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Effectivement... paradise974.gif

C'est alors que Yann décréta « Vive les signatures » ! La mode envahissante des réseaux sociaux et de la smartphonie à outrance l'avait incité à cuisiner Laps pour comprendre la théorie du complot.

« Vaste sujet », ajouta péremptoirement Dylav, qui n'en était pas moins convaincu que la raison du sponsor est toujours la meilleure ! C'était sans compter Tonton, qui essuya d'un revers de manche la trace de rouge à lèvres écarlate que Zézette avait négligemment laissée sur sa prothèse en tungstène. Quel impair ! Tonton osa cependant dévisser ladite prothèse, malgré la douleur de l'amputation.

De manière tout à fait hypocrite, Zézette revint alors à la charge : à la surprise de tous, elle embrassa Laps qui n'en demandait pas tant. C'est ainsi que le misérable dut s'agenouiller et commencer à lui masser les pieds avec un vieux parchemin trouvé dans un tas de prunes avariées. Mais telle palpation sommaire réveilla son envie de meurtre ainsi que sa grammaire estomaquée par tant de prodigieux borborygmes aussi inattendus que gravissimes, et il se dit que rien ne vaut un modérateur imperméable à la bière Heineken. Seul(e) Grimbergen

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Je vous kaola.gifEt puis c'est pas moi qui l'ai remarqué c'est Firefox qui me l'a souligné en rouge bien voyant

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C'est alors que Yann décréta « Vive les signatures » ! La mode envahissante des réseaux sociaux et de la smartphonie à outrance l'avait incité à cuisiner Laps pour comprendre la théorie du complot.

« Vaste sujet », ajouta péremptoirement Dylav, qui n'en était pas moins convaincu que la raison du sponsor est toujours la meilleure ! C'était sans compter Tonton, qui essuya d'un revers de manche la trace de rouge à lèvres écarlate que Zézette avait négligemment laissée sur sa prothèse en tungstène. Quel impair ! Tonton osa cependant dévisser ladite prothèse, malgré la douleur de l'amputation.

De manière tout à fait hypocrite, Zézette revint alors à la charge : à la surprise de tous, elle embrassa Laps qui n'en demandait pas tant. C'est ainsi que le misérable dut s'agenouiller et commencer à lui masser les pieds avec un vieux parchemin trouvé dans un tas de prunes avariées. Mais telle palpation sommaire réveilla son envie de meurtre ainsi que sa grammaire estomaquée par tant de prodigieux borborygmes aussi inattendus que gravissimes, et il se dit que rien ne vaut un modérateur imperméable à la bière Heineken. Seul(e) Grimbergen l'abreuve, amen !

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... compilation, suite (partie précédente :  17091202373123223815265532.gif par là)

 

Ayant néanmoins soif, les yeux pétillants, prêts à faire d'une pierre une mousse, Tigrou et Winnie buvaient les paroles de Papillon :
— « En vérité, il serait prudent de vérifier les piles de ton sonotone, petit sacarabée : sinon tu risques de ne pas entendre le train ! »
— « De la vie ? »
— « Celui qui sifflera tout près de tes petites oreilles… risque de se faire mordre les gencives, très douloureux ! »

Avant même que, la nuit tombée, le lapin ait pu traverser la Voie Lactée, “Papillon de lumière” résonna dans le cockpit du B 17, surprenant les passagers dans leur sommeil :
— « Voglio una donna », hurla Tigrou, bilingue ! La langue italienne, sauce piquante, merveille latino-cannellonique de la vallée de Géhenne… « Che miseria ! »

Soudain, gros sifflement… Terrassant sur place Papillon, mosquito loco de la ciénaga, Sa Majesté OlivierZ, petit descendant d'Étoile des Neiges et Cindy Sander, dégaina son fabuleux reblochon ! Aux abris ! Il faut dire que sous ses lentilles scintillantes, il cachait un regard patibulaire mais presque…

Suffoquant, Papillon hurlifflouma profondément avant de s'immoler définitivement pour échapper à la honte de servir l'ennemi du Grand Schtroumpf. L'hagard Kamel en profita pour hululer son angoisse :
— « Si la salsepareille, arme de Gargamel, titille le derrière comme le devant, nous n'avons qu'à mettre du ketchup dessus ! »
Cri du désespoir : « Du ketchup bleu d'Auvergne… Palsembleu ! »
Las, que sont les gueulardises devenues ? C'est que, sournoise, malacie guette une chaise pour bloquer la porte !
— « Vade retro ! Ne fais point ceci ! Tu risques de t'infester l'aorte, à trop t'asseoir sur la tranche du jambon de Bayonne ! Essaie plutôt de t'entraîner à surveiller l'heure avant que les escargots sortent pour courser les limaces ! »

La langue râpeuse derrière des lèvres gercées, le rêveur “Roquet Longues Oreilles” était resté tapi sous la véranda. Le corps alangui, l'œil vitreux, l'haleine chargée, le ventre bedonnant, il pense le réussir sans que la couche d'ozone ne se croie attaquée ! Quel manque de délicatesse, car Claire Chazal, derrière le prompteur, commençait à transpirer dès le mois où les cigognes maguari d'Amérique tapotent sur lastminute.com pour noter les jours de grève. Comme disait sa grand-mère, Martine s'exclama :
— « Bon pli, bon œil ! Sus au tigrou, que rien ne saurait empêcher de courir après Séraphine. »
Pourtant, le monstre à poil ras éructa sa rage :
— « Cette signature me rappelle avec délicatesse : plie, tu ne saurais me résister !... »

Pendant ce temps, alourdie d'absinthe, le regard las, Gargamelle méditait vengeance...
— « Palsambleu, je vais leur réserver un tour dans les alcôves infernales, salopiauds : que les ténèbres les plus épaisses ensuquent ces homoncules ! »
Soudain, un chant puissant, venu de nulle part, retentit :
— « Vvviieeeennns poupoule, vvviieeeennns ! »
Suivi aussitôt par un tremblement chtonien : une fumée verte, qui courait dans le labyrinthe cortical fit apparaître un léger nuage bleu. Son clope avait pris feu par magie !

— « Ciel, quel est donc ce tohu-bohu dans la contrée de Schtroumpfette ? Serait-ce la rentrée des escargots de Bourgogne ? »

La meute gastéropode s'aventurait effectivement vers le champignon hallucinogène. C'était la curée ! Hélas, le végétal cryptogame ne survécut pas au pied vengeur du cyclope unijambiste, qui chuta lourdement sur la Schtroumpfette qui verdit subitement en éructant bruyamment.

Sans doute, elle ne pensait pas qu'il faudrait astiquer sa belle monture soyeuse et ses bottes de sept lieues ! Néanmoins, et plus encore, il devenait indispensable de servir avec parcimonie les boissons enchantées de ce genre de lascars bleus, parfois bien ivres.
Les pieds au chaud dans ses charentaises, elle s'inscrivit sur la liste des prétendantes au trône !
— « À nous deux !, lança-t-elle à Miss France. Ton costume ne fait pas le poids réglementaire. Tu dois enlever le gilet de sauvetage rempli de plomb. Garde le reste... »
— « Vilenies ! Le fiel que tu répands, vert, jaune, gluant, ne remplacera jamais le divin hydromel de notre vénéré grand gourou blond ! ».
Toujours attentionnée, Zézette évalua la chandelle : elle allait durer quelques années encore...

L'œil circonspect, elle décida néanmoins d'éviter de se réjouir trop bruyamment à cause de sa céphalée pas commencée. Délicatement, pour ne pas risquer de se compromettre, El Tiger retira ses sabots crottés et se pomponna les orteils. Satisfait du résultat, il s'assoupit sur ses lauriers, inconscient du danger.

C'est alors que Laps succomba [ben oui, quoi] aux avances de Lapsette, une toute jeune lapine aux grands yeux tendres... et la nuit passa si vite qu'ils durent rattraper ces heures supplémentaires (pas courant, ce concept... mais très conforme aux règles de Zébulon). Mais Zézette veillait, et surveillait, la chevelure en bataille, l’œil noir, sa future concurrente.

— Pas mon genre, rassure-toi, répliqua ce fieffé hypotigre qui, comme toujours, cachait bien son train derrière un énorme panneau McDonald's™ !

Néanmoins, la Zette avait bien remarqué un changement sensible dans le comportement erratique de son voisin de palier, le pourtant charmant Tonton de Lapsette (que de nouveaux voisins bizarrement vêtus, ou pas, selon saisons et circonstances). Ce quidam avait sciemment embrouillé le récit de ses frasques de jeune tueur à gages. Depuis, heureusement, il s'était refait dans la dentelle. Sot métier ou reconversion habile, telle était la question !
— Reconversion à Bill !
— GrosBill ou Bill de Boule ? Car Bill est maboul, d'autant plus que Zézette avait déclaré l'adorer !
— Comme quoi, finalement, quand l'amour jadis parfaitement filé, tressé, voire stressé, pour ne pas dire grave dingue...
Les interrompant, Zézette assena brutalement un coup de trique au lapin qui couina de douleur.
— Ça va pas ? J'vais tout casser si tu ne cesses pas !, protesta Tigrou qui aimait bien ce gaillard, depuis que la Zézette leur avait fait goûter aux joies de la modération sur les produits gras.

Sur ces entrefaites, Zézette décida de plaquer Tigrou pour quelque temps. Cependant, elle ne voulait pas le hérisser inutilement, déjà qu'elle avait joué au croquet avec la tête de loup de sa bergerie, alors qu'un ours pyrénéen approchait à pas tibulaires mais presque. Elle opta donc, sans entrain, pour une prudence inhabituelle autant que circonspecte.
Mais la surprise de voir ce galopin poursuivre ses rêves sans tenir compte de leurs cris de douleur, la laissa nauséeuse. Il faut dire qu'elle redoutait que le sapin laisse des traces comme cela s'était vu quand une brutale avalanche de compliments l'immobilisa tel un animal aveuglé par la lumière d'une année bissextile riche en rebondissements. Et quelle folie d'avoir cru que la poule, celle dont le dentiste avait fait un volatile édenté !
Cependant, elle avait déjà congédié son majordome, qui buvait tout en posant devant les caméras de surveillance du très réputé, mais aussi très décrié modératorium du JVRAD. Il faut bien dire que le meilleur du pire est souvent le plus court Chemin de Traverse vers le pire du meilleur, et encore ! Car maintes fois elle avait pu constater de visu sur sa balance que l'aiguille rechignait à montrer l'heure d'été, que Tonton affectionnait tant. Pourtant, Zézette ne pouvait ignorer la fameuse loi de Murphy, que Dylav allait endurer sans broncher...

C'est alors que Yann décréta « Vive les signatures » ! La mode envahissante des réseaux sociaux et de la smartphonie à outrance l'avait incité à cuisiner Laps pour comprendre la théorie du complot.

« Vaste sujet », ajouta péremptoirement Dylav, qui n'en était pas moins convaincu que la raison du sponsor est toujours la meilleure ! C'était sans compter Tonton, qui essuya d'un revers de manche la trace de rouge à lèvres écarlate que Zézette avait négligemment laissée sur sa prothèse en tungstène. Quel impair ! Tonton osa cependant dévisser ladite prothèse, malgré la douleur de l'amputation.

De manière tout à fait hypocrite, Zézette revint alors à la charge : à la surprise de tous, elle embrassa Laps qui n'en demandait pas tant. C'est ainsi que le misérable dut s'agenouiller et commencer à lui masser les pieds avec un vieux parchemin trouvé dans un tas de prunes avariées. Mais telle palpation sommaire réveilla son envie de meurtre ainsi que sa grammaire estomaquée par tant de prodigieux borborygmes aussi inattendus que gravissismes, et il se dit que rien ne vaut un modérateur imperméable à la bière Heineken. Seul(e) Grimbergen l'abreuve, amen !

Posté(e) (modifié)

En résumé (première et dernière phrase de la compil):

Ayant néanmoins soif, les yeux pétillants, prêts à faire d'une pierre une mousse, Tigrou et Winnie buvaient les paroles de Papillon :
Seul(e) Grimbergen l'abreuve, amen ! 

:D

Modifié par nthor
  • 4 semaines après...
  • Modérateurs
Posté(e)

Pas du tout ! la première phrase de la compil, c'était...

Le 22/01/2008 à 21:48, Dylav a dit :

Le 11 juillet 2006, cette histoire commença ainsi...

Chacun sait que sur terre vivent des individus ne pouvant pas être totalement humains.

:drinks:

Posté(e)

En résumé (première et dernière phrase de la dernière partie de la compil)

Ça te convient mieux comme ça :oops:

J'étais persuadé d'avoir déjà lu une réponse après mon message :hein:

Boarf, pas grave, à la tienne default_drinks.gif

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