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neyra

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Tout ce qui a été posté par neyra

  1. Alors voilà, ça s'apelle le « Qui tue » Quelqu'un dit un mot et le suivant doit dire un mot qui "tue" celui de l'autre, qui annule son effet... Exemple : pain - pain => poule (elle mange le pain) - poule => cocotte minute (elle cuit la poule héhé) Ou encore (on peut faire des groupes de mots) : panne de courant - panne de courant => électricien (il répare) - électricien => tueur à gage (il tue l'électricien) - tueur à gage => déprime (le tueur à gage déprimé ne peut plus exercer) - etc, etc... Bon, là c'est du tout simple pour l'explication, mais ça peut être un peu tiré par les cheveux. Par exemple, - un absorbeur d'humidité => un fanatique armé d'un quéron (il défonce l'absorbeur avec) - un fanatique armé d'un quéron => un danseur (il danse à côté de lui et, d'un geste de la main, dévie le quéron sans faire exprès) et bien pire encore, sinon ce n'est même pas drôle Il faut se focaliser uniquement sur le dernier mot, tout ce qui a été dit avant sombre dans le néant, seul le dernier mot importe, et on peut l'utiliser de n'importe quelle façon, pas forcément dans le sens qu'il avait avec le mot précédent... le mieux est d'expliquer quel est l'effet de son mot sur le précédent car ce n'est pas toujours évident pour tout le monde. Quelques règles: - interdit de dire "dieu" - celui qui dit "bombe atomique" se déclare perdant et emporte tout le monde avec lui, il faut donc reprendre à zéro, ce n'est pas à utiliser à la légère... - pour tuer "la mafia" (au cas où ça arrive), on utilise "un requin" (demandez pas pourquoi, c'est comme ça) - on ne dit pas des trucs genre "décès" ou "il meurt" ou des cacas comme ça, si on veut le tuer on n'a qu'à utiliser "un assassin (qui le tue)" ou des trucs un peu plus évolués Je suis trés tâtillone sur les règles, mais c'est mon jeu que c'est moi que je l'ai inventé toute seule comme une grande, alors un minimum de respect de la chose serait de mise... Bon, allez, je commence... Alors, heuuu... Bon, allez....... "une porte" C'est parti (enfin, si vous voulez, hein...)
  2. Bon, ben je vais en rajouter un p'tit peu, histoire que ça puisse redémarrer... ... donc, gnagnagna...son chien et dit : « Salut Médor ! » - Ne m'appelle pas Médor, répondit le chien, tu n'as aucune idée de qui je suis, de ce que je suis. - Non en effet, mais si tu ne me le dis pas, je ne vais pas le deviner, je ne me trimbale pas avec les réponses à toutes les questions planquées dans mon string? - Justement si. - Quoi, tu veux dire que mon string renfermerait la solution à tout ? Ce serait une sorte d'oracle rose fuchsia transpostériale ? Tu veux dire que la solution pour sortir de cette bulle se cache dans mon string ? - Précisément, et c'est justement ce string qui t'a amené ici... ce string et moi. - Mais alors, qui es-tu ? Non, c'est impossible... Tu ne peux pas être... - Si. C'est bien moi. Je suis le jeune temps, le matin du monde, le nouveau printemps, et c'est grâce à moi, et à ton string, que nous allons reconstruire, recréer tout ça, alors au boulot, pas de temps à perdre, attrape ta casquette, ton happy meal, ta volonté et ton string, c'est parti mon kiki, en voiture Simone, c'est parti pour reconstruire le monde ! - Youpi ! - Ta gueule, p'tit con ! a l'adresse de l'empécheur de tourner en rond: si je met pas les mots en italique c'est que j'ai pas envie, ça peu durer longtemps comme ça...
  3. Fantomixette était immortelle mais elle n'était pas pour autant sans esprit, sans âme, sans sentiments. D'ailleurs, elle s'en sentait souvent ridicule, mais elle ressentait une profonde compassion pour le monde, oui, le monde, le monde entier, tous ses habitants galactiques, inter, intra et extra galactiques, tous autant qu'ils étaient lui inspiraient une profonde pitié… Seulement voilà, que pouvait-elle faire pour les sauver ? Elle avait été nommée Force Sustentatrice de l'Elément Vide, ce qui est un bien joli titre pour une bien petite chose… En fait, Fantomixette était chargée de la cohérence de l'Univers. En incarnant le Vide, elle assurait la cohésion et l'équilibre de monde, sans elle les Zones retourneraient au Chaos. Mais elle ne faisait rien, jamais rien, elle ne faisait qu'observer, les yeux pleins de larmes, les guerres stupides et les rixes ridicules auxquelles se livraient les êtres vivant, morts, immortels et autres en tous points de l'univers. Ce qui n'était pas franchement une activité très constructive… Fantomixette avait pensé souvent à mettre fin à ses jours, elle avait même avalé deux cents boîtes de barbituriques, pensant qu'elle ne méritait rien de plus que de se suicider de la manière la plus cliché possible. Mais cette cruche avait fini par comprendre qu'elle était immortelle. Et puis, de toute façon, maintenant qu'elle incarnait le Vide, elle ne pouvait plus rien faire. Après mûre réflexion, elle décida de tout lâcher et de renvoyer les Zones au Chaos, parce qu'elle en avait sa claque de maintenir en place un univers ou évoluaient des individus stupides et totalement dénués d'intérêt… Elle desserra lentement son étreinte, timidement au début, puis elle gagna de l'assurance… Ce fut le Milieu qui lui échappa en premier, l'eau et le feu sortirent, fusant, virevoltant, et se précipitèrent dehors où ils s'emmêlèrent les pinceaux avec le Dessous, la Terre et cette idiote de Neyra qui n'arrivait plus à la maîtriser, la Terre venait de sortir, bientôt suivie par le Dessus qui souffla en tempête une bordée de jurons incompréhensibles, l'Air n'avait jamais été très poli… Puis ce fut le tour des corps, ils s'extirpèrent, totalement nus, prétextant que le vent avait arraché leurs vêtements, ce qui était parfaitement faux, en fait les corps adoraient simplement se trimbaler à poil, ce qui exaspérait souverainement Fantomixette… Et les corps se changèrent en pluie et tombèrent sur le Milieu. Le monde changea de face pour revêtir son manteau couleur nuit. La vie n'était plus. Et le monde, privé de Vie, se préparait à recouvrer son équilibre millénaire, celui du Chaos. Fantomixette n'était plus, et les Eléments ne trouvaient leur cohérence que par la Volonté, la Volonté originelle, la première substance qui leur avait été donnée, le premier pas vers l'équilibre… Et les vivants oublièrent les morts. Un mort qu'on oublie n'est plus rien, les morts tombèrent. Les vivants montèrent, tentant tant bien que mal de forniquer, mais leurs formes s'estompaient, leurs contours disparaissaient… L'Eau, qui aime avoir le dernier mot, continuait de chahuter mais le verdict était tombé, le retour au Chaos imminent. Quelques minutes plus tard, la Volonté finissait de mixer nature avec ordure, mort avec vivant, quand un détail attira son attention. Il n'y avait plus rien, l'univers n'était plus, la vie n'était plus, la mort non plus, plus rien n'existait, nulle part, le vide total… A part un p’tit mec en string rose fuchsia. Le string dégageait quelque chose, quelque chose de fort, la Volonté le sentit, elle décida de laisser sa chance à ce p’tit mec, lui offrit un chien et lui créa une bulle dans laquelle il pourrait se mouvoir. Puis Elle partit. Seul dans sa bulle au milieu de rien, le p’tit mec s'éveilla, regarda le chien et dit : « …
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