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Messages recommandés

Posté(e)

Je fais appel à tous les membres du forum :-(

 

Je vais faire un article sur le piratage dans le monde de la musique : la copie privé, les taxes CD, la RIAA, les logiciels de téléchargement, l'augmentation du CA en France ...

Alors si vous avez des liens intéressants :P je suis preneur

 

777

 

PS : vous pouvez envoyer les liens par MP ou sur ce topic

Posté(e)

Yess :P

je le connais mais j'avais plus l'adresse :-(

 

777

Posté(e)

J'attends son passage alors :-(

 

777, flemme powa :P

Posté(e)

me voilou, le sujet est très abordé en ce moment voila les derniers liens :

 

kazaa qui attaque : http://www.ratiatum.com/index.php?article=659

vue de le monde : http://www.lemonde.fr/article/0,5987,3232-...307008-,00.html

point de vue sur le piratage par tf1 : http://www.tf1.fr/news/multimedia/0%2C%2C9...84449%2C00.html

 

en vrac :

 

Bilou contre le piratage de CD audio - 20/01/2003  

 

 

Depuis que les graveurs se sont démocratisés, les maisons de disques se plaignent que les ventes de disques diminuent. Mais Microsoft pense à eux et a profité du 37ème salon de l'industrie phonographique sur la Côte d'Azur samedi pour dévoiler une nouvelle technologie, le Windows Media Data Session Toolkit, qui devrait protéger les CD de la copie illégale.  

 

Le principe du logiciel Bilouvien est de réaliser des CD multicouches qui pourront être écoutés autant sur une chaîne Hi-Fi que sur un PC (nous connaissons les problèmes liés à certaines protections...). Une couche de lecture serait réservée aux ordinateurs, et serait modifiable par l'éditeur pour empêcher par exemple la gravure.  

 

Les grands du secteur comme Universal Music et EMI semblent très enthousiastes car ce système permet aux industriels de fabriquer un CD avec leurs propres protections...  

 

Cette fois-ci sera-t-elle la bonne ?

 

source: Reuters

 

 

 

 

 

Piratage en Italie - 20/12/2002 - 12:40

 

 

On peut dire qu'en Italie, tout comme au Danemark, la police ne se tourne pas les pouces en ce qui concerne la répression du piratage de films, musique et logiciels.  

 

En effet, la dernière descente en règle s'est passée ces jours-ci en Italie. La brigade financière, assistée de la douane et des carabiniers, a contrôlé pas moins de 454 boutiques informatique afin d'y réaliser des perquisitions.  

 

Résultat : 137 personnes arrêtées, 100 000 copies saisies (CD & DVD).  

 

Après le Danemark c'est donc l'Italie qui montre l'exemple en raffermissant sa position vis à vis du piratage.  

 

 

source: Zataz

 

 

 

 

 

Le piratage musical en hausse ! - 11/10/2002 - 00:15  

 

 

Selon les derniers chiffres qui ressortent de l’enquête menée par la société Jupiter Media, le nombre d’utilisateurs compromis dans des échanges illégaux de fichiers musicaux sur le Net est en train d’exploser littéralement.  

 

Ces statistiques révèlent que 39% d’internautes ayant une connexion haut débit téléchargent illégalement de la musique, contre 18% pour ceux équipés d’une connexion dite « lente » ; Comme le nombre de surfeurs se laissant amadouer par l’ADSL augmente également considérablement, en France (voir cette news) comme ailleurs, le nombre de fichiers mis en partage augmente lui aussi, inexorablement. Nul doute que les compagnies comme la RIAA ou la MPAA doivent commencer à s’arracher les cheveux, quand on sait les moyens qu’ils mettent en œuvre pour stopper le partage de fichiers illégaux sur le Net.  

 

Malgré cela, certains analystes prédisent pourtant un essor important des nouveaux services permettant d’acheter les fichiers musicaux (et vidéo, d’ailleurs) que l’on souhaite télécharger. La raison est simple : beaucoup d’internautes commenceraient à être fatigués de la faible qualité sonore des fichiers musicaux disponibles en partage et se déclareraient prêts à payer une petite somme d'argent pour avoir le même fichier dans une qualité sonore optimale. Et si les grandes majors du monde musical se décarcassaient plutôt pour proposer des solutions intéressantes d'échanges de ce côté là ?...

 

 

 

source: BBC

 

 

 

 

 

Bush dit ''oui'' aux piratages ! - 03/08/2002  

 

 

 

 

"Mais qu’est ce que c’est que cette histoire ?" me lancerez-vous, incrédule devant ce titre outrageant ! Eh bien sachez que Richard Clark, un proche conseiller du président Bush lui même, a déclaré lors d’une conférence du "Black Hat" (un mini DefCon), que "certaines personnes se trouvant dans la salle se devaient d’aider les sociétés spécialisées dans le développement de logiciels ou dans l’Internet à trouver et fixer les vulnérabilités". L’appel du pied lancé a le mérite d’être clair...  

 

Néanmoins, Clark précise que cela ne doit pas être une porte ouverte à n’importe quels types d’attaques ; Il leur demande plutôt de signaler aux entreprises toute erreur de programmation dans leurs logiciels ou systèmes informatiques. Il rappelle d’ailleurs que certaines compagnies offrent de belles récompenses pour l’aide que les informaticiens ainsi que les hackers peuvent leur apporter.  

 

Le problème, selon Clark, vient du fait que les "traqueurs de vulnérabilités" auraient peur de l’attitude des sociétés à leur égard (on peut tout de même les comprendre, quand on sait que certaines ont tellement peur d’être attaquées qu’elles se masquent derrière une tripotée d’avocats...), et bien souvent, préfèrent faire part de leurs trouvailles à des confrères dont les intentions sont parfois discutables, favorisant par là même le crime informatique.  

 

 

source: MSNBC

 

 

 

 

 

La Malaisie autorise le piratage ! - 29/07/2002

 

 

Cela semble incroyable mais l'information paraît très sérieuse. Selon le site du journal Libération, il est possible - ce n'est pas encore fait - que la Malaisie autorise les écoles à utiliser des logiciels piratés, ceci dans un but purement éducatif, dixit le Ministre du Commerce Intérieur et de la Consommation. Toujours selon une interview donné par le Ministre au journal Sunday Star, cela n'empêchera pas les autorités Malaisiennes de tout faire pour que les entreprises et les Malaisiens ne piratent pas les logiciels, cependant pour tout ce qui a trait à l'éducatif (écoles, organisations, associations), cela pourra peut-être être possible.  

 

Cette annonce a fait l'effet d'une bombe parmi les éditeurs de logiciels, La Malaisie ayant piraté selon L'Alliance Internationale de la Propriété Intellectuelle pour près de 316 millions de $ en 2001, rien que pour les Etats-Unis, contre 140 millions l'année précédente (piratages de films, de musiques, de logiciels et de matériel d'édition cumulés).  

 

L'article de Libération oublie toutefois de préciser que le Ministre Malaisien assure que le nombre d'utilisateurs de logiciels piratés avaient chuté de 70 à 60% en 2 ans et qu'il était certain que ce pourcentage tout de même impressionnant allait encore diminuer grâce à de nombreux raids et de nombreuses opérations spéciales (source : Thestar.com).  

 

Le Ministre ajoute aussi que comparée à Hong-Kong, Singapour et le Japon, la valeur des logiciels piratés était moindre en Malaisie, ce qui est logique par rapport au Japon, la Malaisie comptant un peu plus de 22 millions d'habitants contre 130 millions pour le Japon, mais cette annonce est tout de même étonnante par rapport aux deux autres villes/cités annoncées, Hong-Kong n'ayant que 8 millions d'habitants et Singapour 3,5 millions.  

 

Le Ministre Malaisien a tout de même fini son interview en retorquant que la piraterie aux Etats-Unis n'avait rien à voir avec celle de la Malaisie, et qu'avant de les critiquer ils devraient voir ce qu'il se passe de leur côté...  

 

C'est Microsoft qui doit faire la tête.

 

source: Vu chez Linux.org

 

 

 

 

 

Piratage Made in Taïwan ! - 25/07/2002 - 14:23  

 

 

La police Taïwanaise vient d’arrêter un jeune homme de 21 ans qui n’avait rien de mieux à faire que d’utiliser frauduleusement des téléphones portables dont les communications apparaissaient sur la facture des victimes, idem pour plusieurs centaines de numéros de cartes bleues volées et autres délits répréhensibles, le tout pour un montant d’environ 45.000 euros (première estimation).  

 

Sipho Hasiya a par ailleurs subtilisé l’identité d’un employé de la compagnie téléphonique Advanced Info Service afin de pouvoir placer de la publicité sur un site référençant les offres préférentielles de téléphonie ; comprenez à cela qu’il cherchait à utiliser les détournements téléphoniques qu’il opérait afin de proposer à d’autres personnes d’appeler à des prix défiant toute concurrence...  

 

Le jeune homme a d’ailleurs reconnu ses méfaits et a avoué à la police s’être largement documenté en ouvrages traitant de techniques de piratage, et consultait de nombreux sites de l’underground informatique proposant des méthodes de détournements de fonds.

 

source: Hoovers

 

 

 

 

 

Philips anti systèmes antipiratage ! - 18/01/2002 - 14:32

 

 

Reuters a fait une analyse sur Philips qui reste opposé aux systèmes antipiratages des CD.  

 

Philips, qui a inventé le compact disc (CD) avec Sony il y a plus de 20 ans, ne veut pas entendre parler des dispositifs de sécurité dont les maisons de disques commencent à truffer leur production pour empêcher les enregistrements pirates sur ordinateur.  

 

"Ce que nous avons vu jusqu'à présent est gênant et embarrassant", explique Gerry Wirtz, qui dirige le service chargé des questions liées aux droits d'auteur chez Philips.  

 

"Nous sommes inquiets car (les labels) ne savent pas ce qu'ils font".  

 

Les cinq principaux labels musicaux - BMG, filiale de Bertelsmann AG, Vivendi Universal, Sony, EMI Group et Warner Music, filiale d'AOL Time Warner - espèrent que l'impossibilité de lire les CD sur ordinateur empêchera les enregistrements "sauvages" sous format MP3.  

 

Avec l'apparition de Napster, les grandes maisons de disques ont été obligées d'explorer les moyens de contrer le piratage. Les disques qui arrivent actuellement dans les rayons aux Etats-Unis contiennent des contre-mesures empêchant leur lecture sur ordinateur, mais aussi parfois sur les lecteurs traditionnels.  

 

Aucune des grandes maisons de disques ne s'est publiquement engagée à généraliser ces systèmes "mais il semble bien que l'idée séduise les maisons de disques et qu'elles sont en train de préparer la sortie d'un nombre incalculable de disques", avance Aram Sinnreich, analyste chez Jupiter.  

 

Une démarche qui ne sied pas à Philips pour des questions légales: le géant néerlandais a prévenu les éditeurs que leurs disques ne pouvaient plus être considérés comme des compact discs et devaient porter une mention avertissant le consommateur.  

 

"Nous avons veillé à ce que les (maisons de disques) préviennent très clairement le client qu'il n'achète pas un compact disc, mais quelque chose de différent", explique Gerry Wirtz. "Nous avons demandé à certaines de commencer à faire figurer cet avertissement, et elles ont adapté leur comportement".  

 

Les "labels" ne pourront plus non plus utiliser le logo "compact disc" qui figure sur chaque CD depuis l'invention de ce support, en 1978.  

 

Les cinq principales maisons de disques se refusent à tout commentaire.  

 

Chez Philips, on explique que les mesures de protection ont donné des résultats mitigés, notamment en raison de la multitude de types de lecteurs existant sur le marché, dont certains ne pourront pas lire les nouveaux disques.  

 

"Il est extrêmement difficile de reconfigurer les systèmes en fonction des mesures de protection sans prendre le risque de perdre la possibilité de lire tous les CD sur tous les lecteurs", prévient Wirtz. "Et même si cela marche dans un premier temps, rien ne garantit que le disque ne devienne illisible à la longue".  

 

Philips n'est pas seulement propriétaire de la marque "compact disc", mais également l'un des principaux fabricants de graveurs de CD et Wirtz affirme que les prochaines machines de Philips seront probablement capables à la fois de lire et de graver les CD protégés, ce qui pourrait constituer une infraction à la législation américaine sur les droits d'auteur, le US Digital Millennium Copyright Act (DMCA).  

 

Ce dispositif, mis en place en 1998, interdit toute tentative d'infraction aux mesures de protection des droits d'auteurs. Ses détracteurs soutiennent que la loi accorde trop de pouvoirs aux éditeurs et empêche le consommateur d'utiliser à sa guise les produits qu'il achète pour son usage strictement personnel.  

 

Philips estime que les nouveaux CD protégés ne tombent pas sous le coup de la DMCA, car ils restreignent l'enregistrement et pas la copie.  

 

Un avis que ne partagent pas les juristes, pour qui la société néerlandaise pourrait s'engager sur un terrain judiciaire dangereux pour elle.  

 

"Les maisons de disques vont plaider que la protection revient à un encodage qui est compatible avec les termes de la DMCA, parce qu'elle vise à protéger un contenu relevant des droits d'auteur et mis en place avec le détenteur de ces droits", explique ainsi l'avocat spécialisé Leonard Rubin, du cabinet Gordon&Glickson.

 

source: Reuters

 

 

 

 

 

Le piratage enrichit mieux Bilou - 28/10/2001 - 10:59  

 

 

Un Américain de 49 ans a été condamné à deux ans de prison pour un trafic à grande échelle de contrefaçons de logiciels Microsoft sur internet.  

 

Paul Stamatis, résident de Las Vegas, a également été condamné à payer 500.000 dollars de dommages et intérêts à Microsoft.  

 

Il avait été arrêté en février 2000 avec deux autres personnes pour avoir diffusé les CD piratés sur l'ensemble du territoire américain.  

 

Comme quoi ...  

 

 

source: Par mail

 

 

 

 

 

RealNetworks et l'antipiratage - 22/06/2001 - 12:04

 

 

RealNetworks a développé une technologie qui permettrait aux revendeurs d'Internet de suivre à la trace la vente et l'utilisation des chansons ou des films distribués sur le Web et pourrait s'assurer que les marchandises ne soient pas distribuées illégalement.  

 

Le produit, sorti mercredi aux USA, vise, entre autre, les sociétés qui veulent vendre des morceaux musicaux sur le site du très populaire Napster, pour se faire de l'argent sans que les droits d'auteur soient violés.  

Si une personne loue un film sur l'Internet, par exemple, le système s'assurerait que ce film soit réellement transmis à l'ordinateur de cette personne, suivre sa trace pour savoir combien de fois ou combien de temps il a été observé et s'assurer qu'il ne soit pas copié ou partagé par un autre utilisateur.  

 

Ce principe sera t-il fiable?  

Combien de temps avant qu'une parade ne le contre ?  

Et surtout, notre liberté... ?

 

source: Par mail

 

 

 

 

bouges pas y'a 2 superbes articles comme je les aimes sur ça justement, je vais essayer de les retrouver :P

Posté(e)

Merci :P

Si vous avez toutes docs concernant le monde de la musique :CA en France et dans le monde, MP3, échange, copie privée, protection... :-(

 

777

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