[JALC] Un 2ème jeu débile

[neyra]

Bon, ben je vais en rajouter un p'tit peu, histoire que ça puisse redémarrer...

 

... donc, gnagnagna...son chien et dit : « Salut Médor ! »

- Ne m'appelle pas Médor, répondit le chien, tu n'as aucune idée de qui je suis, de ce que je suis.

- Non en effet, mais si tu ne me le dis pas, je ne vais pas le deviner, je ne me trimbale pas avec les réponses à toutes les questions planquées dans mon string?

- Justement si.

- Quoi, tu veux dire que mon string renfermerait la solution à tout ? Ce serait une sorte d'oracle rose fuchsia transpostériale ? Tu veux dire que la solution pour sortir de cette bulle se cache dans mon string ?

- Précisément, et c'est justement ce string qui t'a amené ici... ce string et moi.

- Mais alors, qui es-tu ? Non, c'est impossible... Tu ne peux pas être...

- Si. C'est bien moi. Je suis le jeune temps, le matin du monde, le nouveau printemps, et c'est grâce à moi, et à ton string, que nous allons reconstruire, recréer tout ça, alors au boulot, pas de temps à perdre, attrape ta casquette, ton happy meal, ta volonté et ton string, c'est parti mon kiki, en voiture Simone, c'est parti pour reconstruire le monde !

- Youpi !

- Ta gueule, p'tit con !

 

 

 

 

 

a l'adresse de l'empécheur de tourner en rond: si je met pas les mots en italique c'est que j'ai pas envie, ça peu durer longtemps comme ça...

Modifié le 1 décembre 2006 par neyra

[neyra]

mais vous êtes bloqués du cerveaux ou c'est moi qui suis suprêment supérieure? pourquoi personne ne continue l'histoire?

[Phantom-X]

Règle n° 1 : On ne s'auto-répond pas.

 

Puis Elle partit. Seul dans sa bulle au milieu de rien, le p’tit mec s'éveilla, regarda le chien et dit : « …

"Quand est-ce qu'on mange ?"

Ce à quoi le chien répondit "Waf !" (z'avez déjà vu un chien qui parle vous ?)

L'homme, con comme la lune - qui d'ailleurs n'existait plus (veuillez noter l'utilisation de l'imparfait) - cru alors qu'il s'appellait Waf, et nomma tout aussi logiquement le chien Cantèsconmanj.

C'est alors que Waf prit conscience du frêle bout de tissu fushia qui l'ensérait. Naturellement ceci n'eut absolument aucune conséquence sur la situation actuelle.

Alors dans un ultime soubressaut Mouilleja déposa en leur bulle deux miroirs, qui en jouant permirent à Waf de découvrir son postérieur. Surpris il baragouina "kelôlunnsoa !"

 

Et la lune fût. Cantèsconmanj, qui ne pouvait avoir le moindre tour dans son sac puisqu'aucun sac n'existait plus, regarda Fairy Vearth, bailla, pissa dessus pour marquer son nouveau territoire et replongea dans sa morne torpeur.

 

Trois non-jours d'intense réflexion plus tard, Waf comprit enfin ce qui avait fait apparaître la lune.

 

Alors il dit : "Que la Zette soit !"

 

Et la Zette fut.

 

 

 

 

 

 

<dylav> </dylav>

Modifié le 2 décembre 2006 par Phantom-X

[neyra]

Le seul problème, c'était que ce con de Waf, qui de toute façon, ne comprennait rien à ce qu'il fesait avait commencé par créer la lune, un satellite, avant la Terre, le truc autour de quoi elle tourne normalement... Evidemment, il ne tenait qu'à Waf de créer quelque chose de parfaitement nouveau, innovant, et sans lien avec l'Ancien Monde, mais c'était sans compter sur l'extrême lenteur à laquelle son cerveau tournait (quoique parfois, il se mettait à virevolter dangereusement vite, ce qui n'était pas mieux au niveau du résultat...). Bref, ce con de Waf avait créée la Lune sans la Terre... Malheureusement, l'univers avait une mémoire, une mémoire profondément enfouie et recouverte d'un métal indestructible, et c'est cette mémoire qui lui permit de recréer la Lune selon la volonté de Waf. Et maintenant que la lune avait été recrée, elle ne pourrait plus être crée à nouveau. Mais comme le satellite n'avait rien autour de quoi tourner, elle partie en sautillant à la recherche d'un truc autour de quoi tourner comme le font tous les satellites, emportant la Zette avec elle.

Pendant ce temps, Waf continuait bêtement à recréer sans faire exprés tout un tas de trucs qui avaient déjà éxisté et qui partaient tous, à la suite de la Lune, à la recherche de leurs copains disparus.

Au bout d'un moment, Waf fatigua et s'endormit. C'est à ce moment là que son string se détacha tendrement, laissant Waf nu comme un ver, un spectacle sordide, pour sortir de la bulle à la recherche d'une aventure plus interressante que celle là car franchement, ce Waf était d'un ennui...

 

 

 

édit:j'ai corrigé mes fautes je crois,et je crois aussi que j'en ai peut-être rajoutées...

Modifié le 2 décembre 2006 par neyra

[Phantom-X]

A peine sorti de la seule bulle de cohérence dans le néo-chaos Neyratique, le string se mua en un maçon malgache né à Mâcon, en Malgachie, et répondant au doux nom d'Adolphe (en français, s'il vous plaît). Ainsi donc Adolphe, malgré son récent diplôme d'ouvrier du bâtiment, restait indéniablement fuchsia. Cet état de fait fort déroutant pour un maçon d'Mâcon lui fit faire un demi-tour accompagné d'un triple salto arrière pour finir en apothéose et en une remarquable réception sur sa caisse à outils, ce qui n'époustoufla personne puisqu'en dehors de la bulle personne n'était. Prenant conscience de la non-existence d'à peu près tout ce qui l'entourait, c'est-à-dire rien, Adolphe poussa un cri qui réveilla de suite les lois du chaos qui somnolaient dans le quartier chic de Beyrouth, étrangement rescapé de la folie destructrice de la Neyra. De fait, il disparut et ne fut plus.

 

Cependant revenons à la Zette et au Waf, qui continuait vaille que vaille à créer des choses sans leur vis-à-vis...

[neyra]

et qui ne semblaient pas s'être aperçus de la disparition du string, ni de sa transformation. Ni la carresse des testicules de Waf sur la tête du chien, ni le doux courant d'air effleurant la raie des fesses de notre ami ne les alarma. Il continuèrent à créer, mus par une force étrange et minable, mais sans le pouvoir du string/maçon, rien de ce qu'ils créaient n'avait de cohérence. Ils se mirent à édifier des villages dont les rues étaient toutes à sens uniques, des palais dont les toits remplaçaient les vides sanitaires, ils plantèrent des forêts où se mélaient sapins, rododendrons et platanes, ils goudronnèrent des autoroutes qu'ils limitèrent à 30km/h...

Et puis, ils décidèrent de créer la vie, la vie animale, douée de mouvement, de pensée, de conscience. Ils décidèrent de commencer par créer l'être dont la sagesse et la perfection serait la base de la réflexion qui les mènerait à créer une société droite et juste, avec à sa tête un tyran suporté par un parlement composé de 19 membres dont le tier serait ré-élu chaque année par le tyran lui même qui bénéficierait du suffrage universel. Ce parlement aurait le pouvoir de lever les impôts, prélever les fortunes, raser les villages, piller les femmes et violer les maisons avec l'accord de la chambre d'état composée du lit conjugal du tyran et de sa femme qui ne serait autre que la créature que Waf et son compagnon s'apprétaient à créer.

Ainsi naquit celle que par la suite on appela...

Modifié le 2 décembre 2006 par neyra

[Phantom-X]

Ainsi naquit celle que par la suite on appela...

Neyra.

[neyra]

Neyra.

 

 

hé ben... ça c'est de la contribution...

 

 

 

Ainsi naquit celle que par la suite on appella Neyra.

Elle était la créature parfaite, éblouissante de beauté, d'une vivacité et d'une sagacité rare, douée d'un talent incroyable pour le complot, l'intrigue et la manipulation. Mais elle était seule, si seule... Waf et son chien décidèrent de lui créer un compagnon, qui plus tard serait tyran mais ceci est une disgrétion car à l'époque, ils ne le savaient pas encore. Waf décica de créer l'Homme à son image. Et il créa l'Homme. Il avait était batit pour la procréation et les hormones envahissant son corps le conduirent tout droit à Neyra qui était à vraie dire la seule créature humaine à un nombre infini d'années lumières à la ronde. Mais quand il commença à la courtiser, elle lui rit au nez. Il faut dire qu'étant à l'image de Waf, il n'était pas beau du tout. Waf décida donc de s'enfermer dans une crise d'autisme résultant d'un état dépressif profond et Cantèsconmanj, le chien, le sage, en profita pour prendre les commandes. Il pulvérisa l'Homme pour, en sa place, créer le Mâle, qu'il créà à l'image de ses rêves les plus fous, un éphèbe d'une beautée surprenante, d'une intélligence sans borne et monté comme un cheval.

Ainsi naquit celui que par la suite on appella...

Modifié le 3 décembre 2006 par neyra

[Phantom-X]

Jacques Villeret.

 

Ainsi donc la Neyra et le Villeret convolèrent en justes noces. Et la justice fut.

Il vécurent heureux et eurent beaucoup de mioches. Et le bonheur fut.

Ainsi donc les années passèrent et Neyra un jour ne pu plus supporter Jacquot. Et le divorce fut.

C'est alors que Caïn trucida Abel (Neyra adorait les clichés), pour les yeux caustiques de la Zette, dont l'un des deux miroirs reflétaient encore et à jamais le si Maranique visage. Et le meurtre fut.

C'est alors qu'Oedipe trucida Villeret, convola en justes noces avec Neyra puis se creva les yeux quand la mémoire leur revint. Et l'inceste fut.

C'est alors que Neyra pria. Et Dieu fut.

Con comme il était il ne se rendit pas compte qu'un monde existait déjà, et décida d'en créer un de toutes pièces.

Ainsi donc Waf, Cantèsconmanj, la Zette, Adolphe, Neyra, Jacques Villeret (qui avait ressuscité pour la forme), Caïn, Abel, Oedipe et les autres disparurent dans l'esprit déjanté du nouveau maître des lieux.

 

Ainsi donc bien le temps passa, la lumière fut, ainsi que la religion, les guerres, Adolf (pas phe cette fois), la télé-réalité, Chantal Goya, etc etc...

 

Et c'est ainsi qu'un pâle matin de juinubre, aux alentours de 17 heures 92, deux petits cochons se promenaient dans le désert en compagnie d'un dromadaire...

Modifié le 3 décembre 2006 par Phantom-X

[neyra]

héhéhé! pas mal!

 

 

 

Et c'est ainsi qu'un pâle matin de juinubre, aux alentours de 17 heures 92, deux petits cochons se promenaient dans le désert en compagnie d'un dromadaire...souffrant de malnutrition et affaiblit par maintes saignées et mauvais traitements que lui infligèrent jadis les médecins qui, par hasard, lui avaient injecté le sérum inconnu jusqu'alors, et qui le resta car personne, non personne, ne remarqua qu'il avait été par mégarde crée par les sus-dit médecins, de l'immortalité. Le dromadaire atteint de l'immortalité qui lui avait été transmise par les sus-sus-dit médecins qui, soit dit en passant n'étaient pas tout à fait à blamer car bien qu'adepte de méthodes archaïque (ce qui est d'ailleur parfaitement justifiable par le fait qu'ils vivaient en des temps trés reculés, temps ou l'on soignait les dromadaires anémiques par des saignées, ce qui est parfaitement stupide mais, entendons nous bien, ne l'était pas à l'époque) étaient doués d'un immense savoir, même s'ils ne l'utilisaient qu'à mauvais escient car, l'ai-je dit? Ces médecins n'étaient pas vraiment des gentils, quoique la frontière entre le bien et le mal est aujourd'hui si mal définie que ces valeurs restent parfaitement subjectives, gambadait tranquillement aux cotés de ces deux petits couillons de cochons, je dis couillon mais j'aurai tout aussi bien pu dire roses ou ratiburique, à vrai dire cela n'a pas grande importance, qui eux-même souffraient du syndrome de l'échange de personnalité, syndrome découvert en 1894, diagnostiqué pour la première fois chez un moine boudin du Minesota par le docteur Piotr Vassilovitch Hridonski, qui leur pourrissait la vie à un point tel qu'ils auraient affectionné de mettre fin à leurs jours de manière brusque et brutale à l'aide par exemple d'un couteau mais ils n'arrivaient pas à trouver de tels outils dans le desert, c'est d'ailleur comme ça qu'ils avaient rencontré le dromadaire qui, des jours et des jours plus tôt, bien avant la saison des pluies, bien avant le premier diagnostic du syndrome de l'échange de personnalité en 1894 par le docteur Piotr Vassilovitch Hridonski chez un moine boubin du Minesota, bien avant le couronnement de la reine Brigitte I de Capislavie qui gouverne comme un pied mais que tout le monde ignore parce que son état ridicule et rachitique ne figure pas même sur la plus précise des cartes, bien avant la colonisation du Minesota par les moines boudins, arpentait déjà le désert à la recherche de la réponse à la question "Si on apelle noir le rose et rose le noir, comment appelle-t-on le rouge?" (réponse que l'on peut aisément formuler en établissant une échelle chromatique biministérielle mais je m'égare, je m'égare...) Et quand ils se rencontrèrent, il y a bien longtemps, c'est dans la joie et la bonne humeur que nos trois amis (oui, je sais, on n'a pas gardé les cochon ensemble mais j'ai décidé de les appeller "amis, je les apelle "amis" car c'est mon choix et que je suis libre de m'exprimer comme bon me semble bien que, en tant que femme, ma voix ait une bien moindre importance mais peu me chau) mirent leur quêtes en commun et depuis ce jour, ils èrent, faméliques et pathétiques, à la recherche d'un couteau et de la réponse à la question "Si on apelle noir le rose et rose le noir, comment appelle-t-on le rouge?".

Ils commençaient à désespérer quand un matin, un pâle matin de juinubre, aux alentours de 17 heures 92...

Modifié le 3 décembre 2006 par neyra