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[DKlâgOR]

S'agrippant aux poils, tel un morpion plein de sang trouvé dans un bocal d'apothicaire, il s'accrocha si fort que sa casquette se défilocha en tout et pour tout. Pendant trois jours, plutôt trois nuits par semaine, c'est sa peau pleine de boutons purulents, de pustules, qui s'est effilochée, irrémédiablement flétrie.

- Ça suffit maintenant, dit Nicolas Sirkis, je vais vous décontaminer tout ça au napalm et en chanson.

- Prout, dit-il, tout étonné de revoir Dylav après tant d'épreuves passées auprès de sa taie d'oreiller ! L'odeur pestilentielle de cheveux gras devenait assez déconcertante.

- Pourquoi, s'exclama Zézette, les laver ? J'aime mieux les couper !

Telle Dalilah tondant Sanson, les poux, dévorant la crème pâtissière, ne laissèrent rien et Dylav rasé n'osait plus sortir au grand marché aux puces. Il se rabattit sur une très belle perruque blonde vénitienne avec délectation, en soupirant : « Zézette...

 

 

 

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Au fait : Qui connait l'origine de cette appellation de Blond Vénitien ?

Le nom de cette couleur de cheveux "châtain clair" ( en fait entre le roux et le blond ) vient de l'habitude des Vénitiennes, à l'époque de la Renaissance, de se décolorer les cheveux à partir des dérivés d'ammoniaque ... contenus dans l'urine de cheval !

 

Fin de ma petite parenthèse culturelle.

Retournons à Zézette ...

Modifié le 19 juin 2007 par DKlâgOR

[Rion]

S'agrippant aux poils, tel un morpion plein de sang trouvé dans un bocal d'apothicaire, il s'accrocha si fort que sa casquette se défilocha en tout et pour tout. Pendant trois jours, plutôt trois nuits par semaine, c'est sa peau pleine de boutons purulents, de pustules, qui s'est effilochée, irrémédiablement flétrie.

- Ça suffit maintenant, dit Nicolas Sirkis, je vais vous décontaminer tout ça au napalm et en chanson.

- Prout, dit-il, tout étonné de revoir Dylav après tant d'épreuves passées auprès de sa taie d'oreiller ! L'odeur pestilentielle de cheveux gras devenait assez déconcertante.

- Pourquoi, s'exclama Zézette, les laver ? J'aime mieux les couper !

Telle Dalilah tondant Sanson, les poux, dévorant la crème pâtissière, ne laissèrent rien et Dylav rasé n'osait plus sortir au grand marché aux puces. Il se rabattit sur une très belle perruque blonde vénitienne avec délectation, en soupirant : « Zézette...je te hais

[cyrilcvcf]

S'agrippant aux poils, tel un morpion plein de sang trouvé dans un bocal d'apothicaire, il s'accrocha si fort que sa casquette se défilocha en tout et pour tout. Pendant trois jours, plutôt trois nuits par semaine, c'est sa peau pleine de boutons purulents, de pustules, qui s'est effilochée, irrémédiablement flétrie.

- Ça suffit maintenant, dit Nicolas Sirkis, je vais vous décontaminer tout ça au napalm et en chanson.

- Prout, dit-il, tout étonné de revoir Dylav après tant d'épreuves passées auprès de sa taie d'oreiller ! L'odeur pestilentielle de cheveux gras devenait assez déconcertante.

- Pourquoi, s'exclama Zézette, les laver ? J'aime mieux les couper !

Telle Dalilah tondant Sanson, les poux, dévorant la crème pâtissière, ne laissèrent rien et Dylav rasé n'osait plus sortir au grand marché aux puces. Il se rabattit sur une très belle perruque blonde vénitienne avec délectation, en soupirant : « Zézette...je te hais et je vais

[Dylav]

S'agrippant aux poils, tel un morpion plein de sang trouvé dans un bocal d'apothicaire, il s'accrocha si fort que sa casquette se défilocha en tout et pour tout. Pendant trois jours, plutôt trois nuits par semaine, c'est sa peau pleine de boutons purulents, de pustules, qui s'est effilochée, irrémédiablement flétrie.

- Ça suffit maintenant, dit Nicolas Sirkis, je vais vous décontaminer tout ça au napalm et en chanson.

- Prout, dit-il, tout étonné de revoir Dylav après tant d'épreuves passées auprès de sa taie d'oreiller ! L'odeur pestilentielle de cheveux gras devenait assez déconcertante.

- Pourquoi, s'exclama Zézette, les laver ? J'aime mieux les couper !

Telle Dalilah tondant Sanson, les poux, dévorant la crème pâtissière, ne laissèrent rien et Dylav rasé n'osait plus sortir au grand marché aux puces. Il se rabattit sur une très belle perruque blond vénitien avec délectation, en soupirant : « Zézette... je te hais et je vais, de ce pas,

[Florent]

S'agrippant aux poils, tel un morpion plein de sang trouvé dans un bocal d'apothicaire, il s'accrocha si fort que sa casquette se défilocha en tout et pour tout. Pendant trois jours, plutôt trois nuits par semaine, c'est sa peau pleine de boutons purulents, de pustules, qui s'est effilochée, irrémédiablement flétrie.

- Ça suffit maintenant, dit Nicolas Sirkis, je vais vous décontaminer tout ça au napalm et en chanson.

- Prout, dit-il, tout étonné de revoir Dylav après tant d'épreuves passées auprès de sa taie d'oreiller ! L'odeur pestilentielle de cheveux gras devenait assez déconcertante.

- Pourquoi, s'exclama Zézette, les laver ? J'aime mieux les couper !

Telle Dalilah tondant Sanson, les poux, dévorant la crème pâtissière, ne laissèrent rien et Dylav rasé n'osait plus sortir au grand marché aux puces. Il se rabattit sur une très belle perruque blond vénitien avec délectation, en soupirant : « Zézette... je te hais et je vais, de ce pas, te mettre ma

[Rion]

S'agrippant aux poils, tel un morpion plein de sang trouvé dans un bocal d'apothicaire, il s'accrocha si fort que sa casquette se défilocha en tout et pour tout. Pendant trois jours, plutôt trois nuits par semaine, c'est sa peau pleine de boutons purulents, de pustules, qui s'est effilochée, irrémédiablement flétrie.

- Ça suffit maintenant, dit Nicolas Sirkis, je vais vous décontaminer tout ça au napalm et en chanson.

- Prout, dit-il, tout étonné de revoir Dylav après tant d'épreuves passées auprès de sa taie d'oreiller ! L'odeur pestilentielle de cheveux gras devenait assez déconcertante.

- Pourquoi, s'exclama Zézette, les laver ? J'aime mieux les couper !

Telle Dalilah tondant Sanson, les poux, dévorant la crème pâtissière, ne laissèrent rien et Dylav rasé n'osait plus sortir au grand marché aux puces. Il se rabattit sur une très belle perruque blond vénitien avec délectation, en soupirant : « Zézette... je te hais et je vais, de ce pas, te mettre mabanane dans ton

 

 

 

 

je ne voulais pas.........

[cyrilcvcf]

S'agrippant aux poils, tel un morpion plein de sang trouvé dans un bocal d'apothicaire, il s'accrocha si fort que sa casquette se défilocha en tout et pour tout. Pendant trois jours, plutôt trois nuits par semaine, c'est sa peau pleine de boutons purulents, de pustules, qui s'est effilochée, irrémédiablement flétrie.

- Ça suffit maintenant, dit Nicolas Sirkis, je vais vous décontaminer tout ça au napalm et en chanson.

- Prout, dit-il, tout étonné de revoir Dylav après tant d'épreuves passées auprès de sa taie d'oreiller ! L'odeur pestilentielle de cheveux gras devenait assez déconcertante.

- Pourquoi, s'exclama Zézette, les laver ? J'aime mieux les couper !

Telle Dalilah tondant Sanson, les poux, dévorant la crème pâtissière, ne laissèrent rien et Dylav rasé n'osait plus sortir au grand marché aux puces. Il se rabattit sur une très belle perruque blond vénitien avec délectation, en soupirant :

« Zézette... je te hais et je vais, de ce pas, te mettre ma banane dans ton oreille gauche empoilée

 

 

Oui, je sais empoilée ça n'existe pas, c'est une licence littéraire, un néologisme qui dit bien ce que ça veux dire !

[Dylav]

S'agrippant aux poils, tel un morpion plein de sang trouvé dans un bocal d'apothicaire, il s'accrocha si fort que sa casquette se défilocha en tout et pour tout. Pendant trois jours, plutôt trois nuits par semaine, c'est sa peau pleine de boutons purulents, de pustules, qui s'est effilochée, irrémédiablement flétrie.

- Ça suffit maintenant, dit Nicolas Sirkis, je vais vous décontaminer tout ça au napalm et en chanson.

- Prout, dit-il, tout étonné de revoir Dylav après tant d'épreuves passées auprès de sa taie d'oreiller ! L'odeur pestilentielle de cheveux gras devenait assez déconcertante.

- Pourquoi, s'exclama Zézette, les laver ? J'aime mieux les couper !

Telle Dalilah tondant Sanson, les poux, dévorant la crème pâtissière, ne laissèrent rien et Dylav rasé n'osait plus sortir au grand marché aux puces. Il se rabattit sur une très belle perruque blond vénitien avec délectation, en soupirant :

« Zézette... je te hais et je vais, de ce pas, te mettre ma banane dans ton oreille gauche empoilée ! »

Les sourcils froncés,

 

Attention, si vous suivez bien l'histoire, les sourcils ne peuvent appartenir qu'à...

[Rion]

( y a personne qui participe ?? alllez , je veux moi !!)

[DKlâgOR]

S'agrippant aux poils, tel un morpion plein de sang trouvé dans un bocal d'apothicaire, il s'accrocha si fort que sa casquette se défilocha en tout et pour tout. Pendant trois jours, plutôt trois nuits par semaine, c'est sa peau pleine de boutons purulents, de pustules, qui s'est effilochée, irrémédiablement flétrie.

- Ça suffit maintenant, dit Nicolas Sirkis, je vais vous décontaminer tout ça au napalm et en chanson.

- Prout, dit-il, tout étonné de revoir Dylav après tant d'épreuves passées auprès de sa taie d'oreiller ! L'odeur pestilentielle de cheveux gras devenait assez déconcertante.

- Pourquoi, s'exclama Zézette, les laver ? J'aime mieux les couper !

Telle Dalilah tondant Sanson, les poux, dévorant la crème pâtissière, ne laissèrent rien et Dylav rasé n'osait plus sortir au grand marché aux puces. Il se rabattit sur une très belle perruque blond vénitien avec délectation, en soupirant :

« Zézette... je te hais et je vais, de ce pas, te mettre ma banane dans ton oreille gauche empoilée ! »

Les sourcils froncés, Rion s'impatientait

 

 

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Attention, si vous suivez bien l'histoire, les sourcils ne peuvent appartenir qu'à...

Dsl, Dydy : Tant pis pour Zézette, mais tu récupères Rion ... Modifié le 22 juin 2007 par DKlâgOR