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Alors il leva son verre de pastis et dit : "Je vous bénis, de m'avoir...

- Cognac-Jay, à vous les studios !

- ... interrompu !

- Cognac-Jay ?? Foutue liaison satellite...

- ... merci !" conclua pastisophile.

Ce dialogue ésotérique, digne de BHL, n'était pas piqué des hannetons comme dirait Arielle, sa femme canon. Pour André Glucksmann, autre gloseur professionnel, rallié à Sarko, la raison du plus fort est comme le camembert : redoutablement puante ! Ainsi l'Empire chut, tant et si bien que notre dévoué correcteur anonyme fut l'arroseur arrosé

Posté(e)

Ce dialogue ésotérique, digne de BHL, n'était pas piqué des hannetons comme dirait Arielle, sa femme canon. Pour André Glucksmann, autre gloseur professionnel, rallié à Sarko, la raison du plus fort est comme le camembert : redoutablement puante ! Ainsi l'Empire chut, tant et si bien que notre dévoué correcteur anonyme fut l'arroseur arrosé, merci la pluie

  • Modérateurs
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Aurais-tu décidé, Olivier, de me tester sur chacune des règles de ce jeu ? :P

f_moved.gif on doit ajouter obligatoirement 3 mots (pas un de plus, pas un de moins),

tout mot compte (même l', j', s', m', t', d' par exemple),

et les mots composés comptent pour deux (comme porte-monnaie ou aujourd'hui)

Ce dialogue ésotérique, digne de BHL, n'était pas piqué des hannetons comme dirait Arielle, sa femme canon. Pour André Glucksmann, autre gloseur professionnel, rallié à Sarko, la raison du plus fort est comme le camembert : redoutablement puante ! Ainsi l'Empire chut, tant et si bien que notre dévoué correcteur anonyme fut l'arroseur arrosé, merci la pluie... bonjour les bottes !

Posté(e)

Ce dialogue ésotérique, digne de BHL, n'était pas piqué des hannetons comme dirait Arielle, sa femme canon. Pour André Glucksmann, autre gloseur professionnel, rallié à Sarko, la raison du plus fort est comme le camembert : redoutablement puante ! Ainsi l'Empire chut, tant et si bien que notre dévoué correcteur anonyme fut l'arroseur arrosé, merci la pluie... bonjour les bottes ! Et le ciré !

Posté(e) (modifié)

Malheur à ceux qui parcourront ce salmigondis indigne de trois, quatre pustules suppurantes et purulentes, ils risquent de s'ancrer dans une rigidité morbide au point de prendre définitivement racine.

Alors survint, soudainement autant qu'inopinément, errare humanum est, le soldat inconnu gisant tout nu, persevare diabolicum, sur, veni vidi vessie, un écran géant.

Alors il leva son verre de pastis et dit : "Je vous bénis, de m'avoir...

- Cognac-Jay, à vous les studios !

- ... interrompu !

- Cognac-Jay ?? Foutue liaison satellite...

- ... merci !" conclua pastisophile.

Ce dialogue ésotérique, digne de BHL, n'était pas piqué des hannetons comme dirait Arielle, sa femme canon. Pour André Glucksmann, autre gloseur professionnel, rallié à Sarko, la raison du plus fort est comme le camembert : redoutablement puante ! Ainsi l'Empire chut, tant et si bien que notre dévoué correcteur anonyme fut l'arroseur arrosé, merci la pluie... bonjour les bottes ! Et le ciré ! Contre toute attente

Modifié par DAN21
  • Modérateurs
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Allez, la totale, juste pour le plaisir... :P

 

Chacun sait que sur terre vivent des individus ne pouvant pas être totalement humains. Cependant tout le monde s'accorde à considérer que les fantômes tentent de tricher face aux dirigeants de la planète.

 

Les dirigeants, agacés de contempler leur nombril, se demandent si Paul et Pierre et Jacques vont enfin sortir de la télé-réalité de M6 ! Le jury, qui a été sélectionné parmi des gens totalement humains, a inévitablement voté contre l'oecuménisme exarcerbé de Loana.

 

Beetlejuice précise même sans ambages que Kevina est belle, la plus belle trollienne, et Flo, un castor modo plus fou qu'une souris folle belle comme Apollon en sous-vêtements en dentelle mangeable au goût fruité, et Flo était mort depuis longtemps, et finit donc en Enfer.

 

Sofy, Kévina, pleurant Flo qui n'avait rien légué à ce jour, décidèrent de finir ensemble la soirée au Crazy Horse Saoudien, afin de se manger la porte.

 

C'est alors qu'entra Zézette, la reine des spatules en bois, amie du célébre Scuny, roi des écureuils fous qui passait son temps à faire des bisous à Kevina qui était là pour danser comme une souris folle atteinte de la maladie de Parkinson. Zézette entreprit de finir cette histoire, mais se ravisa et disparut pour finalement couper court à toute cérémonie de mariage, car elle était enceinte de Lordtoniok qui, comme Félix le chat bichromé, a la particularité de procréér sans femme attribuée, ni capacité à tuer des volailles.

 

Et pourtant malgré le magnifique rejeton, il se mit le <biiip> dans le <biiip> et avoua que malgré le chagrin, ça fait du bien par où ça passe. Le voir sans sa paire de beaux yeux noirs comme l'ébène que même l'ostensible nature mortifiée n'en aurait jamais d'aussi laids.

 

Mais revenons à la belle Kévina, et son voisin qui la tua parce qu'elle n'avait point fait coin coin avec la vache de l'empire obscur noir de noir que plus noir tu meurs, empire terrible et aussi inoffensif qu'un nazgull flétri rouge et vert à poil dru.

 

Son voisin Hubert, avec ses chansons à faire pâlir les Ostrogoths Monégasques, nous a complètement bignouté la cornemuse. Mais c'était de par ses mains adroites et velues comme des serpents à plumes à cran d'arrêt qu'il imposa vaille que vaille le retournement cataclysmique de l'apogée postérieurement monopolisante et finalement sans intérêt.

 

Malheureusement un phantome classé X, tuant un écureuil et Tony Hawk et sa lady velue et rondouillarde qui chantait telle Zalman sous Prescott, a trouvé la plus belle des biscottes lyophilisées du quartier délabré de Contrex-les-Bains (glou glou).

 

Il décida néanmoins de se rendre comme un beignet dans une bouche édentée et puante... une bouche dégoût où les tortues se baignent nues. Quand soudain Kewlcat, le chameau d'eau, se demanda s'il était temps, à 3h30, de dire "bûche, BÛCHE !", mais il se ravisa, au profit de "MOUAAaafffff! MOUAAaafffff", sa lecture préférée, BD sans prétention ni intérêt.

 

Ô Kewlcat, pourquoi as-tu un si précieux ouvrage dans ton très honorable fusoir de gueux ? Ne pourrais-tu pas lire quelques papyrus fossilisés afin de déboguer cette page Internet Explorer ? En quelque sorte, tu pourrais expliquer comment tu le le fais (si Derrick se met à bégayer, on va droit au déglinguage de bignou organisé par des apprentis sourciers).

 

Après quoi, l'organisation des cornemusières pakistanaises s'ébranla vers le pays afghan dans l'intention de dédylaver la poire avant de la revendre aux cochons d'Inde psychopathes et enragés, néanmoins Prix Nobels de physique quantique et de chimie (selon Einstein), devenus LA référence internationale en dénationalisation macromoléculaire intra muros. Du coup les protonnasulistes indépendants tchétchènes tendance néométal version Joey Starr s'en retrouvent sur le cul !

 

Détestant anticonstitutionnellement parlant le couscous maison à l'alsacienne, préférant les pizzas au burritos épicé qu'adorent les acadiens en habit du dimanche pour voir leur douce secouer l'éventail et leur sussurer aux narines une douce flatulence d'odeur épicée aromatisée au paprika.

 

Pendant ce temps Bob l'éponge spontex double face réalisa qu'il devait gratter Patrick son meilleur ami hérisson, puisqu'il regardait trop la voisine avec son air de « ne pas faire attention à Batman » qui la fascinait tant.

 

C'est alors que Zézette revint incognito saluer Casper qui la tua. Zézette, toujours immortelle, se dressa sur le bout de sa spatule magique pour contempler les ovnis de Mulder librement accouplés dans la voie lactée.

 

La nuit était douce et sentait agréablement bon grâce à ce mélange de chairs putrides, sanguinolentes et faisandées venant tout droit du fin fond de la zézette de madame Soleil, vous savez, celle ultérieurement interpellée durant la fusillade de samedi dernier qui, vue bon nombre de fois bourrée comme une outre et droguée comme une truie violette qui proutait joyeusement la sérénade matinale, avait décidé de se pendre violemment.

 

Albator était évidemment bien présent sur les lieux de ce coup foireux, qui ne sentait pas l'intérieur de la biche fraîche, mais plutôt embaumait la lavande avec des filaments de barbapapa rouillés. Capitaine Flam voulut manger des bonbons au goût de fraise tagada, mais un goût réglisse qui piquait les nasaux le secoua si violemment qu'il se coupa la langue avec ses cheveux mouillés.

 

Il se greffa des yeux de chat semblables à une paire de billes, et des oreilles d'éléphant pour capter la TNT et décoder Canal+. Hélas, il oublia de brancher le fil rouge sur son modem, et explosa quand il vit la matrice inlassablement subliminer passivement. Cette expérience ratée ne fit que l'envoyer à l'hôpital pour diclopsie articulaire redondante, hypertrophie pileuse et carence olfactive caractérisée. Malheureusement les médecins dénigraient toute entorse du ligament nazopubien : les poils bouclés et les croûtes de sa tante restés là depuis que le Pape nous a quittés, furent soigneusement extirpés.

 

Capitaine Flam n'était pas de notre galaxie mais de l'autre monde, le tiers monde du fond de l'Atlantide, pays du gnou aquatique et des peluches de zébus longs à poil court.

 

Les flatulences cosmiques progressaient insidieusement vers les terres hostiles et rocailleuses du sacrum, perdu dans un caleçon trop serré pour pouvoir s'exprimer longuement. Cependant Chloé renâclait jalousement envers les bisounours de la crèche voisine, où s'ébrouait un chat du nom de Brittney, car il chantait comme un beefsteak périmé subitement devenu aphone.

 

Brittney, nommé stupidement, se prélassait au bord du jacuzzi quand soudain un mimosa de Norvège perdit trois pétales, des poils pubiens sans aucun bruit et sans raison. Brittney s'étouffa avec un bretzel dégueu venant de Paricentre et qui puait le calendos alsacien de Normandie comme pas deux. Le SAMU, alerté, arriva deux jours après le capitaine, bien trop tard ! Mais Sarzoky avait prémédité le coup depuis longtemps, et pour cela, il avait appelé son chef de cabinet : « Manque-de-PQ ».

 

Outré par cet insupportable sobriquet, le ministre arriva pour botter le cul du foutriquet débile, et en profita pour secouer cet imbécile heureux qui lui vomit dessus. Pour résumer, il est indispensable de faire un don pour que Chirac et ses acolytes puissent enfin se frotter les mains avec du savon aux huiles essentielles. De toute façon la crasse étant si importante, il faut agir rapidement sinon les morbacks, aussi nombreux soient-ils, vont attaquer les poils crâniens gaulois « d'en bas ».

 

Après désinfection, il se brossa les pattes arrières avec soin. Sa moustache à l'anglaise puait tellement que son coiffeur refusa la collation que lui proposait Nicolas. Notre moustachu détala quand arriva le moment fatidique. Pimprenelle, scandalisée, entra dans l'isoloir pour pleurer sur son sort. Le coiffeur et le boulanger, étonnés, se lancèrent à l'assaut de la barbe pour pouvoir la domestiquer.

 

Le curé, pour les aider, acheta un cochon nommé Arsène, qui était apprivoisé. Ils se tournèrent vers l'animal pour lui demander son permis de pêche mais, manque de chance, il ne voulut pas obtempérer. Ils durent employer la douceur légendaire des fées sylvestres pour pouvoir lui arracher des pieds l'hameçon tordu qu'il avait agrippé. Finalement, le porc soulagé remercia goulûment ses sauveurs, rassurés sur son sort, et proposa une pause.

 

Tous les protagonistes décidèrent de lui attribuer la palme du mérite agricole pour l'accouchement de Léonie Gratin, l'élève la plus douée de l'école de DUCOBU. Sans exception, monsieur, nous avons tous voté pour Arsène Lupin ! Nous trouvions la situation très énigmatique et sibylline, obscure et inquiétante, presque même plus inquiétante que jamais.

 

Nonobstant pourtant quelques précautions, nous nous en allâmes vers Sainte-Geneviève-des-Fées-des-Prés pour y vendre de la camelote garantie pur toc ! Mais personne ne savait que Robert l'endive blanche, le fameux receleur aux dents jaunes, scrutait son ordinateur. Il cherchait fébrilement une pastèque flétrie, reniflant le vent avec gourmandise et circonspection, quand soudain Circonspection hésita sur l'Immaculée Conception qu'il circonvint pour maculer conceptuellement de sa main le tableau idyllique très connement paluché aux fines herbes.

 

« Quelle déception », pensa Zézette, subrepticement revenue du fort lointain jadis habité par des ermites errants. Elle apostropha Robert qui la trucida. Lorsque la police intergalagtique et interquantique remua les viscères, Robert avoua que le chat était mort ET vivant.

 

L'inspecteur, Père plexe, surnommé « des Ricks », voire « S'coue irréel », en déduisit que « colomb hausse » les deux réglizes (alamente) : comprenne qui pourra ! En langage poulet, ça signifie « yaunbleme », c'est clair ! Mais en langage zébulonien, on peut traduire : « no tigre », « no Dylav » ou encore « no pasaran ».

 

C'est alors que Sylvitara revint expliquer combien elle fulminait contre Fantom-X, et comment elle avait l'intention de ressusciter Zézette, la chatte « fantôme ». Elle rêvait, Sylvitara ! Elle rêvait, oui, d'un monde meilleur où tous les esprits perfides seraient rééduqués dans un asile psychédélique...

 

Mais Zézette était loin de s'en douter, dans sa tombe bouillasseuse, bien loin même. La question « qui, que, quoi, oùçà, comment faire, etc.? » restait entière. Finalement non, la marmotte, elle non plus, ne pouvait croire que Laurent Ruquier ait pu se marrer dans l'isoloir quand Sarko a revêtu son costume de Zorro.

 

Et pourtant, s'estimant délaissée, elle appella la SPA (Super Protéines Alanines) pour réapprovisionner son Gé pé esse, et aider Zézette. Entreprise difficile, mais, sans ailes que peut-on faire ? Sans notre Fée, « Ph » précède « antom » comme Laurel Hardy. Mais Laurel Népahardie et Hardy Néandertal montèrent un sketch désopilant, hilarant, bidonnant dont le succès fit leur fortune.

Richesses en poche, nos trois compères dépensèrent sans compter en l'honneur des cons pères Dipardiou et Ritchââd. Cependant ils virent que la perruque de la fée bouclait fort joliment, laissant échapper trois ou quatre papillons...

 

« Un effet sensationnel ! », se dit Dipardiou en mangeant son sandwichiou à la pastèque bleuie par sa salive corrosive, tandis que Ritchââd goûtait à la sandwichââd à la mayonnaise farcie et avec une olive. Le goût s'exacerbe jusqu'à l'extase lorsque soudain par hasard sourit le palais. Mais pourquoi s'étonnent-ils lorsque quelqu'un barre l'accès au guide gastronomique Michelin ? Ne serait-ce que pour lui, il faut envisager plutôt l'une que l'autre. « Cependant, considérons gaiement la situation et suicidons-nous dans les champs de colza en fleurs », déclara soudain Casper, inévitablement morbide et pourtant blagueur invétéré.

 

Quant au tigre (celui des frosties, bien plus beau que l'autre, celui de Zébulon), il s'empressa de se tatouer « Vive la vie » autour du nombril. Il avait oublié que Neyra veillait tard, chaque soir bien après l'froid d'canard qui lui engourdissait ses petites joues soudain devenues noires. « Il était temps petit navire qui navet jajajamais navigué, ohé ohé Mattlau ! » chanta-t-elle soudain. Mais Mattlau attentif tel l'épervier aveugle, sourd, endormi, mais pas complètement, seulement la moitié d'une quintefeuille, vit alors venir un gros machin : « Neyra elle-même ? », vexée, humiliée, anathémisant.

 

Mais si Belle (comme un orang-dégoulinant de jalousie, l'avait su Hélène voir JR) s'était plantée comme une carotte, elle avait néanmoins cru sinon qu'elle pourrait simuler sa propre mort. Mais personne n'admet facilement que le tarama du Grec d'à côté est dégueulasse, même arrosé de fientes de poules et de chouchenn. Mais comme le crabe au paprika n'est pas meilleur en soi, nous nous devons de lui ajouter de la moutarde.

 

On aura beau dire, les gambas rôties au four avec membres humains, façon cannibalisme Aztèque, se digèrent bien moins aisément que la purée d'anchois au marsala. Depuis trop longtemps, cet alcool peu connu a conquis les grandes Toques. Mais depuis pourtant règne un chaos calme et reposant, qui nous change, provisoirement, des misérables dunes du Drâa, destination récemment revisitée, si souvent hantées de gros blaireaux criards, envahissant sans vergogne notre imagination, déjà bien aiguisée et débridée par leurs plaisanteries égrillardes.

 

Changeons de destination : Enfonçons-nous maintenant dans les profondeurs lascives du délicieux bain des sources chaudes d'Ankara. Kizilcahamam, Ayas, Haymana et leurs épouses ont donc décidé, sans la moindre précaution cependant, de barboter gaiement dans ce charmant « rayon vert », inhabituel en cette saison hivernale. Ceci prouvait donc (cf. SylvitaGuide, p.79) que les voyagistes écoutent les femmes lorsqu'elles veulent vivre des vacances avec leur amant, peinardes, loin de la chapelle où elles ont convolé avec un rustre fumeur de chibouk.

 

En tout cas, Bernard et Simone, y revenant pour se remémorer les ennuis rencontrés lors de cette ultime excursion en Catcat dans la montagne, furent choqués de constater l'énorme vide laissé par l'accroc au protocole de l'entente cordiale qui, diplomatiquement perverti, empêche toute forme de communication verbale. Ce point éclairci, ils grâcièrent charitablement la donzelle bleue qui s'en fichait, pas concernée par toutes ces contraintes de bienséance.

 

La sérénité revenue, il fut décidé que les vacances avaient porté leurs fruits. En effet, Bernard avait laissé Simone seule pendant qu'il secourait charitablement une orpheline aveugle dénuée de tibias et velue comme un orang-outan. Perclus de remords, morclus de permords, ils filèrent précipitamment vers le précipice pour éprouver la sensation folle d'être les rois du forum de Yann le grand et de ses disciples si joyeux. Bernard s'écria : « Ouh ! La menteuse ! -zeu , elle est peu clairvoyante, Simone » !

 

Pour des vacances éventuelles, Bernard décida qu'il faudrait envisager le pire, lui dire qu'il avait besoin d'un ordinateur pour rechercher la maison de ses premiers « larcins », afin d'expier publiquement ce pour quoi il avait été lourdement condamné. Pourtant, Simone accepterait-elle que sa maîtresse lui beurre ses tartines, tant elles se détestaient profondément. Toujours est-il qu'elle accepta volontiers une petite goutte de calva, ce qui n'était pas étonnant vu sa profonde pépie matinale.

 

Elles enterrèrent provisoirement la soupière d'argent dans le potager radioactif du voisin qui n'avait pas la chance d'être dans sa cabane au moment du drame : il faisait caca ! Bernard entreprit alors d'agiter son carton rouge : « Pénalty ! »

- Quoi, s'interrogèrent les deux mémères un peu commères, il nous expulse ?

Elles décidèrent aussitôt de remédier à la situation précaire du voisin constipé du caca dur, mais juste, posé derrière cet homme aux allures incertaines. Soigneusement, l'une des deux mémères, à chapeau pointu introduisit lentement dans la fente de l'horodateur sa première alliance, qui datait déjà de Mathusalem. Il hurla « Pénalty ! » à nouveau, sans prendre conscience de la gravité des séquelles hémorroïdaires qu'il infligeait à son fondement.

 

Ces considérations médicales, trop pénibles à la vue d'une DKlâgOR en plein désespoir de n'avoir toujours pas embrassé Rojni, sur les antennes de Radio France, furent heureusement inaudibles. Car Thorgal veillait sur les boulets qu'il traînait depuis trop longtemps dans son topic soi-disant tendancieux, où les fous se précipitent actuellement, talonnés, inévitablement, par l'obsédée sexuelle aux jambes interminables et mal épilées, mais toutes bronzées. D'un autre côté les boulets, sentant le proctologue aller au fond de la connerie masculine, rebroussèrent chemin, et foncèrent acheter des glaces et du saucisson.

 

- Vraiment n'importe quoi, s'égosillait Rojni, y'a pas qu'ça dans not'porte-monnaie percé, y'a aussi mes capotes, cadeau d'Ayoros un soir de totale générosité.

- Tu ne dois pas croire toutes ces âneries bien que, apparemment DKlâgOR embrasse goulûment, sans retenue, le beau Thorgal ! lui objecta sa conscience débridée de tous préjugés, puis : Ouvre les cuisses de grenouilles aillées, déguste leur chair, fais un rot, et... basta !

- Le jour se lève sur Zebulon, mais fait froid ce matin, pensait Zézette. Vite... ma culotte en dentelle de Bretagne, pour éviter le coup de boutoir de mon circuit d'aération.

 

Pendant ce temps, Rojni, toujours occupé à courtiser les filles du forum, passait pour un dragueur invétéré, alors qu'il essayait simplement de parfaire sa culture générale, dans le JVRAD. Méthodiquement, respectueusement, il appliquait la méthode « boulet », reconnue universellement, et préférable aux manières déplorables des membres féminins de Belgique, et en totale contradiction avec les françaises déjantées présentes sur Zébulon comme par exemple la troublante DKlâgOR ! Toujours, on revient et on repart, la vie ne retient que les coups durs, et les vainqueurs plastronnent.

 

Charivariés ou pas, les protagonistes, dans le doute, exécutent à la kalachnikov ceux qui omettent d'honorer Manly sans lui demander la permission. Dylav chatouille les pieds de la belle quand soudain, sortant du bois, enchantée de les voir, la belle Sofy et son panier contenant une galette, l'interpelle :

- Mon doux chaton, que ne le disais-tu pas plus vite ? Je suis toute excitée de jouer au scrabble avec un champion du délaçage de bottines en peau de crocodile.

 

Interloqué, le brave Dylav en perdit son flegme à rayures et ses illusions. Quant à Zézette, endormie depuis longtemps, elle rêvait de smileys destinés à ne pas disparaître dans le canapé du poste de garde du campus.

Quand soudain, sortant du néant, l'inénarrable Casper voulut manger la galette d'oxymores confits. Mais avant de savourer la bûche, il but goulûment douze bières bien tièdes et fermentées (comme les Anglais picolent aussi gaiement) et vomit sur les pattes du tigre à rayures.

 

- Pouah, s'écria Zézette, écœurée, vous êtes toujours aussi fiers d'être de gros dégueulasses... après avoir ramassé des bouses à tire-larigot dans l'écurie du roi de Prusse. Elle en profita pour flatter les gardiens :

- Hé ! bonjour, que vous êtes beaux, dans vos noires soutanes ! Viendrez-vous partout et toujours nous protéger ? Tigrou chéri, tu ne nous ferais pas un beau prétendant : Dégage, immédiatement !!! Espèce de GUEUX !!!!

 

Le pauvre Dydy répudié, Zézette invita le vieux Jean Mimi à rejoindre Décalgore au banc solaire. Avec sa casquette et son litron, sa baguette et son air c.. , il ramait désespérément à contre-courant pour aller vers la perfide Albion. Il ne savait pas quel chemin avait pris son navire à vapeur qui s’était échoué sur la plage remplie de petites Déclagor en bikini. Accostant enfin, il vit au loin deux autres bateaux transportant des trésors de Bikini pour la bande à Jean Mimi qui s'était enfuie en tenue légère, ce matin après la tempête de sable. Finalement, il décida de se coucher et de boire un cocktail auprès de sa douce et vertueuse Bell(g)e. Celle-ci malheureusement était de très loin hirsute comme un balai brosse du concierge de la voisine du côté de Belgique près du Luxembourg. On y trouve un énorme château avec plein de fenêtres mais aussi des meurtrières.

 

Jean Mimi s'est aperçu du mauvais tour que lui a joué son ami pirate, aussi menteur qu'un père Noël arracheur de dents du désert de Gobi. Il crie « au secours » mais, l'épaisseur des murs faisant en sorte de ne laisser passer aucun son, il attend que la mer monte, que les crabes et les petits oursins tout piquants lui grimpent sur ses jambes poilues. Et dès lors il savait que tout était perdu car son coiffeur lui avait loupé la raie sur son torse velu. S'agrippant aux poils, tel un morpion plein de sang trouvé dans un bocal d'apothicaire, il s'accrocha si fort que sa casquette se défilocha en tout et pour tout. Pendant trois jours, plutôt trois nuits par semaine, c'est sa peau pleine de boutons purulents, de pustules, qui s'est effilochée, irrémédiablement flétrie.

 

- Ça suffit maintenant, dit Nicolas Sirkis, je vais vous décontaminer tout ça au napalm et en chanson.

- Prout, dit-il, tout étonné de revoir Dylav après tant d'épreuves passées auprès de sa taie d'oreiller ! L'odeur pestilentielle de cheveux gras devenait assez déconcertante.

- Pourquoi, s'exclama Zézette, les laver ? J'aime mieux les couper !

Telle Dalilah tondant Sanson, les poux, dévorant la crème pâtissière, ne laissèrent rien et Dylav rasé n'osait plus sortir au grand marché aux puces. Il se rabattit sur une très belle perruque blond vénitien avec délectation, en soupirant :

« Zézette... je te hais et je vais, de ce pas, te mettre ma banane dans ton oreille gauche empoilée ! »

 

Les sourcils froncés, Rion s'impatientait en trépignant sur le petit Lapin déjà mort sous la vodka et les restes de boyaux pleins de Nutella avarié. Elle rendait bandante la corde de l'orang outan poilu qui avait grimpé à l'arbre de la connaissance sans attendre « Machine », car elle photographiait des monuments parisiens. Lorsque Zézette revint pour la curée, elle fut sidérée par des photos de si belle qualité, et félicita chaudement Manly la Belge pour la bière.

 

Elles trinquèrent joyeusement jusqu'à plus soif. Bref voilà une soirée qui commençait plutôt bien arrosée et qui promettait des surprises éthyliques et rosées. Zézette, sans zéziter, se lança dans un dernier sursaut vers Rion pour créer un nouveau topic avec elle, la tortura jusqu'à ce que chose fût faite, au grand désespoir de toutes les demoiselles de Zébulon !

 

Soudain, sans crier gare, le petit kangourou et le crocodile se précipitèrent dans le frigo où se trouvaient des choses : une canette de coca, des gambettes de grenouilles de bénitier et un calendos. Une ambiance glaciale régnait tout autour de la table ronde des chevaliers du désordre... Imperturbablement, l'animateur Arthur, tel un clone sans culottes et sans prétention, présentait sa mère à la belle Estelle. Piquée au vif comme le cul d'un oignon en sauce, Zézette intervint immédiatement :

- Je fais un couscous chéri, je fais aussi des boulettes (errare humanum est) et des petites maladresses inexpliquées également... Suis pas infaillible ! Juste un peu ravagée du bulbe, comme mon Cyrilou ne peut pas se mobiliser pour m'aider à améliorer mon aurteaugraffe... mais je me soigne au Ricard !

 

Arthur, quelque peu désemparé devant tant de nonchalance, baissa grossièrement les yeux, et son caleçon. Explosant de rire, Zézette le compara à un zèbre : plutôt flatteur, non ? A ces mots, le bel Arthur laissa tomber sa mâchoire (fâcheux, ça !), pourtant récemment révisée. La pilosité rionesque (si peu...) était néanmoins tellement surprenante pour les raseurs de tout poil !

 

Cyril complimenta Zézette pour son objectivité bien connue et ses participes passés. Mais le bidet, épuisé, déclara forfait.

- Fait soif, dit Cyril toujours aussi poilu mais aussi assoiffé, je prendrais bien un café avec un peu de citron chaud et du beurre salé sur une tartine pour conclure.

- Il ne reste que DKlâgOR pour manger le canard et montrer ses talents cachés de grande prêtresse du mauvais goût musical et de la litote sentimentale, par exemple, objecta Zézette.

 

En attendant, elle préparait Bluemonday à la pire torture jamais faite : écouter Cyril et Fifi chantant comme des lofteurs ! La honte ! Heureusement ce n'était que des chansons à la mords-moi le goupillon car Bluemonday était moine bouddhiste. Elle est donc passée du tout chevelu au tout tondu, comme Francis Lalanne et Sinnead O'Connor, mais pas comme Chubaka qui avait un cheveu sur un ongle incarné. Chubaka cria :

- Ouahahahahaaa aye aye caramba ! Ché oun tourture, léchez-moi partir, lé cloub dech bouléch dicoune grave !

 

Il fallait voir la tronche de DKlâgOR, détalant comme un ectoplasme à moteur... Mais Cyril, qui n'avait pas une once de bon sens, dut appeler à l'aide pour devenir le roi du pétrole ! Cependant elle n'appréciait guère ce genre de comportement et ne tarda à débloquer, à contre-cœur mais à coup sûr... Son seul neurone mort d'inactivité, Cyril ne pouvait faire « Spyder Cochon » sans risquer de péter une durite !

 

C'est alors que Fifi, complètement stoned, sauta sur DklâgOR, de joie et de dépit. Elle soupira tristement quand Dylav annonça la fin des haricots géants :

- Mais qu'arroserai-je lorsque les poules disparaîtront aussi ? Pourquoi ne pas geler les photos compromettantes dans le freezer du Club ?

- Les négatifs seront brûlés au sèche-cheveux, déclara arbitrairement le modérateur fou qui, rêvant d'une abolition des topics parlant de locomotives, préférait les Happy Hours pour se torcher sévère.

 

Maintenant, il va falloir mettre à plat la batterie de cuisine de Manly, supprimer les couteaux, mais pas la braguette magique de notre cher et raffiné Cyrilou, poussé par DklâgOR à avouer son dernier crime passionnel. A cette découverte il s'est sauvagement mutilé le gros orteil droit, et son énorme nez l'empêchait de sentir le vent tourner.

 

Mais Zézette, revenue de son périple somptueux, telle l'Hydre au m@il, décida de flooder la room sérieuse et le JVRAD... Attention ! Car, si Dylav vous surprend à picorer toutes les cacahuètes sans lui et sans vergogne, je crois que ça va chauffer, que la vapeur va faire sauter le capot de sa tire. Ainsi, le tigre à poil dur pourrait bouffer les imbéciles sans en laisser la moindre trace.

 

Zézette tenta de dissuader ce brave Thorgal de cesser d'abreuver le Gang des Boulets avec son infâme tête à claque, en l'invitant à reconsidérer sa position tantrique, puis enfila des bas et un sous-tifs assorti à son string rose à fleurs vertes. Ainsi accoutrée, elle débarqua avec fierté dans la plus haute sphère nébuleuse et pétillante des nightclubs branchés : le Zézite's.

 

- Mais j'y pense, dit-elle stupidement, personne ne me voit comme je me vois. Je suis là, bête comme une ex-top model poussant la chansonnette telle une morbide limace anémique©, au timbre chaud et envoûtant. Si je dois morfler telle une divine et adorable boulette, autant aller acheter auparavant un immonde et répugnant paquet de Tampax usagés et m'en faire un collier.

 

Pendant qu'elle s'imaginait monter sur un vélib' parisien (la plupart volés), afin de rejoindre Pigalle, ses trottoirs vraiment remplis de touristes et ses bars pittoresques, Zézette croisa deux Écossais passablement éméchés qui se rendaient au plus hard des tatoueurs et pierceurs, sans bien comprendre pourquoi au-delà des rues sombres. Soudainement, Zézette décida : « Finir phrase précédente ! Commencer la suivante ! »

 

Fière d'elle, un instant seulement, elle se mit à penser (sic) ce qui est rare pour une copine de Dylav, même pas blonde! Et pourtant elle est vraiment très très belle, Zézette, très très bête, encore plus que la belle Miss DKlagOR qui pourtant connaissait l'orthographe mieux que Thorgal ! Mais alors elle préféra s'abstenir et, de ce fait, ferma saboîte de Pandore. Sage décision.

 

Tandis que les dents de l'amer s'entrechoquaient comme des tronqueuses de scie sauteuse déchaînée (sic), Michel décida d'ulcérer des strings ficelles en tressant des bretelles de lin rouge. Sur ces entrefaites arrive Jean-Mimi qui, de manière honteuse, s'exclame : « Iatrodmodenlpostaciril ! », célèbre cri du singe à poil dans la main. Ce n'est que dans la mouise que l'orang-outan du Jardin des Plantes, qui par ailleurs ressemblait à Rion en période de désintoxication, réussissait à se désalcooliser et procréer avec Jean-Edouard et Loana.

 

Il savait toutefois qu'il était présomptueux de tenter l'ajout verbal vers les plébéiens, forcément limités culturellement. Tigrouette, leur mentor, de même paressait voluptueusement au soleil de minuit. Pourtant, les loups hurlaient comme des cochons auxquels on aurait tire-bouchonné la hure... quelle douleur ! Dès lors que la raie se déplace, les regards se croisent au vers le plus érotique du poème, erreur une Manta ! Malheur à ceux qui parcourront ce salmigondis indigne de trois, quatre pustules suppurantes et purulentes, ils risquent de s'ancrer dans une rigidité morbide au point de prendre définitivement racine.

 

Alors survint, soudainement autant qu'inopinément, errare humanum est, le soldat inconnu gisant tout nu, persevare diabolicum, sur, veni vidi vessie, un écran géant. Alors il leva son verre de pastis et dit : "Je vous bénis, de m'avoir...

- Cognac-Jay, à vous les studios !

- ... interrompu !

- Cognac-Jay ?? Foutue liaison satellite...

- ... merci !" conclua Pastisophile.

 

Ce dialogue ésotérique, digne de BHL, n'était pas piqué des hannetons comme dirait Arielle, sa femme canon. Pour André Glucksmann, autre gloseur professionnel, rallié à Sarko, la raison du plus fort est comme le camembert : redoutablement puante ! Ainsi l'Empire chut, tant et si bien que notre dévoué correcteur anonyme fut l'arroseur arrosé, merci la pluie... bonjour les bottes ! Et le ciré !

 

Contre toute attente, les nouveaux philosophes

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Il savait toutefois qu'il était présomptueux de tenter l'ajout verbal vers les plébéiens, forcément limités culturellement. Tigrouette, leur mentor, de même paressait voluptueusement au soleil de minuit. Pourtant, les loups hurlaient comme des cochons auxquels on aurait tire-bouchonné la hure... quelle douleur ! Dès lors que la raie se déplace, les regards se croisent au vers le plus érotique du poème, erreur une Manta ! Malheur à ceux qui parcourront ce salmigondis indigne de trois, quatre pustules suppurantes et purulentes, ils risquent de s'ancrer dans une rigidité morbide au point de prendre définitivement racine.

 

Alors survint, soudainement autant qu'inopinément, errare humanum est, le soldat inconnu gisant tout nu, persevare diabolicum, sur, veni vidi vessie, un écran géant. Alors il leva son verre de pastis et dit : "Je vous bénis, de m'avoir...

- Cognac-Jay, à vous les studios !

- ... interrompu !

- Cognac-Jay ?? Foutue liaison satellite...

- ... merci !" conclua Pastisophile.

 

Ce dialogue ésotérique, digne de BHL, n'était pas piqué des hannetons comme dirait Arielle, sa femme canon. Pour André Glucksmann, autre gloseur professionnel, rallié à Sarko, la raison du plus fort est comme le camembert : redoutablement puante ! Ainsi l'Empire chut, tant et si bien que notre dévoué correcteur anonyme fut l'arroseur arrosé, merci la pluie... bonjour les bottes ! Et le ciré !

 

Contre toute attente, les nouveaux philosophes, déchus du gauchisme

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Alors survint, soudainement autant qu'inopinément, errare humanum est, le soldat inconnu gisant tout nu, persevare diabolicum, sur, veni vidi vessie, un écran géant. Alors il leva son verre de pastis et dit : "Je vous bénis, de m'avoir...

- Cognac-Jay, à vous les studios !

- ... interrompu !

- Cognac-Jay ?? Foutue liaison satellite...

- ... merci !" conclua Pastisophile.

 

Ce dialogue ésotérique, digne de BHL, n'était pas piqué des hannetons comme dirait Arielle, sa femme canon. Pour André Glucksmann, autre gloseur professionnel, rallié à Sarko, la raison du plus fort est comme le camembert : redoutablement puante ! Ainsi l'Empire chut, tant et si bien que notre dévoué correcteur anonyme fut l'arroseur arrosé, merci la pluie... bonjour les bottes ! Et le ciré !

 

Contre toute attente, les nouveaux philosophes, déchus du gauchisme de droite centrale

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Alors il leva son verre de pastis et dit : "Je vous bénis, de m'avoir...

- Cognac-Jay, à vous les studios !

- ... interrompu !

- Cognac-Jay ?? Foutue liaison satellite...

- ... merci !" conclua Pastisophile.

 

Ce dialogue ésotérique, digne de BHL, n'était pas piqué des hannetons comme dirait Arielle, sa femme canon. Pour André Glucksmann, autre gloseur professionnel, rallié à Sarko, la raison du plus fort est comme le camembert : redoutablement puante ! Ainsi l'Empire chut, tant et si bien que notre dévoué correcteur anonyme fut l'arroseur arrosé, merci la pluie... bonjour les bottes ! Et le ciré !

 

Contre toute attente, les nouveaux philosophes, déchus du gauchisme de droite centrale et du centrisme

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Alors il leva son verre de pastis et dit : "Je vous bénis, de m'avoir...

- Cognac-Jay, à vous les studios !

- ... interrompu !

- Cognac-Jay ?? Foutue liaison satellite...

- ... merci !" conclua Pastisophile.

 

Ce dialogue ésotérique, digne de BHL, n'était pas piqué des hannetons comme dirait Arielle, sa femme canon. Pour André Glucksmann, autre gloseur professionnel, rallié à Sarko, la raison du plus fort est comme le camembert : redoutablement puante ! Ainsi l'Empire chut, tant et si bien que notre dévoué correcteur anonyme fut l'arroseur arrosé, merci la pluie... bonjour les bottes ! Et le ciré !

 

Contre toute attente, les nouveaux philosophes, déchus du gauchisme de droite centrale et du centrisme, deviennent maintenant humanistes

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