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lorette

Messages recommandés

Chacun sait que sur terre vivent des individus ne pouvant pas être totalement humains. Cependant tout le monde s'accorde à considérer [que] les fantômes tentent de tricher face aux dirigeants de la planète.

Les dirigeants, agaçés de contempler leur nombril, se demandent de quelle façon

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Chacun sait que sur terre vivent des individus ne pouvant pas être totalement humains. Cependant tout le monde s'accorde à considérer [que] les fantômes tentent de tricher face aux dirigeants de la planète.

Les dirigeants, agaçés de contempler leur nombril, se demandent de quelle façon[/

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Chacun sait que sur terre vivent des individus ne pouvant pas être totalement humains. Cependant tout le monde s'accorde à considérer [que] les fantômes tentent de tricher face aux dirigeants de la planète.

Les dirigeants, agaçés de contempler leur nombril, se demandent de quelle façon[/

 

 

:P:P:P:P :P :P

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  • Modérateurs

Juste pour Lorette, l'intégrale des premiers chapitres :P

 

Chacun sait que sur terre vivent des individus ne pouvant pas être totalement humains. Cependant tout le monde s'accorde à considérer que les fantômes tentent de tricher face aux dirigeants de la planète.

 

Les dirigeants, agacés de contempler leur nombril, se demandent si Paul et Pierre et Jacques vont enfin sortir de la télé-réalité de M6 ! Le jury, qui a été sélectionné parmi des gens totalement humains, a inévitablement voté contre l'oecuménisme exarcerbé de Loana.

 

Beetlejuice précise même sans ambages que Kevina est belle, la plus belle trollienne, et Flo, un castor modo plus fou qu'une souris folle belle comme Apollon en sous-vêtements en dentelle mangeable au goût fruité, et Flo était mort depuis longtemps, et finit donc en Enfer.

 

Sofy, Kévina, pleurant Flo qui n'avait rien légué à ce jour, décidèrent de finir ensemble la soirée au Crazy Horse Saoudien, afin de se manger la porte.

 

C'est alors qu'entra Zézette, la reine des spatules en bois, amie du célébre Scuny, roi des écureuils fous qui passait son temps à faire des bisous à Kevina qui était là pour danser comme une souris folle atteinte de la maladie de Parkinson. Zézette entreprit de finir cette histoire, mais se ravisa et disparut pour finalement couper court à toute cérémonie de mariage, car elle était enceinte de Lordtoniok qui, comme Félix le chat bichromé, a la particularité de procréér sans femme attribuée, ni capacité à tuer des volailles.

 

Et pourtant malgré le magnifique rejeton, il se mit le <biiip> dans le <biiip> et avoua que malgré le chagrin, ça fait du bien par où ça passe. Le voir sans sa paire de beaux yeux noirs comme l'ébène que même l'ostensible nature mortifiée n'en aurait jamais d'aussi laids.

 

Mais revenons à la belle Kévina, et son voisin qui la tua parce qu'elle n'avait point fait coin coin avec la vache de l'empire obscur noir de noir que plus noir tu meurs, empire terrible et aussi inoffensif qu'un nazgull flétri rouge et vert à poil dru.

 

Son voisin Hubert, avec ses chansons à faire pâlir les Ostrogoths Monégasques, nous a complètement bignouté la cornemuse. Mais c'était de par ses mains adroites et velues comme des serpents à plumes à cran d'arrêt qu'il imposa vaille que vaille le retournement cataclysmique de l'apogée postérieurement monopolisante et finalement sans intérêt.

 

Malheureusement un phantome classé X, tuant un écureuil et Tony Hawk et sa lady velue et rondouillarde qui chantait telle Zalman sous Prescott, a trouvé la plus belle des biscottes lyophilisées du quartier délabré de Contrex-les-Bains (glou glou).

 

Il décida néanmoins de se rendre comme un beignet dans une bouche édentée et puante... une bouche dégoût où les tortues se baignent nues. Quand soudain Kewlcat, le chameau d'eau, se demanda s'il était temps, à 3h30, de dire "bûche, BÛCHE !", mais il se ravisa, au profit de "MOUAAaafffff! MOUAAaafffff", sa lecture préférée, BD sans prétention ni intérêt.

 

Ô Kewlcat, pourquoi as-tu un si précieux ouvrage dans ton très honorable fusoir de gueux ? Ne pourrais-tu pas lire quelques papyrus fossilisés afin de déboguer cette page Internet Explorer ? En quelque sorte, tu pourrais expliquer comment tu le le fais (si Derrick se met à bégayer, on va droit au déglinguage de bignou organisé par des apprentis sourciers).

 

Après quoi, l'organisation des cornemusières pakistanaises s'ébranla vers le pays afghan dans l'intention de dédylaver la poire avant de la revendre aux cochons d'Inde psychopathes et enragés, néanmoins Prix Nobels de physique quantique et de chimie (selon Einstein), devenus LA référence internationale en dénationalisation macromoléculaire intra muros. Du coup les protonnasulistes indépendants tchétchènes tendance néométal version Joey Starr s'en retrouvent sur le cul !

 

Détestant anticonstitutionnellement parlant le couscous maison à l'alsacienne, préférant les pizzas au burritos épicé qu'adorent les acadiens en habit du dimanche pour voir leur douce secouer l'éventail et leur sussurer aux narines une douce flatulence d'odeur épicée aromatisée au paprika.

 

Pendant ce temps Bob l'éponge spontex double face réalisa qu'il devait gratter Patrick son meilleur ami hérisson, puisqu'il regardait trop la voisine avec son air de « ne pas faire attention à Batman » qui la fascinait tant.

 

C'est alors que Zézette revint incognito saluer Casper qui la tua. Zézette, toujours immortelle, se dressa sur le bout de sa spatule magique pour contempler les ovnis de Mulder librement accouplés dans la voie lactée.

 

La nuit était douce et sentait agréablement bon grâce à ce mélange de chairs putrides, sanguinolentes et faisandées venant tout droit du fin fond de la zézette de madame Soleil, vous savez, celle ultérieurement interpellée durant la fusillade de samedi dernier qui, vue bon nombre de fois bourrée comme une outre et droguée comme une truie violette qui proutait joyeusement la sérénade matinale, avait décidé de se pendre violemment.

 

Albator était évidemment bien présent sur les lieux de ce coup foireux, qui ne sentait pas l'intérieur de la biche fraîche, mais plutôt embaumait la lavande avec des filaments de barbapapa rouillés. Capitaine Flam voulut manger des bonbons au goût de fraise tagada, mais un goût réglisse qui piquait les nasaux le secoua si violemment qu'il se coupa la langue avec ses cheveux mouillés.

 

Il se greffa des yeux de chat semblables à une paire de billes, et des oreilles d'éléphant pour capter la TNT et décoder Canal+. Hélas, il oublia de brancher le fil rouge sur son modem, et explosa quand il vit la matrice inlassablement subliminer passivement. Cette expérience ratée ne fit que l'envoyer à l'hôpital pour diclopsie articulaire redondante, hypertrophie pileuse et carence olfactive caractérisée. Malheureusement les médecins dénigraient toute entorse du ligament nazopubien : les poils bouclés et les croûtes de sa tante restés là depuis que le Pape nous a quittés, furent soigneusement extirpés.

 

Capitaine Flam n'était pas de notre galaxie mais de l'autre monde, le tiers monde du fond de l'Atlantide, pays du gnou aquatique et des peluches de zébus longs à poil court.

 

Les flatulences cosmiques progressaient insidieusement vers les terres hostiles et rocailleuses du sacrum, perdu dans un caleçon trop serré pour pouvoir s'exprimer longuement. Cependant Chloé renâclait jalousement envers les bisounours de la crèche voisine, où s'ébrouait un chat du nom de Brittney, car il chantait comme un beefsteak périmé subitement devenu aphone.

 

Brittney, nommé stupidement, se prélassait au bord du jacuzzi quand soudain un mimosa de Norvège perdit trois pétales, des poils pubiens sans aucun bruit et sans raison. Brittney s'étouffa avec un bretzel dégueu venant de Paricentre et qui puait le calendos alsacien de Normandie comme pas deux. Le SAMU, alerté, arriva deux jours après le capitaine, bien trop tard ! Mais Sarzoky avait prémédité le coup depuis longtemps, et pour cela, il avait appelé son chef de cabinet : « Manque-de-PQ ».

 

Outré par cet insupportable sobriquet, le ministre arriva pour botter le cul du foutriquet débile, et en profita pour secouer cet imbécile heureux qui lui vomit dessus. Pour résumer, il est indispensable de faire un don pour que Chirac et ses acolytes puissent enfin se frotter les mains avec du savon aux huiles essentielles. De toute façon la crasse étant si importante, il faut agir rapidement sinon les morbacks, aussi nombreux soient-ils, vont attaquer les poils crâniens gaulois « d'en bas ».

 

Après désinfection, il se brossa les pattes arrières avec soin. Sa moustache à l'anglaise puait tellement que son coiffeur refusa la collation que lui proposait Nicolas. Notre moustachu détala quand arriva le moment fatidique. Pimprenelle, scandalisée, entra dans l'isoloir pour pleurer sur son sort. Le coiffeur et le boulanger, étonnés, se lancèrent à l'assaut de la barbe pour pouvoir la domestiquer.

 

Le curé, pour les aider, acheta un cochon nommé Arsène, qui était apprivoisé. Ils se tournèrent vers l'animal pour lui demander son permis de pêche mais, manque de chance, il ne voulut pas obtempérer. Ils durent employer la douceur légendaire des fées sylvestres pour pouvoir lui arracher des pieds l'hameçon tordu qu'il avait agrippé. Finalement, le porc soulagé remercia goulûment ses sauveurs, rassurés sur son sort, et proposa une pause.

 

Tous les protagonistes décidèrent de lui attribuer la palme du mérite agricole pour l'accouchement de Léonie Gratin, l'élève la plus douée de l'école de DUCOBU. Sans exception, monsieur, nous avons tous voté pour Arsène Lupin ! Nous trouvions la situation très énigmatique et sibylline, obscure et inquiétante, presque même plus inquiétante que jamais.

 

Nonobstant pourtant quelques précautions, nous nous en allâmes vers Sainte-Geneviève-des-Fées-des-Prés pour y vendre de la camelote garantie pur toc ! Mais personne ne savait que Robert l'endive blanche, le fameux receleur aux dents jaunes, scrutait son ordinateur. Il cherchait fébrilement une pastèque flétrie, reniflant le vent avec gourmandise et circonspection, quand soudain Circonspection hésita sur l'Immaculée Conception qu'il circonvint pour maculer conceptuellement de sa main le tableau idyllique très connement paluché aux fines herbes.

 

« Quelle déception », pensa Zézette, subrepticement revenue du fort lointain jadis habité par des ermites errants. Elle apostropha Robert qui la trucida. Lorsque la police intergalagtique et interquantique remua les viscères, Robert avoua que le chat était mort ET vivant.

 

L'inspecteur, Père plexe, surnommé « des Ricks », voire « S'coue irréel », en déduisit que « colomb hausse » les deux réglizes (alamente) : comprenne qui pourra ! En langage poulet, ça signifie « yaunbleme », c'est clair ! Mais en langage zébulonien, on peut traduire : « no tigre », « no Dylav » ou encore « no pasaran ».

 

C'est alors que Sylvitara revint expliquer combien elle fulminait contre Fantom-X, et comment elle avait l'intention de ressusciter Zézette, la chatte « fantôme ». Elle rêvait, Sylvitara ! Elle rêvait, oui, d'un monde meilleur où tous les esprits perfides seraient rééduqués dans un asile psychédélique...

 

Mais Zézette était loin de s'en douter, dans sa tombe bouillasseuse, bien loin même. La question « qui, que, quoi, oùçà, comment faire, etc.? » restait entière. Finalement non, la marmotte, elle non plus, ne pouvait croire que Laurent Ruquier ait pu se marrer dans l'isoloir quand Sarko a revêtu son costume de Zorro.

 

Et pourtant, s'estimant délaissée, elle appella la SPA (Super Protéines Alanines) pour réapprovisionner son Gé pé esse, et aider Zézette. Entreprise difficile, mais, sans ailes que peut-on faire ? Sans notre Fée, « Ph » précède « antom » comme Laurel Hardy. Mais Laurel Népahardie et Hardy Néandertal montèrent un sketch désopilant, hilarant, bidonnant dont le succès fit leur fortune.

Richesses en poche, nos trois compères dépensèrent sans compter en l'honneur des cons pères Dipardiou et Ritchââd. Cependant ils virent que la perruque de la fée bouclait fort joliment, laissant échapper trois ou quatre papillons...

 

« Un effet sensationnel ! », se dit Dipardiou en mangeant son sandwichiou à la pastèque bleuie par sa salive corrosive, tandis que Ritchââd goûtait à la sandwichââd à la mayonnaise farcie et avec une olive. Le goût s'exacerbe jusqu'à l'extase lorsque soudain par hasard sourit le palais. Mais pourquoi s'étonnent-ils lorsque quelqu'un barre l'accès au guide gastronomique Michelin ? Ne serait-ce que pour lui, il faut envisager plutôt l'une que l'autre. « Cependant, considérons gaiement la situation et suicidons-nous dans les champs de colza en fleurs », déclara soudain Casper, inévitablement morbide et pourtant blagueur invétéré.

 

Quant au tigre (celui des frosties, bien plus beau que l'autre, celui de Zébulon), il s'empressa de se tatouer « Vive la vie » autour du nombril. Il avait oublié que Neyra veillait tard, chaque soir bien après l'froid d'canard qui lui engourdissait ses petites joues soudain devenues noires. « Il était temps petit navire qui navet jajajamais navigué, ohé ohé Mattlau ! » chanta-t-elle soudain. Mais Mattlau attentif tel l'épervier aveugle, sourd, endormi, mais pas complètement, seulement la moitié d'une quintefeuille, vit alors venir un gros machin : « Neyra elle-même ? », vexée, humiliée, anathémisant.

 

Mais si Belle (comme un orang-dégoulinant de jalousie, l'avait su Hélène voir JR) s'était plantée comme une carotte, elle avait néanmoins cru sinon qu'elle pourrait simuler sa propre mort. Mais personne n'admet facilement que le tarama du Grec d'à côté est dégueulasse, même arrosé de fientes de poules et de chouchenn. Mais comme le crabe au paprika n'est pas meilleur en soi, nous nous devons de lui ajouter de la moutarde.

 

On aura beau dire, les gambas rôties au four avec membres humains, façon cannibalisme Aztèque, se digèrent bien moins aisément que la purée d'anchois au marsala. Depuis trop longtemps, cet alcool peu connu a conquis les grandes Toques. Mais depuis pourtant règne un chaos calme et reposant, qui nous change, provisoirement, des misérables dunes du Drâa, destination récemment revisitée, si souvent hantées de gros blaireaux criards, envahissant sans vergogne notre imagination, déjà bien aiguisée et débridée par leurs plaisanteries égrillardes.

 

Changeons de destination : Enfonçons-nous maintenant dans les profondeurs lascives du délicieux bain des sources chaudes d'Ankara. Kizilcahamam, Ayas, Haymana et leurs épouses ont donc décidé, sans la moindre précaution cependant, de barboter gaiement dans ce charmant « rayon vert », inhabituel en cette saison hivernale. Ceci prouvait donc (cf. SylvitaGuide, p.79) que les voyagistes écoutent les femmes lorsqu'elles veulent vivre des vacances avec leur amant, peinardes, loin de la chapelle où elles ont convolé avec un rustre fumeur de chibouk.

 

En tout cas, Bernard et Simone, y revenant pour se remémorer les ennuis rencontrés lors de cette ultime excursion en Catcat dans la montagne, furent choqués de constater l'énorme vide laissé par l'accroc au protocole de l'entente cordiale qui, diplomatiquement perverti, empêche toute forme de communication verbale. Ce point éclairci, ils grâcièrent charitablement la donzelle bleue qui s'en fichait, pas concernée par toutes ces contraintes de bienséance.

 

La sérénité revenue, il fut décidé que les vacances avaient porté leurs fruits. En effet, Bernard avait laissé Simone seule pendant qu'il secourait charitablement une orpheline aveugle dénuée de tibias et velue comme un orang-outan. Perclus de remords, morclus de permords, ils filèrent précipitamment vers le précipice pour éprouver la sensation folle d'être les rois du forum de Yann le grand et de ses disciples si joyeux. Bernard s'écria : « Ouh ! La menteuse ! -zeu , elle est peu clairvoyante, Simone » !

 

Pour des vacances éventuelles, Bernard décida qu'il faudrait envisager le pire, lui dire qu'il avait besoin d'un ordinateur pour rechercher la maison de ses premiers « larcins », afin d'expier publiquement ce pour quoi il avait été lourdement condamné. Pourtant, Simone accepterait-elle que sa maîtresse lui beurre ses tartines, tant elles se détestaient profondément. Toujours est-il qu'elle accepta volontiers une petite goutte de calva, ce qui n'était pas étonnant vu sa profonde pépie matinale.

 

Elles enterrèrent provisoirement la soupière d'argent dans le potager radioactif du voisin qui n'avait pas la chance d'être dans sa cabane au moment du drame : il faisait caca ! Bernard entreprit alors d'agiter son carton rouge : « Pénalty ! »

- Quoi, s'interrogèrent les deux mémères un peu commères, il nous expulse ?

Elles décidèrent aussitôt de remédier à la situation précaire du voisin constipé du caca dur, mais juste, posé derrière cet homme aux allures incertaines. Soigneusement, l'une des deux mémères, à chapeau pointu introduisit lentement dans la fente de l'horodateur sa première alliance, qui datait déjà de Mathusalem. Il hurla « Pénalty ! » à nouveau, sans prendre conscience de la gravité des séquelles hémorroïdaires qu'il infligeait à son fondement.

 

Ces considérations médicales, trop pénibles à la vue d'une DKlâgOR en plein désespoir de n'avoir toujours pas embrassé Rojni, sur les antennes de Radio France, furent heureusement inaudibles. Car Thorgal veillait sur les boulets qu'il traînait depuis trop longtemps dans son topic soi-disant tendancieux, où les fous se précipitent actuellement, talonnés, inévitablement, par l'obsédée sexuelle aux jambes interminables et mal épilées, mais toutes bronzées. D'un autre côté les boulets, sentant le proctologue aller au fond de la connerie masculine, rebroussèrent chemin, et foncèrent acheter des glaces et du saucisson.

 

- Vraiment n'importe quoi, s'égosillait Rojni, y'a pas qu'ça dans not'porte-monnaie percé, y'a aussi mes capotes, cadeau d'Ayoros un soir de totale générosité.

- Tu ne dois pas croire toutes ces âneries bien que, apparemment DKlâgOR embrasse goulûment, sans retenue, le beau Thorgal ! lui objecta sa conscience débridée de tous préjugés, puis : Ouvre les cuisses de grenouilles aillées, déguste leur chair, fais un rot, et... basta !

- Le jour se lève sur Zebulon, mais fait froid ce matin, pensait Zézette. Vite... ma culotte en dentelle de Bretagne, pour éviter le coup de boutoir de mon circuit d'aération.

 

Pendant ce temps, Rojni, toujours occupé à courtiser les filles du forum, passait pour un dragueur invétéré, alors qu'il essayait simplement de parfaire sa culture générale, dans le JVRAD. Méthodiquement, respectueusement, il appliquait la méthode « boulet », reconnue universellement, et préférable aux manières déplorables des membres féminins de Belgique, et en totale contradiction avec les françaises déjantées présentes sur Zébulon comme par exemple la troublante DKlâgOR ! Toujours, on revient et on repart, la vie ne retient que les coups durs, et les vainqueurs plastronnent.

 

Charivariés ou pas, les protagonistes, dans le doute, exécutent à la kalachnikov ceux qui omettent d'honorer Manly sans lui demander la permission. Dylav chatouille les pieds de la belle quand soudain, sortant du bois, enchantée de les voir, la belle Sofy et son panier contenant une galette, l'interpelle :

- Mon doux chaton, que ne le disais-tu pas plus vite ? Je suis toute excitée de jouer au scrabble avec un champion du délaçage de bottines en peau de crocodile.

 

Interloqué, le brave Dylav en perdit son flegme à rayures et ses illusions. Quant à Zézette, endormie depuis longtemps, elle rêvait de smileys destinés à ne pas disparaître dans le canapé du poste de garde du campus.

Quand soudain, sortant du néant, l'inénarrable Casper voulut manger la galette d'oxymores confits. Mais avant de savourer la bûche, il but goulûment douze bières bien tièdes et fermentées (comme les Anglais picolent aussi gaiement) et vomit sur les pattes du tigre à rayures.

 

- Pouah, s'écria Zézette, écœurée, vous êtes toujours aussi fiers d'être de gros dégueulasses... après avoir ramassé des bouses à tire-larigot dans l'écurie du roi de Prusse. Elle en profita pour flatter les gardiens :

- Hé ! bonjour, que vous êtes beaux, dans vos noires soutanes ! Viendrez-vous partout et toujours nous protéger ? Tigrou chéri, tu ne nous ferais pas un beau prétendant : Dégage, immédiatement !!! Espèce de GUEUX !!!!

 

Le pauvre Dydy répudié, Zézette invita le vieux Jean Mimi à rejoindre Décalgore au banc solaire. Avec sa casquette et son litron, sa baguette et son air c.. , il ramait désespérément à contre-courant pour aller vers la perfide Albion. Il ne savait pas quel chemin avait pris son navire à vapeur qui s’était échoué sur la plage remplie de petites Déclagor en bikini. Accostant enfin, il vit au loin deux autres bateaux transportant des trésors de Bikini pour la bande à Jean Mimi qui s'était enfuie en tenue légère, ce matin après la tempête de sable. Finalement, il décida de se coucher et de boire un cocktail auprès de sa douce et vertueuse Bell(g)e. Celle-ci malheureusement était de très loin hirsute comme un balai brosse du concierge de la voisine du côté de Belgique près du Luxembourg. On y trouve un énorme château avec plein de fenêtres mais aussi des meurtrières.

 

Jean Mimi s'est aperçu du mauvais tour que lui a joué son ami pirate, aussi menteur qu'un père Noël arracheur de dents du désert de Gobi. Il crie « au secours » mais, l'épaisseur des murs faisant en sorte de ne laisser passer aucun son, il attend que la mer monte, que les crabes et les petits oursins tout piquants lui grimpent sur ses jambes poilues. Et dès lors il savait que tout était perdu car son coiffeur lui avait loupé la raie sur son torse velu. S'agrippant aux poils, tel un morpion plein de sang trouvé dans un bocal d'apothicaire, il s'accrocha si fort que sa casquette se défilocha en tout et pour tout. Pendant trois jours, plutôt trois nuits par semaine, c'est sa peau pleine de boutons purulents, de pustules, qui s'est effilochée, irrémédiablement flétrie.

 

- Ça suffit maintenant, dit Nicolas Sirkis, je vais vous décontaminer tout ça au napalm et en chanson.

- Prout, dit-il, tout étonné de revoir Dylav après tant d'épreuves passées auprès de sa taie d'oreiller ! L'odeur pestilentielle de cheveux gras devenait assez déconcertante.

- Pourquoi, s'exclama Zézette, les laver ? J'aime mieux les couper !

Telle Dalilah tondant Sanson, les poux, dévorant la crème pâtissière, ne laissèrent rien et Dylav rasé n'osait plus sortir au grand marché aux puces. Il se rabattit sur une très belle perruque blond vénitien avec délectation, en soupirant :

« Zézette... je te hais et je vais, de ce pas, te mettre ma banane dans ton oreille gauche empoilée ! »

 

Les sourcils froncés, Rion s'impatientait en trépignant sur le petit Lapin déjà mort sous la vodka et les restes de boyaux pleins de Nutella avarié. Elle rendait bandante la corde de l'orang outan poilu qui avait grimpé à l'arbre de la connaissance sans attendre « Machine », car elle photographiait des monuments parisiens. Lorsque Zézette revint pour la curée, elle fut sidérée par des photos de si belle qualité, et félicita chaudement Manly la Belge pour la bière.

 

Elles trinquèrent joyeusement jusqu'à plus soif. Bref voilà une soirée qui commençait plutôt bien arrosée et qui promettait des surprises éthyliques et rosées. Zézette, sans zéziter, se lança dans un dernier sursaut vers Rion pour créer un nouveau topic avec elle, la tortura jusqu'à ce que chose fût faite, au grand désespoir de toutes les demoiselles de Zébulon !

 

Soudain, sans crier gare, le petit kangourou et le crocodile se précipitèrent dans le frigo où se trouvaient des choses : une canette de coca, des gambettes de grenouilles de bénitier et un calendos. Une ambiance glaciale régnait tout autour de la table ronde des chevaliers du désordre... Imperturbablement, l'animateur Arthur, tel un clone sans culottes et sans prétention, présentait sa mère à la belle Estelle. Piquée au vif comme le cul d'un oignon en sauce, Zézette intervint immédiatement :

- Je fais un couscous chéri, je fais aussi des boulettes (errare humanum est) et des petites maladresses inexpliquées également... Suis pas infaillible ! Juste un peu ravagée du bulbe, comme mon Cyrilou ne peut pas se mobiliser pour m'aider à améliorer mon aurteaugraffe... mais je me soigne au Ricard !

 

Arthur, quelque peu désemparé devant tant de nonchalance, baissa grossièrement les yeux, et son caleçon. Explosant de rire, Zézette le compara à un zèbre : plutôt flatteur, non ? A ces mots, le bel Arthur laissa tomber sa mâchoire (fâcheux, ça !), pourtant récemment révisée. La pilosité rionesque (si peu...) était néanmoins tellement surprenante pour les raseurs de tout poil !

 

Cyril complimenta Zézette pour son objectivité bien connue et ses participes passés. Mais le bidet, épuisé, déclara forfait.

- Fait soif, dit Cyril toujours aussi poilu mais aussi assoiffé, je prendrais bien un café avec un peu de citron chaud et du beurre salé sur une tartine pour conclure.

- Il ne reste que DKlâgOR pour manger le canard et montrer ses talents cachés de grande prêtresse du mauvais goût musical et de la litote sentimentale, par exemple, objecta Zézette.

 

En attendant, elle préparait Bluemonday à la pire torture jamais faite : écouter Cyril et Fifi chantant comme des lofteurs ! La honte ! Heureusement ce n'était que des chansons à la mords-moi le goupillon car Bluemonday était moine bouddhiste. Elle est donc passée du tout chevelu au tout tondu, comme Francis Lalanne et Sinnead O'Connor, mais pas comme Chubaka qui avait un cheveu sur un ongle incarné. Chubaka cria :

- Ouahahahahaaa aye aye caramba ! Ché oun tourture, léchez-moi partir, lé cloub dech bouléch dicoune grave !

 

Il fallait voir la tronche de DKlâgOR, détalant comme un ectoplasme à moteur... Mais Cyril, qui n'avait pas une once de bon sens, dut appeler à l'aide pour devenir le roi du pétrole ! Cependant elle n'appréciait guère ce genre de comportement et ne tarda à débloquer, à contre-cœur mais à coup sûr... Son seul neurone mort d'inactivité, Cyril ne pouvait faire « Spyder Cochon » sans risquer de péter une durite !

 

C'est alors que Fifi, complètement stoned, sauta sur DklâgOR, de joie et de dépit. Elle soupira tristement quand Dylav annonça la fin des haricots géants :

- Mais qu'arroserai-je lorsque les poules disparaîtront aussi ? Pourquoi ne pas geler les photos compromettantes dans le freezer du Club ?

- Les négatifs seront brûlés au sèche-cheveux, déclara arbitrairement le modérateur fou qui, rêvant d'une abolition des topics parlant de locomotives, préférait les Happy Hours pour se torcher sévère.

 

Maintenant, il va falloir mettre à plat la batterie de cuisine de Manly, supprimer les couteaux, mais pas la braguette magique de notre cher et raffiné Cyrilou, poussé par DklâgOR à avouer son dernier crime passionnel. A cette découverte il s'est sauvagement mutilé le gros orteil droit, et son énorme nez l'empêchait de sentir le vent tourner.

 

Mais Zézette, revenue de son périple somptueux, telle l'Hydre au m@il, décida de flooder la room sérieuse et le JVRAD... Attention ! Car, si Dylav vous surprend à picorer toutes les cacahuètes sans lui et sans vergogne, je crois que ça va chauffer, que la vapeur va faire sauter le capot de sa tire. Ainsi, le tigre à poil dur pourrait bouffer les imbéciles sans en laisser la moindre trace.

 

Zézette tenta de dissuader ce brave Thorgal de cesser d'abreuver le Gang des Boulets avec son infâme tête à claque, en l'invitant à reconsidérer sa position tantrique, puis enfila des bas et un sous-tifs assorti à son string rose à fleurs vertes. Ainsi accoutrée, elle débarqua avec fierté dans la plus haute sphère nébuleuse et pétillante des nightclubs branchés : le Zézite's.

 

- Mais j'y pense, dit-elle stupidement, personne ne me voit comme je me vois. Je suis là, bête comme une ex-top model poussant la chansonnette telle une morbide limace anémique©, au timbre chaud et envoûtant. Si je dois morfler telle une divine et adorable boulette, autant aller acheter auparavant un immonde et répugnant paquet de Tampax usagés et m'en faire un collier.

 

Pendant qu'elle s'imaginait monter sur un vélib' parisien (la plupart volés), afin de rejoindre Pigalle, ses trottoirs vraiment remplis de touristes et ses bars pittoresques, Zézette croisa deux Écossais passablement éméchés qui se rendaient au plus hard des tatoueurs et pierceurs, sans bien comprendre pourquoi au-delà des rues sombres. Soudainement, Zézette décida : « Finir phrase précédente ! Commencer la suivante ! »

 

Fière d'elle, un instant seulement, elle se mit à penser (sic) ce qui est rare pour une copine de Dylav, même pas blonde! Et pourtant elle est vraiment très très belle, Zézette, très très bête, encore plus que la belle Miss DKlagOR qui pourtant connaissait l'orthographe mieux que Thorgal ! Mais alors elle préféra s'abstenir et, de ce fait, ferma saboîte de Pandore. Sage décision.

 

Tandis que les dents de l'amer s'entrechoquaient comme des tronqueuses de scie sauteuse déchaînée (sic), Michel décida d'ulcérer des strings ficelles en tressant des bretelles de lin rouge. Sur ces entrefaites arrive Jean-Mimi qui, de manière honteuse, s'exclame : « Iatrodmodenlpostaciril ! », célèbre cri du singe à poil dans la main. Ce n'est que dans la mouise que l'orang-outan du Jardin des Plantes, qui par ailleurs ressemblait à Rion en période de désintoxication, réussissait à se désalcooliser et procréer avec Jean-Edouard et Loana.

 

Il savait toutefois qu'il était présomptueux de tenter l'ajout verbal vers les plébéiens, forcément limités culturellement. Tigrouette, leur mentor, de même paressait voluptueusement au soleil de minuit. Pourtant, les loups hurlaient comme des cochons auxquels on aurait tire-bouchonné la hure... quelle douleur ! Dès lors que la raie se déplace, les regards se croisent au vers le plus érotique du poème, erreur une Manta ! Malheur à ceux qui parcourront ce salmigondis indigne de trois, quatre pustules suppurantes et purulentes, ils risquent de s'ancrer dans une rigidité morbide au point de prendre définitivement racine.

 

Alors survint, soudainement autant qu'inopinément, errare humanum est, le soldat inconnu gisant tout nu, persevare diabolicum, sur, veni vidi vessie, un écran géant. Alors il leva son verre de pastis et dit : "Je vous bénis, de m'avoir...

- Cognacq-Jay, à vous les studios !

- ... interrompu !

- Cognacq-Jay ?? Foutue liaison satellite...

- ... merci !" conclua Pastisophile.

 

Ce dialogue ésotérique, digne de BHL, n'était pas piqué des hannetons comme dirait Arielle, sa femme canon. Pour André Glucksmann, autre gloseur professionnel, rallié à Sarko, la raison du plus fort est comme le camembert : redoutablement puante ! Ainsi l'Empire chut, tant et si bien que notre dévoué correcteur anonyme fut l'arroseur arrosé, merci la pluie... bonjour les bottes ! Et le ciré !

 

Contre toute attente, les nouveaux philosophes, déchus du gauchisme de droite centrale et du centrisme, deviennent maintenant humanistes mais cannibales en même temps... Pourtant, Sarko et Vanzetti, le ministre fantoche et sinistre fantôme, devaient sans doute ouvrir en grand la concertation tripartite avec leur nounours en poil de marmotte.

 

Les grèves, sans raison d'être, ni d'avoir, sont néanmoins perturbatrices mais sûrement nécessaires cantonegagneque sinkantmileuroparan atanparciel. Le loto permet de lutter contre la délocalisation plurielle de la cohérence. La paupérisation massive des libellules américaines amena les chercheurs des diverses galaxies à expérimenter la transmutation transcendantale des vers de terre. Inquiets, les pêcheurs ! Et les pécheresses Lindemans furent bues avec délectation.

 

Cependant ils rentrèrent bredouilles des bas quartiers où l'on sentait la moisissure nauséabonde envahissant les caniveaux. De surcroit, ils dégurgitaient une espèce de gelée blanchâtre, putride à dégouter miss "zoulies" gambettes des desserts anglais... "Très fortement perturbé", comme d'habitude elle se mit sans dessous dessus, sa nudité diaphane que mon cœur éploré regrettait tant, mais le reste de la phrase... devenait franchement problématique !

 

Pourquoi dit-elle à Nicolas Sarkozy que la Charte (et son doigt) lui importaient peu ? Ah, les femmes... Que ferait-on si elles devinaient nos pensées les moins avouables ? Rien de moins que cette infime chose (soit vraiment inimaginable, soit complètement triviale). Sarko et Vanzetti de bon matin marchaient vers leur destin, les mains sur les yeux, les pieds dans leurs charentaises. Pourtant, au fil du caleçon qui se trémoussait de joie, on comprenait qu'Astéris et Dylav n'avaient rien appris au contact des boulets « JVRAdiens » qui n'ont que faire du discours totalement incompréhensible de Cyril...

 

Obnubilés, ils décidèrent de le former par le bout du nez bien rouge du clown triste. Mais acoustiquement ils ont vraiment bien réussi leur coup. En effet, ils sautèrent sur l'occasion et dormirent tranquilles. Entre-temps et trois mouvements, ils purent se téléporter discrètement dans les bras de Morphée, Astéris, Zébulon et les autres...

 

- « Etant donné la pensée transcendantale de l'australopithèque bipède (Cyrilus Communus Vulgus), il serait préférable d'exterminer toutes les bestioles (tous les hommes) menaçant les femmes, qui nous sont supérieures ! » dit Thorgal.

- « Evidemment, il ne le pense pas ! », remarqua vitement Décalgor, « nous avons besoin d'un maximum de ces femmes», lapsussa-t-elle, le visage soucieux.

- « Il faut absolument voter pour tous ou jouer du saxophone, en plus enlevé comme style, ou au frisbee ! »

- « Certes, mais le frisbee n'aime pas les bananes ! » remarqua l'intelligent Canard, promu vétérinaire pour acariens anorexiques.

- « Revenons à nos moutons pas tondus », répliqua vertement Décalgor, tout en se concentrant laborieusement sur sa recette de canard aux fraises et aux cerises.

- « Le canard, c'est difficile à accommoder autrement qu'avec du foie de morue dessalée des salines vendéennes, des boyaux de kangourou séchés et des moustaches de DKlâgOR pas contente car ses cheveux rebiquent grave ».

 

Néanmoins, Nez-en-plus (ntdlm : remplace « Cyril ») et Thorgal décidèrent d'aller voir les Fôtesbusters pour manger des pommes en regardant passer Jean-Paul Grossier qui conduisait le minibus spatio-temporel directement au palais du saumon fumé et vodka fraîche...

- « Complètement frappée ! », rétorqua Gilbert Bracassé, commandant de bord, débordé et exténué de tant d'efforts pour faire comprendre pourquoi il faut utiliser la touche latérale plutôt que la manette ventrale . . .

- « Nous devons vite prendre notre retraite, si nous voulons tenter le grand voyage vers la terre promise (tant va la cruche et son godet à la fontaine). »

- « Cruche, Ève Angeli ? Non, pas possible ! »

- « Pour sûr ! », approuvèrent les gens du spectacle, en grève.

 

Cela dit, ils se secouèrent le cocotier oyé oyé (ah, les cachotiers !), puis ils baissèrent les lumières du lac du Connemara, ramèrent jusqu'à frôler les quarantièmes vieillissants, et finirent par plonger directement dans les abysses éthyliques profondes. Plus verte ma vallée où les gremlins font du karaoké, le soir quand monte la brume sur les sommets des Alpes italiennes (quand les extra-terrestres roses à trompe surviennent, ça craint)...

 

- « Attention, voici venu le temps des rires et des (mé)chants. »

- « Hips, trop de piment dans le sirop de cannabis et de menthe à l'eau. Il faudrait ajouter des glaçons ! »

- « Et une olive... », ajouta le VC !

Et ils burent à la santé du papayou lélé qui voulait fuir la jungle hostile dans laquelle il avait failli perdre son âme révoltée, sa blondeur virginale et ses illusions d'idéaliste écologiste Hulotien Vraiment Convaincu.

- « Ainsi, pensa soudain Olive, après moultes rasades de café, moulu je suis, très courbatu je resterai ! »

Succomba son neurone. Arriva sa folie. Et le pied... poil au nez !

- « Ben dis donc , feu Carlos "papayou" et sa barbapapa n'auront jamais vu la petite, toute petite, microscopique mouche noire. »

- « Et Patte-de-lapin-à-poil-rose ? » demanda Casto Junior à la gentille policière qui lui mit la main aux fesses.

- « Le problème n'est toujours pas résolu...Chez toi ou ailleurs, tu devras continuer à chanter et seras dépourvu de toute ressource pendant un an. En revanche, nous constatons que Goldorak ainsi que sa tranche de cake profitent effrontément de la belle sainte nitouche aux gros doigts boudinés. »

 

Pourtant, il est absurde de penser qu'une telle opportunité augmenterait le pouvoir astro-cosmique du lémurien violet à queue en panache. Néanmoins, si nous prenons le coefficient réducteur de l'agrandisseur, multiplié par la racine carrée de la tangente du clavicorde, nous obtenons une agrémentation de base avant finalisation du schéma. Remarquez bien que la fin justifie les augmentations de gravité sans pour autant prouver l'intelligence de Vandamme, qui décline sévèrement.

 

Les rues de Montcuq (cultes par ailleurs !) accueillent le touriste pour lui mettre des croissants au beurre d'escargot dans les oreilles. L'échelle, étant à cavitation variable, produit des gargouillis ainsi que des vents de nos austères côtes bretonnes. Nous ne pouvons donc plus continuer à jouer les fines bouches. Ainsi, mettons les pieds dans le plat, et les mycoses sous la table.

 

Certains sujets sont, de par leur nature érectile priapique, tristement semblables à un Indien dans une tire présidentielle en route vers l'infini et les Schtroumpfs iront tous au paradis, là où reposent les golgottes qui ont tout perdu. Le 14 février, quand les Iroquois pratiquent la danse, leurs cheveux verts hennissent de bonheur !

 

Mais on oublie trop vite que la pratique d'absolution des péchés risque d'entraîner une grave et impitoyable déraison érectile fort dommageable à long terme. Après avoir tout cassé, Yann mit Zébulon en vente, puis la société Générale dans sa poche. La brigade financière voyait les choses d'une infime et mesquine façon : faut-il comprendre que ce site est en relation avec ma mère, qui se tire en courant lorsque les flics surgissent ? Il y croient et espèrent, sûrs que Szakroy est la nouvelle vedette du carré rouge de Chine communiste. Allons manifester, il est grand temps de montrer à Goldorak et Albator qu'Ulysse 31 et Yann tournent en ridicule ce sacré règlement de bonne conduite.

 

Mais pourquoi tant de bruit dans cette oreille ? Est-elle bouchée ? Ensablée ? Que la petite tortue me croque si je craque ! Supplice imprévu, cette attente ressemble à la torture mentale des nones aux gros orteils. Réel est mon syndrome, ma prestance exacerbée est mise en péril par ma femme, qui me charme, mais ses poils enchanteraient un gorille ! Mais les portugaises insultent les racistes !

 

- « Bien dit, Nemes ! »

- « Prout », dit Rion !

- « Ça pue ! » dit Cauxboy en se félicitant d'avoir transporté le porc philosophique.

- « Comment trouver le moyen de ne pas tacher Cyrilcvcf ? »

- « Je sais ! Il suffit de le tremper dans du pastis bien frais... »

- « Bonjour les banalités... » soupira DK. Jamais contente, elle fume, elle boit, elle pète (oups!). Pire... elle ne sait pas lire, mais elle compense par son obscure chose entre ses doigts experts.

 

Inquiet, le canard volant, dans sa cage cherchant la chose, décida avec vigueur de tripoter le machin de ses bidules tout ramollos... Mais quelle décadence ! Il a cent vingt-huit octets et 32 bits en sur-réseau ! Sans une petite fourchette, pas moyen de capter Arte, MERDE ! Et la TNT qui sans l'accès autorisé, donne peau de balle ? Pourquoi tant de mouches autour de cette vache folle ? C'est Dylav, et ses rayures qui l'effraient, qui a tout gâché en censurant les affiches de Rion toute nue. On espérait tant un pourcentage sur ses ventes, elle, toute épilée de la tête à la "biiiip" ! So pretty and beautiful dans sa robe aux multiples couleurs. Quel goût délicieux ! Celui de sa nuque, subtilement épicé, de ses pellicules arrosant ses épaules, flotte voluptueusement dans cet air rempli de vide, iridescent, voire luminescent.

 

Pendant ce temps, Yann mange des p'p'p'p' aux fines herbes avec du Sancerre : la belle vie avec des Carottes ! Mais que fait la police ? Je vous le demande ! Si le marsupilami se détache, quel en sera le rebondissement ? Croyez bien ce que vous vomissez, braves gens, mais le diable s'habille en tout point pareil, surtout le haut : demain il enlève son string léopard cachant son petit logo FireFox. Anticonstitutionnellement mais très légitimement téléchargé par erreur, le logiciel espion de Dylav s'arrêta sur Laps : le firewall de Berlin est écroulé sans rupture du pot catalytique, mais la fuite urinaire chronique et brûlante du docteur House inquiète ses collaborateurs. La Cristalline, fraîche avec du pastis, joue un rôle qui connaît un marrant sort, principalement le vélo qui se prend pour un solex. Les petits petons pompèrent, pompèrent (les Gibis riaient sous cape), les minis mamelons d'eau tarie pour étancher leur soif éternelle, se fanent comme des windows vista.

 

- « L'absence de solution est préoccupante », pensait Léonard de Vinci.

- « Le bétacarotène génère l'aérocénitose », disait doctement le spécialiste en bobologie. « Vous, ronds de cuir, petits penseurs écervelés, vous êtes certainement les pires boulets de l'intraweb que la terre ait jamais porté ! »

- « Arrêtez cette mascarade, misérables vers de vase, vos prétentions, aussi basses soient-elles, agacent les politiciens qui sont blacboulés. Les autres Gremlins savent qu' il ne faut pas mettre la main au panier ! »

 

Toutes ces raisons forcent Dylav à envisager le pire : une épilation totale ! Mais juste les fôtes d'ortografe, et en douceur ! Cette affreuse peluche remplie de bave se mit à braire inlassablement et dégobilla son gouter ! Bonjour la moquette, les chaussures et les soutifs pigeonnants... Mais fallait pas rougir ainsi. Je suis vraiment désolé : pas fait exprès ! Promis, je ne boirai plus autant d'eau, j'écumerai les rades et je me ferai défoncer la caisse en bois de rose et finirai par vomir dans la sauce Béchamel !

 

Soudain dégrisée, DKlâgOR cria : « Bordel ! Ma cuillère à pot est rouillée ! Vite ! Seul Dylav peut me dérouiller la zone érogène de mon halogène. Qui saura donc comment écrire "goûter" sans hésitation aucune ? »

 

Et pourquoi donc ? Hein, pourquoi comment... Combien d'adverbes du genre de (adverbe ? connais pas) | STOP | Autre phrase...

 

Cela devenait lourd pour les non-voyants avec leur handicap tellement pénalisant. Être ou ne pas boire telle moi au couvent, c'est espérer l'impossible car bus, voiture, camion, poussent à la consommation ! En conclusion et pour finir, n'hésitons pas à remonter la bretelle du pantalon lorsque la ceinture détachée des mains laisse apparaître son vieux cuir boucané. Quel plaisir de revenir après trois dures années de déformation intensive en scooter des mers qui fonctionne sous linux OS X exclusivement, le fourbe ! Nez en moins, calvitie naissante et ventre proéminent, il vieillira comme le camembert au fond de mon lit (coulant et puant). Enfin il dégoulinera délicatement tel un bruissant ruisseau champêtre, et Jean pète en chantant la dernière daube de Vincent Delerm à l'unisson avec la mère Michel rue Saint-Denis.

 

Pendant ce temps, je regardais tranquillement les gambettes de ma chienne qui dansait la tecktonik des plaques. Chemin faisant, les randonneurs surfaient sur la canopée, prenant au tragique la disparition de Rion chérie, et cherchaient activement des indices de son retour probable chez les Zébuloniens. Vraisemblablement partie en Andalousie, Miss Acacia, ses poils et cheveux lissés, ignorait son incroyable beauté corse, corsée et corsetée. En réalité, elle chantait afin d'éloigner le spectre cauchemardesque de Casper qui se pointait, délétère et plein de malice. Revenue une semaine en arrière, c'était avec plaisir qu'elle se prélassait nue, altière, sous le regard agacé du chef des travaux finis ! L'attroupement provoqué par tous les nouveaux nombrils de Rion créa rapidement une psychose hallucinatoire tellement c'était laid. La pauvre enfant en avait mal aux cheveux, le brouhaha la saoulait.

 

- « Tout de même, "[rec]" est super », prétendait le cinéphile qui pourtant n'avait aucun rapport avec la choucroute ! Beaucoup d'observateurs observèrent qu'au contraire, la recette du bœuf carottes de Grand-mère était bien meilleure que la mienne... (C'est pas sûr, ça dépend de l'aïeule !)

- « Lâche tes casseroles, vieille bique, viens plutôt sous mon jupon doré. »

A la claire fontaine de Jouvence qui soigne les pieds des alexandrins massacrés sur les plates collines beauceronnes, elle feuillette son dictionnaire au calme dans sa baignoire. Les nouilles cuisent au feu de forêt qui avance vite ! Plus vite qu'une blonde qui pense à la gaffe qu'elle piquera à DKlâgOR !

 

- « Il fait beau, le soleil brille : ôte ta ch'mise ! Et tes plumes brilleront plus au clair de lune que sous le living de Tatie Zézette, surtout si tu prends soin de ne pas marcher dans la combine douteuse de Dora l'exploratrice : touche Windows + D. »

- « Quelle expérience enthousiasmante, j'ai enfin réussi à le faire ! J'aurais pourtant voulu ne plus savoir imiter l'abominable homme des forums à TALC. »

- « Euh ? C'est sérieux, cette histoire à dormir debout ? »

- « Où êtes-vous ? Il serait temps de s'y mettre ! Ajoutez trois mots ! »

 

Voilà un challenge, que nous allons pimenter de quelques pièges orthographiques où les grandes gueules et les Pieds Nickelés vont tomber à bras raccourcis, à pied rallongé et sans hésiter.

Sans Zézite et avec zèle, pour zozotter en zèbre, un zigoto zigzaguait pour éviter Zézette la zélote zappant zazou en BreiZh : une étonnante performance !

Pour être homologuée (les homos "loguants" sont incorruptibles), elle, au mot « logue » à rythme exponentiel, mouillait sa culotte mais ne concevait pas sa vie sans Tigrou, lui qui était épilé mais se poilait !

 

Soudainement, par surprise Nemes arrive promptement derrière le DOS (Denial of Service) du forum Zébulon pour une attaque de zombies mémorable à l'acide lysergique d'Hofmann (quoi ça être ? Le LSD, man), que KewlCat absorbe toujours avec prudence et un verre de passoa (hummm). Pourtant, les mélanges improbables d'informatique enivrent l'utilisateur averti autant que le Petit Chaperon Rouge grisait le loup dans la bergerie. Celle du missionnaire est une excellente (phrase incompréhensible) puritaine parfaitement capable de diverger sans retenue dans la position.

 

Commandant de bord : « Armez les toboggans de toilettes, parez les poêles à récurer ! Que la fête commence... »

Hôtesse : « Ça bugue grave ! Capitaine Chocolat, il serait temps de changer de password à word, il devient difficile de configurer cette *%@#. de pigeon moisi. »

Tout à coup, l'avion piqua du nez et vota bêtement (à main levée vers les chevilles) pour l'amerrissage dans la baie Enzo Di Azepine, près de l'archipel du Diable qui se trouve à Vauvert (Camargue). C'est ainsi que l'équipage annonça aux passagers :

- « Arrêtez d'écrire, je jette l'ancre. Et gonflez vos gilets avec l'eau du robinet que les hôtesses vont vous distribuer gracieusement. Des mini-bouteilles de vin blanc, des petits pains, lents mais gentils. »

- « Belles comme le jour, les donzelles ! », rêvassait le Tigrou (le plus grand, pas son frère ennemi, l'ascète...).

- « Qui lui a chanté une chanson d'amour ? Il ne faut pas ! Ça risque de le rendre fou... fou de vous ! »

 

Et c'est donc ainsi que le kangourou chauve découvrit avec stupéfaction que sa dulcinée s'appelait Gérard, avec tous ces accessoires qui vont faire jaser les mamies du troisième pont, chambre 351, placard de gauche. Le steward entreprit d'ouvrir les yeux de Celsud, fermés par la malédiction du Scorpion de Joey Starr. Désormais il devait, de toute urgence, user les pavés, apprendre à jongler, dévorer sa pizza et reculer d'un mètre pour pouvoir échapper à Dylav, le monstre hideux dégoulinant de chocolat chaud et blanc.

- « Merci, les gars ! Fallait pas chanter du Lorie pendant les heures de gloire du SsebBbot ! Je suis très impatient de pouvoir surfer à nouveau dans Paris libéré de ses Parisiens, Parisiennes et chiens ! »

 

Aussi impatient, (Ir)réel s'empressa de publier les bans du mariage entre Rion et Julien, les deux Zébuloniens perchés sur un avion en vol.

- « Sans les mains ! C'est quand même préférable, surtout en cas de transpiration excessive, ou d'épilation douloureuse. Maintenant, je suis certain que ces deux tourtereaux sont un peu suicidaires... Trop jeunes pour mourir, trop vieux pour vivre et s'envoler vers une tragique destinée telle la mort sûre de lobes. »

 

Plaquant son fiancé pour un ami de longue date, le chauffeur ressemblait - ou voulait ressembler - à sa sœur, surnommée « la minuscule lunatique casse-bonbons ». En effet, Rion a tendance à manger des Haribo. Malheureusement pour lui et son Taxi-Brousse, jamais aucun marabout irlandais né en Belgique et puant des pieds n'aurait pu commettre un tel méfait ! Quelle honte pour cette belle Poutoupoute, qui croquait les araignées à pleines dents, mais qui se cachait pour mettre ses doigts dans le trou de la Sécu, sans y croire.

 

Surtout que, depuis l'apparition des premiers symptômes de la variole violette, la pauvre Rion doit se méfier de chaque nouveau coup de trompe de chasse. Pourtant, sa jambe droite la démangeait le lendemain de fête : après tous ses lapins enragés, de Paris à Bourges, elle avait conduit imprudemment un ami - gay de surcroît - directement dans le tourbillon de sa folle virée marsienne. Fatale erreur ! Car soudain un énorme koala jaillit de derrière un baobab, irrésistiblement attiré par le regard énamouré de cette sensuelle et putrescible Rion, imprévisible et pourtant inévitable !

 

- « Liliumette ? Que masses-tu, Dylav ou le chimpanzé bleu à pois ? Le danger réside dans son regard en coin, brillant, malicieux, plein d'inévitables injections de liquidités, répétant les clins d'œil d'un neurasthénique et douteux esprit... Ceci étant, le chameau à trois, c'est audacieux. »

- « Ode à sieur, ça n'existe pas ! », prétendit sentencieusement sieur Chafrai.

 

D'une pierre deux coups, sans la force de croire aux pieux mensonges, il entreprit de manger sa dernière douzaine d'huîtres à la moutarde et de laper silencieusement le whisky qui suintait régulièrement derrière le long alambic du dernier des Mohicans. Pendant, tel un gros pantin désarticulé, à la poignée de l'inquiétant col de Lus-Terrus (mal barré, ça), et soupirant comme un barbapapa léthargique, notre héros attrapa la grosse tête tel un gobie.

 

- « Voilà autre chose ! », s'indigna Dylav. « Suis-je un imposteur ou un séide du Talc ? Le beau FreezeScreen, quant à lui, n'hésite pas ! Pourquoi me gêner ? »

- « Alors là, mon cher Dylav, NON ! », rétorqua Poutoupoute en reniflant comme une âcre odeur de transpiration trop bestiale…

- « Ma pauvre, vous n'avez que cette nuit de pleine lune pour vous transformer en citrouille, car demain les soldes seront aussi chez AMD !

- « Que nenni, je dois avouer que j'aime les sensations fortes, surtout le samedi soir… voire le dimanche. Mais, en citrouille, j'ai honte d'être hélicoïdale en infusant dans les toilettes. »

 

Rose dit alors à son pote Casper qu'il n'avait de prosaïque que son visage d'ange délétère. Cela avait provoqué en lui un soudain frisson incontrôlé, qu'elle prit pour argent comptant. Sans plus réfléchir, notre héroïne planta un fanion fendu à un endroit que la décence préfère souvent taire, mais Casper hurla “Je suis trahi !” et clopina laborieusement, empêtré dans son sofa d'origine, très ancienne copie du divan de la Reine Margot.

 

Quand Margot dégrafait son manteau (pour que Dylav examine, avec tous les égards nécessaires, ses dossiers insidieusement inaccessibles pour donner la gougoutte à DK, fatiguée par la lente érosion de son corsage de soie blanche), le public applaudissait le peep-show du village, hélas... Les distractions furent deux : courtes pailles (anciennement bûchettes) et roulette russe !

 

Un cri monta, guttural et sauvage : « Bande de faux jetons ricaneurs… », vociférait DK. Mécontente, DK-lécatan ohé ohé, aux bas de laine pleins de cadeaux inutiles ! Rose et Margot, de bleu vêtues, de rose dévêtues, et bardées de fanfreluches, se dirigèrent à tâtons vers le vieux port aux illuminations éteintes.

 

Un vieux marin prénommé Olive, affublé d'un caban bleu tout rapiécé, s'en allait rejoindre sa belle-mère avant le jour de Noël, pour préparer une magnifique et incroyable Bûche décorée de nains en sucre jouant de la lyre en ré, comme Jospin ! Pourtant, lui si enthousiasme, parfois même protocole, ne savait pas que Rose et Bleuet avaient eu la chance d'échapper aux contraintes orthographiques du tiger.

 

Particulièrement malin, ce lascar ! Il attrapa Casper et Bleuet et les félicita en leur proposant de l'accompagner en croisière autour du lac Majeur. Ils partirent donc tous les trois, bras dessus bras dessous, se faire offrir le gîte chez Laurette, amie intime de Zézette.

 

Rion, jalouse de Zézette qui avait tant aimé René, n'accorde que dalle comme caution, sous acide. Néanmoins, après quatre Martini, qui peut se targuer de résister à une sieste tardive dans un petit hôtel tranquille ? Pourquoi se priver du confort italien que procure ce sofa douillet ? Elle vire et Gonzague se trompe de porte en arrivant.

- « Bonne année 2009 ! », le gonze argue ; de son erreur, pour prétendre insidieusement jalonner un itinéraire, il dévie. C'est la chute inéluctable, sans aucune cohérence, dans la mise en plis.

- « Le courrier sera momentanément réexpédié par “Les Courriers du Far-West”. Ne comptez pas sur moi, crénom ! »

 

Mais les circonstances ne sont pas folichonnes, et Pilipp s'enguirlanda avec Gonzague… Un vrai cauchemar ! pour Rion, qui connaît les raisons de cette mésentente : la virgule exclamative (ignorée de Casper). Ponctuation, oh ! Combien ? Pourtant, au premier détour d'une faute d'orthographe délicatement déposée par mégarde sous ses yeux, au milieu du mot clé "pot de chambre", Rion retrouva la Nausée et la Migraine de Pierre, qui la rendirent blême ; elle rendit son tablier chasuble à petits pois et, mécontente, déclara :

- « Si vous ne me mitonnez pas un ragoût aux pieds de cochon avant les douze salopards, n'espérez pas jouir de l'obscurité pour piquer les frites du Tiger Ghost, malin et rusé comme un singe. »

- « Vous me connaissez si peu... Ce plat, je le détruisais déjà comme une malade quand Zézette et René tournaient le dos à leur renommée. »

- « Qu'entends-je ? On dirait des bruissements d'ailes de chauves-souris en vol plané sous une pluie battante… C'est épouvantable, j'ai d'affreux vertiges ! Depuis quand mes peurs me commandent-elles ? »

 

Psychologiquement atteint, il crut d'abord que la terre tremblait. C'était l'effet des petites pilules bleues dont Casper abusait. Aïe ! Aïe ! Aïe !... Des effets secondaires risquaient probablement de surgir de son imagination bouillonnante et de lui faire rater la bûche. Très excité, il crut d'abord voir un OVNI au-dessus de Zézette et René. Erreur ! C'était un pauvre petit papillon de nuit sans ambition, qui ne faisait que voler à l'envers pour ne pas heurter Zézette. Cependant, il fit une embardée spectaculaire dans le centre de la France (à Bourges, précisément), rue Rion Bleu.

 

Rion l'accueillit les bras ouverts, comme d'habitude, le happa puis le souleva rapidement pour le projeter dans un avenir radieux et sensuel. Casper, surpris, rougit… Peu banal, pour un fantôme qui aurait préféré blêmir devant Zézette ! Depuis qu'il est très très énervé, il devient dangereux, irritable, imprévisible, affreux... Dès qu'il eut fini le bouclage de son édito, le Canard déchaîné, fan de Johnny, se précipita dans la soute, à Nœuds (Rhône), bizarre, étrange, stupéfiant… Imaginez le spectacle quand le pissenlit de sa boutonnière s'effeuilla brutalement, sous les yeux au beurre noir de la pôvre Rion.

 

Elle attrapa le volatile par le cou et l'égorgea sec, si cruellement que ses plumes volèrent de tous côtés. Lorsqu'elle eut préparé la sauce aux intestins et généreusement arrosé de whisky tous les convives, elle entonna "Minnie petite souris". Estomaqué, le facteur préféra s'esquiver sous la jupe de son automobile. Laquelle fut surprise d'être ainsi visitée sans préavis ! Le moteur vrombit, emballé par la poussée rageuse de l'ami Zempli.

— « Pas de panique ! s'écria Fifi. Donnez-moi le bout de gras de jambon et rions de bon matin, j'ai l'intention de prendre un bain de foule, si vous me permettez, père. »

 

C'est ainsi que le soir tomba sur le village enchanté, lourdement, mutilant gravement le ciel étoilé, où deux ovnis paresseux hésitaient à rebrousser chemin. Après…

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