PROBLEME DE SOURIS SERIE SOUS WIN 98

[ARSOUNETTA]

J'ai réinstallé WINDOWS 98 dans une petite partition DOS primaire de mon ancien ordinateur.

Pour info, j'ai récupéré ce vieil ordinateur au lieu de le jeter et j'ai installé UNIX native et UNIX swap dans deux partitions DOS étendues.

 

J'ai une vieille souris "Microsoft Serial Mouse" avec un seul bouton actif à gauche et un ancien connecteur à n broches avec deux vis, au lieu du petit connecteur rond actuel qui se branche comme une prise de courant.

 

WIN 98 l'a configurée en "Souris Série Standard" et me dit: "Ce périphérique fonctionne correctement".

 

Mais elle déconne complètement:

Si on la déplace sans cliquer dans la zone libre de l'écran, elle laisse une trace sous forme d'un rectangle en pontillés, elle génère toute seule une fenêtre de commande grise avec "Active Desktop", Nouveau, Actualiser, Propriétés.

Si on clique sur Démarrer par exemple, tout se bloque.

 

Je l'ai reconfigurée en "Souris Série Microsoft" ce qui donne "Ce périphérique ne fonctionne pas correctement".

Mêmes problèmes cependant.

 

Et mêmes pilotes dans C:\WINDOWS\SYSTEM:

VMM32.VXD, MSMOUSE.VXD, MOUSE.DRV.

 

Peut-être les pilotes datant de 1999 sont-ils trop récents pour cette vieille souris, par exemple VMM--32 ? alors que WIN 98 a généré une FileAccessTable FAT--16 ???

 

Merci de m'aider si vous avez quelques lumières sur la question.

[Pianiste]

bonsoir,

soluce simple une souris tout à fait ordinaire en grande surface ou à la FNAC pour 1€ et quelque et le tour est joué, pourquoi t'ennuyer avec du matos périmé ?

[ARSOUNETTA]

Salut Pianiste, merci de ta réponse.

 

C'est l'ordinateur lui -même qui est du vieux matos.

Je ne sais pas si on vend encore des souris avec un vieux connecteur à broches avec deux vis pour le fixer.

 

A part cela, mon WIN 98 dans sa petite partition fonctionne quand même, il suffit d'utiliser seulement le clavier.

Et je suis bien content d'avoir pu me constituer une machine UNIX dans la grosse partition étendue sur le DOS.

 

 

Et puis "Ce n'est pas parce qu'on n'a rien à dire qu'il fermer sa gueule" (Pierre DAC)