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Posté(e)
pas de quoi :P c'est un plaisir
Je m'en doutais ... :P

 

___________________

 

 

S'agrippant aux poils, tel un morpion plein de sang trouvé dans un bocal d'apothicaire, il s'accrocha si fort que sa casquette se défilocha en tout et pour tout. Pendant trois jours, plutôt trois nuits par semaine, c'est sa peau pleine de boutons purulents, de pustules, qui s'est effilochée, irrémédiablement flétrie.

- Ça suffit maintenant, dit Nicolas Sirkis, je vais vous décontaminer tout ça au napalm et en chanson.

Prout, dit-il, tout étonné de revoir Dylav après tant d'épreuves passées auprès de sa taie d'oreiller !

Posté(e)

S'agrippant aux poils, tel un morpion plein de sang trouvé dans un bocal d'apothicaire, il s'accrocha si fort que sa casquette se défilocha en tout et pour tout. Pendant trois jours, plutôt trois nuits par semaine, c'est sa peau pleine de boutons purulents, de pustules, qui s'est effilochée, irrémédiablement flétrie.

- Ça suffit maintenant, dit Nicolas Sirkis, je vais vous décontaminer tout ça au napalm et en chanson.

Prout, dit-il, tout étonné de revoir Dylav après tant d'épreuves passées auprès de sa taie d'oreiller ! L'odeur pestilentielle

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S'agrippant aux poils, tel un morpion plein de sang trouvé dans un bocal d'apothicaire, il s'accrocha si fort que sa casquette se défilocha en tout et pour tout. Pendant trois jours, plutôt trois nuits par semaine, c'est sa peau pleine de boutons purulents, de pustules, qui s'est effilochée, irrémédiablement flétrie.

- Ça suffit maintenant, dit Nicolas Sirkis, je vais vous décontaminer tout ça au napalm et en chanson.

- Prout, dit-il, tout étonné de revoir Dylav après tant d'épreuves passées auprès de sa taie d'oreiller ! L'odeur pestilentielle de cheveux gras

Posté(e)

S'agrippant aux poils, tel un morpion plein de sang trouvé dans un bocal d'apothicaire, il s'accrocha si fort que sa casquette se défilocha en tout et pour tout. Pendant trois jours, plutôt trois nuits par semaine, c'est sa peau pleine de boutons purulents, de pustules, qui s'est effilochée, irrémédiablement flétrie.

- Ça suffit maintenant, dit Nicolas Sirkis, je vais vous décontaminer tout ça au napalm et en chanson.

- Prout, dit-il, tout étonné de revoir Dylav après tant d'épreuves passées auprès de sa taie d'oreiller ! L'odeur pestilentielle de cheveux gras devenait assez déconcertante :

Posté(e)

S'agrippant aux poils, tel un morpion plein de sang trouvé dans un bocal d'apothicaire, il s'accrocha si fort que sa casquette se défilocha en tout et pour tout. Pendant trois jours, plutôt trois nuits par semaine, c'est sa peau pleine de boutons purulents, de pustules, qui s'est effilochée, irrémédiablement flétrie.

- Ça suffit maintenant, dit Nicolas Sirkis, je vais vous décontaminer tout ça au napalm et en chanson.

- Prout, dit-il, tout étonné de revoir Dylav après tant d'épreuves passées auprès de sa taie d'oreiller ! L'odeur pestilentielle de cheveux gras devenait assez déconcertante : pourquoi, s'exclama

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S'agrippant aux poils, tel un morpion plein de sang trouvé dans un bocal d'apothicaire, il s'accrocha si fort que sa casquette se défilocha en tout et pour tout. Pendant trois jours, plutôt trois nuits par semaine, c'est sa peau pleine de boutons purulents, de pustules, qui s'est effilochée, irrémédiablement flétrie.

- Ça suffit maintenant, dit Nicolas Sirkis, je vais vous décontaminer tout ça au napalm et en chanson.

- Prout, dit-il, tout étonné de revoir Dylav après tant d'épreuves passées auprès de sa taie d'oreiller ! L'odeur pestilentielle de cheveux gras devenait assez déconcertante.

- Pourquoi, s'exclama Zézette, les laver

Posté(e)

S'agrippant aux poils, tel un morpion plein de sang trouvé dans un bocal d'apothicaire, il s'accrocha si fort que sa casquette se défilocha en tout et pour tout. Pendant trois jours, plutôt trois nuits par semaine, c'est sa peau pleine de boutons purulents, de pustules, qui s'est effilochée, irrémédiablement flétrie.

- Ça suffit maintenant, dit Nicolas Sirkis, je vais vous décontaminer tout ça au napalm et en chanson.

- Prout, dit-il, tout étonné de revoir Dylav après tant d'épreuves passées auprès de sa taie d'oreiller ! L'odeur pestilentielle de cheveux gras devenait assez déconcertante.

- Pourquoi, s'exclama Zézette, les laver ? J'aime mieux

Invité greg68
Posté(e) (modifié)

S'agrippant aux poils, tel un morpion plein de sang trouvé dans un bocal d'apothicaire, il s'accrocha si fort que sa casquette se défilocha en tout et pour tout. Pendant trois jours, plutôt trois nuits par semaine, c'est sa peau pleine de boutons purulents, de pustules, qui s'est effilochée, irrémédiablement flétrie.

- Ça suffit maintenant, dit Nicolas Sirkis, je vais vous décontaminer tout ça au napalm et en chanson.

- Prout, dit-il, tout étonné de revoir Dylav après tant d'épreuves passées auprès de sa taie d'oreiller ! L'odeur pestilentielle de cheveux gras devenait assez déconcertante.

- Pourquoi, s'exclama Zézette, les laver ? J'aime mieux les couper !

Modifié par greg68
  • Modérateurs
Posté(e)

S'agrippant aux poils, tel un morpion plein de sang trouvé dans un bocal d'apothicaire, il s'accrocha si fort que sa casquette se défilocha en tout et pour tout. Pendant trois jours, plutôt trois nuits par semaine, c'est sa peau pleine de boutons purulents, de pustules, qui s'est effilochée, irrémédiablement flétrie.

- Ça suffit maintenant, dit Nicolas Sirkis, je vais vous décontaminer tout ça au napalm et en chanson.

- Prout, dit-il, tout étonné de revoir Dylav après tant d'épreuves passées auprès de sa taie d'oreiller ! L'odeur pestilentielle de cheveux gras devenait assez déconcertante.

- Pourquoi, s'exclama Zézette, les laver ? J'aime mieux les couper !

Telle Dalilah tondant Sanson,

Posté(e)

S'agrippant aux poils, tel un morpion plein de sang trouvé dans un bocal d'apothicaire, il s'accrocha si fort que sa casquette se défilocha en tout et pour tout. Pendant trois jours, plutôt trois nuits par semaine, c'est sa peau pleine de boutons purulents, de pustules, qui s'est effilochée, irrémédiablement flétrie.

- Ça suffit maintenant, dit Nicolas Sirkis, je vais vous décontaminer tout ça au napalm et en chanson.

- Prout, dit-il, tout étonné de revoir Dylav après tant d'épreuves passées auprès de sa taie d'oreiller ! L'odeur pestilentielle de cheveux gras devenait assez déconcertante.

- Pourquoi, s'exclama Zézette, les laver ? J'aime mieux les couper !

Telle Dalilah tondant Sanson, les poux dévorant

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