[JALC] Un 2ème jeu débile

[ST@if]

soudoyer quelques responsables peu scrupuleux afin de se payer une place en or au seins du FBI et ainsi obtenir un bureau tout neuf et bien décoré.

 

 

C'était pour lui l'occasion ou jamais de nourrir son ambition sans cesse grandissante avec l'argent de la caisse. Mais ça ne s'arrêtait pas là car...

[Dylav]

Mais ça ne s'arrêtait pas là car...

... car son intention était désormais clairement affichée : découvrir qui lui avait fait l'affront de s'en prendre à l'un de ses potes. Oui, sous des dehors bonhommes, c'était un teigneux, l'Ecureuil, et il en faisait une affaire personnelle. Alors, maintenant qu'il disposait de moyens considérables, rien ne pouvait plus l'empêcher de ...

[Squirrel]

Alors, maintenant qu'il disposait de moyens considérables, rien ne pouvait plus l'empêcher de ...

Puiser dans ses réserves de NUTS glacées à s'en faire péter la panse....

Modifié le 20 avril 2006 par Squirrel

[Dylav]

Puiser dans ses réserves de NUTS glacées à s'en faire péter la panse...

Et voilà qu'il recommence. Sous prétexte que plus n'est besoin de se comporter en fourmi prévoyante, notre Ecureuil retourne aux fastueux excès de la cigale... et ce qui devait arriver arrive ! Pauvre Ecureuil, pourtant sympathique par ailleurs, un jour son coeur va lâcher (ou son foie, ou même les deux), et il ne nous restera que nos yeux pour pleurer une irréparable perte...

 

Mais que fait le gouvernement ? Plutôt que de se préparer à être calife à la place du calife, le baron Sarko ne pourrait-il pas dépêcher de par les rues ses puissants Sardaukars, pour que nos chères têtes blondes n'aient pas à subir de tels spectacles ?

 

Excuse-moi, Squirrel, j'en abuse, mais elle me plaît trop, celle-là !

[sylvitara]

QUELLE HORREUR

 

soit tu bidouilles très bien les photos, soit c'est vraiment un cauchemar ton truc !!!

[Dylav]

QUELLE HORREUR

Excuse-moi, Sylvitara, j'avais oublié la forte probabilité que tu passes par là (on t'attendait d'ailleurs tous avec impatience, pas vrai les gars ?), et je ne voulais pas heurter à ce point ta sensibilité.

 

Mais ne t'inquiète pas pour la bête,

• Squirrel en a vu d'autres, et je pense qe, cette fois encore, il s'en remettra,
  
• sur un plan purement technique, je n'y suis vraiment pour rien, j'ai trouvé cette photo telle quelle et, pour te rassurer définitivement, il s'agit très probablement d'un animal taxidermisé (oui, j'ai osé le néologisme, c'est quand même mieux qu'empaillé ou naturalisé) et mis en scène.
  

Ne tremble plus, je te promets que c'est ça la vérité !

 

Et maintenant, concocte-nous un petit bout de suite sympa à cette histoire... comme tu sais si bien le faire !

Modifié le 21 avril 2006 par dylav

[Phantom-X]

Plutôt que de se préparer à être calife à la place du calife, le baron Sarko ne pourrait-il pas dépêcher de par les rues ses puissants Sardaukars, pour que nos chères têtes blondes n'aient pas à subir de tels spectacles ?

 

Mais le véritable problème n'était pas là, car en vérite, à la suite d'un extraordinaire bond dans le passé-qu'est-après (période de l'histoire où seraient apparus, nottamment et entre autres, le dahu, le dalaï-lama, ainsi que leur cousin respectif, disparu il y a longtemps victime des saucisses jaunes à poil dru des vertes prairies du Kamtchatka, j'ai nommé le Dahu-l'alluma) Rahan, fils de Krao, apparu dans son slip de guerre étincelant incrusté de pierreries afin de...

[Dylav]

Rahan, fils de Krao, apparu dans son slip de guerre étincelant incrusté de pierreries afin de...

... afin de rappeler aux autres mâles de la tribu que le chef, c'était lui, alors pas touche aux meufs ! Car, en ces temps reculés, la nature était rude et sauvage. Ainsi, la vie était le bien le plus précieux, et il était indispensable d'être en pleine possession de ses moyens pour survivre. En conséquence, le chef était le mâle le plus vigoureux de la tribu, et régnait sans partage, sur les keums qui lui devaient allégeance, et sur les meufs qu'il honorait régulièrement pour étendre par la procréation la puissance de la tribu. Jusqu'au jour où un jeune mâle, en le défiant, abattait le vieux chêne et le remplaçait... Pourquoi donc la démocratie a-t-elle dévié à ce point, depuis ?

Mais, pour le moment, Rahan était sans conteste le chef viril. Le soir tombant, il se mit en quête de celle qui partagerait sa couche cette nuit-là. Alors qu'il parcourait le camp d'un pas sûr et agile, son regard fut soudain attiré par une apparition féérique...

Eh oui, vous l'aviez déjà deviné, c'était notre Zézette qui, se glissant par inadvertance dans un trou du spatium continuo-temporel (c'était devenu une habitude, chez elle), avait raté un embranchement pour atterrir par erreur dans la Préhistoire !

Mais elle ne le regretta pas longtemps. Il faut dire qu'il avait fière allure, le Rahan, et que, non seulement il n'avait rien à envier au René, mais qu'il allait probablement le remplacer avantageusement dans tout un tas de domaines...

Vous savez bien qu'elle n'est pas farouche, la Zézette, et pleine de curiosité , prête à tenter toute expérience qui pourrait faire évoluer la race humaine dans le bon sens, surtout depuis qu'elle avait lu les théories de Darwin.

Très mondain Rahan inclinait légèrement le buste pour baiser la main que Zézette lui tendait lorsque...

[Phantom-X]

Très mondain Rahan inclinait légèrement le buste pour baiser la main que Zézette lui tendait lorsque...

... une peau de banane à pointes (car en ces temps reculés d'avant-hier les moeurs sexuelles des hérissons et des bananes étaient somme toute assez différentes d'aujourd'hui) se glissa voluptueusement sous son pied droit afin d'insérer amicalement ses pointes dans sa chair, manière très courtoise de se souhaiter le bonsoir dans le langage parlo-sensitif spécifique de la population fructo-erinacéenne (rappellons le nom scientifique du hérisson : Erinaceus europaeus. À noter que certains scientifiques affirment avoir trouver une nouvelle race d'hérissons : Erinaceus masmualanus, mais ce ne sont encore que des hypothèses) ; ce à quoi l'ami Rahan (à ne pas confondre avec l'amie câline qu'est la Zézette) répondit chaleureusement dans le même parler-toucher : "Ouaïaïaïe, mais qu'est ce qu'y fout là c'te foutu peau d'fruit-piqu'pique ?!?" (rappellons au lecteur endormi que Rahan, malgré ses bonne manières, sort tout droit - quoiqu'un peu de travers parfois - de l'apeupréhistoire, et que cet état de fait se ressent parfois, pas souvent mais disons tout le temps, dans ses propos), ce à quoi la Zézette se jugea bon d'ajouter : "...

[Dylav]

ce à quoi la Zézette se jugea bon d'ajouter :

"Eh bien dis donc, toi, tu n'es pas du genre à regarder où tu mets les pieds, tu vas droit devant, et vogue la galère. Heureusement que tu n'habites pas Paris et que Darwin n'a pas encore inventé le chien, parce que tu aurais plutôt tendance à puer des pieds, je te raconte pas ! Allez, viens ici, mon grand, j'ai quelque part au fond de ma yourte une trousse de secours, avec une pince à épiler, pour t'enlever tous ces froids-piquants... et puis je te mettrai du mercurochrome, ça va picoter, mais c'est pour ton bien !"

 

Carrément désarçonné, Rahan ne se fit pas prier pour pénétrer dans la tente rustique. Zézette en referma prestement le rabattant qu'elle verrouilla discrètement, non sans avoir au préalable accroché à la poignée extéreure l'affichette Do not disturb* qu'elle avait piquée la veille dans un Formule 1 en se disant que ça pourrait toujours servir.

"La preuve", murmura-t-elle avec un sourire entendu.

 

"Plaît-il ?", demanda Rahan, expectatif.

"Non, rien, répondit-elle d'une troublante voix de gorge. Allonge-toi sur cette peau de mammouth, je vais te...

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* pas intérêt à faire ch... (en ce temps-là, les gens allaient direct à l'essentiel).