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Tout ce qui a été posté par neyra
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XXX Vala, y'a pu... Pardon....
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Alors voilà, je fus choquée par la phrase "j'ai vraiment rien à dire" qui ne devrait pas avoir le droit d'éxister en tant que telle mais peu importe, moi ce qui me gènait c'est que, hé bien, quel est le sens REEL de cette phrase? Car en l'état, elle est fausse, soit d'un point du vue syntaxique, soit au niveau de la ponctuation car si "j'ai vraiment rien à dire" ne peut éxister, "je N'ai vraiment rien à dire" le peut ainsi que "j'ai vraiment "rien" à dire". Penchons nous à présent sur les sens et interprétations possibles de ces phrases. -La première, "je n'ai vraiment rien à dire", présente en elle-même un paradoxe: en effet, si je n'ai vraiment rien à dire pourquoi prendre la peine de le dire? c'est comme dire "je me tais" ou dire "je reviens" en partant. Tentons à présent de paraphraser cette phrase afin de mieux le comprendre. "je n'ai vraiment rien à dire" pourrait se glosser par "je n'ai rien à ajouter" et donc "ce que tu/vous as/avez dit se suffit en sois, il est inutile de continuer à débattre là dessus" mais alors pourquoi, oui pourquoi tant de topic furent-ils créés sur ce thème? C'est cette intérrogation qui va nous conduire à nous interroger sur la seconde possiblilité: -"j'ai vraiment "rien" à dire". L'énnonciateur semble ici ressentir le besoin d'articuler le mot "rien". Bon trés bien. Mais en disant "rien", ne dit-il pas quelque chose? On pourrait alors poser l'égalité rien=quelque chose, ce qui nous éclaire maintenant sur la synthaxe originale de la phrase "j'ai vraiment rien à dire" qui se passe de "N'" ainsi que de guillemets car elle signifie en fait "j'ai vraiment quelque chose à dire" Cependant, un raisonnement syllogique nous pousse à poser l'égalité quelque chose=rien, ce qui nous éclaire d'autant plus que l'on peut maintenant comprendre la phrase initiale comme suit: "j'ai vraiment quelque chose=rien à dire" qui peu se paraphraser ainsi: "j'ai quelque chose à dire de vide et de sans interêt, dire ce que je vais dire revient à ne rien dire". Et là, je dis: chapeau bas, chapeau bas à celui/celle qui a imaginé ce titre, en pensant à tout ça, alors que je suis sure que personne, non personne, ne s'est jamais donné la peine d'effectuer cette analyse afin de mieux comprendre le monde qui l'entoure.
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Mais Laurel Népahardie et Hardy Néandertal montèrent un sketch désopilant, hilarant, bidonnant dont le succès fit leur fortune. Richesses en poche, nos trois compères dépensèrent sans compter en l'honneur des cons pères Dipardiou et Ritchââd. Cependant ils virent que la perruque de la fée bouclait fort joliment, laissant échapper trois ou quatre papillons... « Un effet sensationnel ! », se dit Dipardiou en mangeant son sandwichiou à la pastèque bleuie par sa salive corrosive, tandis que Ritchââd goûtait à la sandwichââd à la mayonnaise farcie et
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REINETTE
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(Prenant immédiatement conscience de la profonde inutilité de leur délire syntaxico-étymologique, les deux gorets et le dromaludaire s'en furent vers des cieux plus cléments...), bien décidés à manger des clémentines et seulement des clémentines. C'est alors que le dromadaire s'exclama:"ha, vous dites 'clémentines' vous? moi je dis 'mandarines', c'est bizarre..." et nos trois amis de débattre sur le sens de la vie et la différence entre le mot "clémentine" et le mot "mandarine", s'agissait-il de deux mots différents pour une même chose ou de deux mots différents pour deux variétés différentes d'une même chose? Et puis, tout à coup, soudain, ils se rendirent compte qu'ils étaient morts. Fouillant dans leur mémoire, ils se souvirent de l'instant de leur mort, un si bel instant comme on n'en fait plus, un instant où si un chat passait, on le carresserait, un instant où si un oiseaux gasouillait (les oiseaus ne chantent pas dans ce genre d'instant, ils gasouillent) on tendrait la main vers lui en disant "tout beau bel ami, cercle jaune et croissant blanc, fait moi voir en mon révant qui j'aurai pour mon amant" Et c'est à cet instant qu'une terrible plume de dodo brandie par un non moins terrible individu leur avait fracassé le crâne. Et maintenant qu'ils étaient morts, maintenant qu'ils le savaient, ils allaient sombrer, ils allaient tomber, une chute sans fin dans l'infini du Dessous et rien, rien, ne pourrait plus désormais les retenir. Se rendant compte de l'horreur de la situation, ils se mirent à hurler, s'acrrochant les uns aux autres et c'est alors que dieu leur apparu et leur dit "La clémentine est une sous-variété de mandarine. Je vous laisse la vie, créatures insignifiantes. Vos débats me passionnent" et il les attrapa du bout des doigts et les déposa en plein...
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Encore un jeu... mais pas débile cette fois, stratégique...
neyra a répondu à un(e) sujet de neyra dans J'ai vraiment rien à dire...
pffffffff la moi, je crois que ce qu'il fallaiut tué c'était la FAILLE ESPACE TEMPS et donc j'utilise une COUTURIERE SPATIO-TEMPORELLE qui recoue le faille parce que ça fait malpropre -
PM INTITULé "MHHHHHHHH"...
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Encore un jeu... mais pas débile cette fois, stratégique...
neyra a répondu à un(e) sujet de neyra dans J'ai vraiment rien à dire...
le RETOUR A LA REALITE annule tes super pouvoirs innéxistants... ha oui, et elle fait de la bonne cuisine ta mère? elle utilise quoi pour parfumer le grondin quand elle le cuit au four? Sinon, elle est plutot nappe classique à carreaux ou plutot motifs provenceaux tape à l'oeil? -
DOUCHE
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Encore un jeu... mais pas débile cette fois, stratégique...
neyra a répondu à un(e) sujet de neyra dans J'ai vraiment rien à dire...
alors: -pour la buche, oui, je savais mais ça pouvait quand même être une allusion paillarde, (quand un mec dit "la mienne"... mais pas de généralités...) -pour les parents, je les tue avec UNE SERIE D'ACCIDENTS DOMESTIQUES DOUTEUX à laquelle ils finiront par succomber... - et si tu tiens à le savoir, j'habite dans l'Hérault et ho, que tu vas mieux dormir du coup... -
[split] Notre histoire, sans fin...
neyra a répondu à un(e) sujet de Inspecteur Derrick dans J'ai vraiment rien à dire...
Hé ben qu'est-ce qui te prend tout à coup? tu viens juste pour regarder, pas lire et, comble de l'impolitesse, le dire? .... Je dirais que tu es un cuistre mais je m'inhibe, je m'inhibe -
Encore un jeu... mais pas débile cette fois, stratégique...
neyra a répondu à un(e) sujet de neyra dans J'ai vraiment rien à dire...
dois-je y voir une fine allusion paillarde? un MOME UN PEU CON qui y fourre des ciseaux mouillés, flammes, fumée, prise consummée... C'est marqué, je viens de loin, trés loin... -
en plus, je suis obligée de t'admirer toi, et encore en plus, Squirell, je sais même pas qui c'est, nous n'avons pas été présentés...
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[split] Notre histoire, sans fin...
neyra a répondu à un(e) sujet de Inspecteur Derrick dans J'ai vraiment rien à dire...
tu devrais, sinon c'est bien la peine qu'on s'échine... -
Mais Laurel Népahardie et Hardy Néandertal montèrent un sketch désopilant, hilarant, bidonnant dont le succès fit leur fortune. Richesses en poche, nos trois compères dépensèrent sans compter en l'honneur des cons pères Dipardiou et Ritchââd. Cependant ils virent que la perruque de la fée bouclait fort joliment, laissant échapper trois ou quatre papillons... « Un effet sensationnel ! », se dit Dipardiou en mangeant son sandwichiou à la pastèque bleuie par sa salive corrosive
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héhéhé! pas mal! Et c'est ainsi qu'un pâle matin de juinubre, aux alentours de 17 heures 92, deux petits cochons se promenaient dans le désert en compagnie d'un dromadaire...souffrant de malnutrition et affaiblit par maintes saignées et mauvais traitements que lui infligèrent jadis les médecins qui, par hasard, lui avaient injecté le sérum inconnu jusqu'alors, et qui le resta car personne, non personne, ne remarqua qu'il avait été par mégarde crée par les sus-dit médecins, de l'immortalité. Le dromadaire atteint de l'immortalité qui lui avait été transmise par les sus-sus-dit médecins qui, soit dit en passant n'étaient pas tout à fait à blamer car bien qu'adepte de méthodes archaïque (ce qui est d'ailleur parfaitement justifiable par le fait qu'ils vivaient en des temps trés reculés, temps ou l'on soignait les dromadaires anémiques par des saignées, ce qui est parfaitement stupide mais, entendons nous bien, ne l'était pas à l'époque) étaient doués d'un immense savoir, même s'ils ne l'utilisaient qu'à mauvais escient car, l'ai-je dit? Ces médecins n'étaient pas vraiment des gentils, quoique la frontière entre le bien et le mal est aujourd'hui si mal définie que ces valeurs restent parfaitement subjectives, gambadait tranquillement aux cotés de ces deux petits couillons de cochons, je dis couillon mais j'aurai tout aussi bien pu dire roses ou ratiburique, à vrai dire cela n'a pas grande importance, qui eux-même souffraient du syndrome de l'échange de personnalité, syndrome découvert en 1894, diagnostiqué pour la première fois chez un moine boudin du Minesota par le docteur Piotr Vassilovitch Hridonski, qui leur pourrissait la vie à un point tel qu'ils auraient affectionné de mettre fin à leurs jours de manière brusque et brutale à l'aide par exemple d'un couteau mais ils n'arrivaient pas à trouver de tels outils dans le desert, c'est d'ailleur comme ça qu'ils avaient rencontré le dromadaire qui, des jours et des jours plus tôt, bien avant la saison des pluies, bien avant le premier diagnostic du syndrome de l'échange de personnalité en 1894 par le docteur Piotr Vassilovitch Hridonski chez un moine boubin du Minesota, bien avant le couronnement de la reine Brigitte I de Capislavie qui gouverne comme un pied mais que tout le monde ignore parce que son état ridicule et rachitique ne figure pas même sur la plus précise des cartes, bien avant la colonisation du Minesota par les moines boudins, arpentait déjà le désert à la recherche de la réponse à la question "Si on apelle noir le rose et rose le noir, comment appelle-t-on le rouge?" (réponse que l'on peut aisément formuler en établissant une échelle chromatique biministérielle mais je m'égare, je m'égare...) Et quand ils se rencontrèrent, il y a bien longtemps, c'est dans la joie et la bonne humeur que nos trois amis (oui, je sais, on n'a pas gardé les cochon ensemble mais j'ai décidé de les appeller "amis, je les apelle "amis" car c'est mon choix et que je suis libre de m'exprimer comme bon me semble bien que, en tant que femme, ma voix ait une bien moindre importance mais peu me chau) mirent leur quêtes en commun et depuis ce jour, ils èrent, faméliques et pathétiques, à la recherche d'un couteau et de la réponse à la question "Si on apelle noir le rose et rose le noir, comment appelle-t-on le rouge?". Ils commençaient à désespérer quand un matin, un pâle matin de juinubre, aux alentours de 17 heures 92...
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Encore un jeu... mais pas débile cette fois, stratégique...
neyra a répondu à un(e) sujet de neyra dans J'ai vraiment rien à dire...
un AVALEUR DE SABRE qui se reconvertit en avaleur de scie et donc, devinze quoi? hé ben il avale la scie! (si si! heu... je le fais? bon, allez: scie scie! arf! qu'est-ce qu'on se marre...) hou, ben c'était une grosse bûche alors... -
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TICKET DE CAISSE
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HAHAHAHAHAHAHHAHAHAAHHINHINHINHIN (éclat de rire se transformant en un rire délicieusement sarcastique...) 'le roseau un jour dit au chêne: "je plie mais ne romps pas"' méditez sur ça...
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Mais Laurel Népahardie et Hardy Néandertal montèrent un sketch désopilant, hilarant, bidonnant dont le succès fit leur fortune. Richesses en poche, nos trois compères dépensèrent sans compter en l'honneur des cons pères Dipardiou et Ritchââd. Cependant ils virent que la perruque de la fée bouclait fort joliment, laissant échapper trois ou quatre papillons... « Un effet sensationnel ! », se dit Dipardiou en mangeant son
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hé ben... ça c'est de la contribution... Ainsi naquit celle que par la suite on appella Neyra. Elle était la créature parfaite, éblouissante de beauté, d'une vivacité et d'une sagacité rare, douée d'un talent incroyable pour le complot, l'intrigue et la manipulation. Mais elle était seule, si seule... Waf et son chien décidèrent de lui créer un compagnon, qui plus tard serait tyran mais ceci est une disgrétion car à l'époque, ils ne le savaient pas encore. Waf décica de créer l'Homme à son image. Et il créa l'Homme. Il avait était batit pour la procréation et les hormones envahissant son corps le conduirent tout droit à Neyra qui était à vraie dire la seule créature humaine à un nombre infini d'années lumières à la ronde. Mais quand il commença à la courtiser, elle lui rit au nez. Il faut dire qu'étant à l'image de Waf, il n'était pas beau du tout. Waf décida donc de s'enfermer dans une crise d'autisme résultant d'un état dépressif profond et Cantèsconmanj, le chien, le sage, en profita pour prendre les commandes. Il pulvérisa l'Homme pour, en sa place, créer le Mâle, qu'il créà à l'image de ses rêves les plus fous, un éphèbe d'une beautée surprenante, d'une intélligence sans borne et monté comme un cheval. Ainsi naquit celui que par la suite on appella...
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[Split] encore un jeu... mais pas débile cette fois, stratégique...
neyra a répondu à un(e) sujet de scuny dans J'ai vraiment rien à dire...
en tout cas c'est quelque chose de méchant fait exprés pour embéter quelqu'un... -
Encore un jeu... mais pas débile cette fois, stratégique...
neyra a répondu à un(e) sujet de neyra dans J'ai vraiment rien à dire...
une grosse PLANCHE qui bouche le puit, au lieu d'une feuille de papier, qui aurait été un peu ridicule... -
POUSSE de CAFE