré regarde cette page.
×
×
  • Créer...