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  • 2 semaines après...
Posté(e)

DONC la Zette, après presque deux semaines d'hibernation bien méritées, décida de faire les yeux doux auprès d'un olibrius se nommant Jean-Paul [depuis le temps j'ai oublié les autres protagonistes et j'ai la flemme de remonter], qui demeura impassible face aux charmes maranesques de la Zette, puisqu'aveugle il ne pouvait n'avoir conscience des-dits attributs autrement que par le toucher.

Toutefois la Zette, peu encline à se laisser tripoter par un pékin libidineux malvoyant, s'en fut donc.

 

Traversant moult paysages, l'épopée qu'elle entreprit alors se mua peu à peu en une fantastique explosion de poésie et de contemplation. Touchée au plus profond d'elle-même par la nature toujours plus éclaboussante de vie et de douceur, la Zette peu à peu s'endormit, et dans les voluptueux bras de Morphée plongea en un rêve où Jean-Pierre Pernault et Napoléon Bonaparte jouaient aux échecs contre une tarte Tatin à demi entamée dite Peur Bleue.

Ne prenant nulle garde à la Zette, ils mettaient au point conjointement une stratégie d'attaque quand tout à coup... :P

Posté(e)

...un énorme baril de sorbet cassis se déversa sur le monde et submergea le terre et ses environs. Rapidement alertéé par la SSS (Socièté de Surveillance des Sorbets), la BOB (Brigade des Obèses Boulimique) mit en apliquation son plan d'urgence et quelque millier de tonnes de sorbet furent ingurgités et régurgité sur la lune qui pris rapidement l'aparence d'une délicieuse boule cassis.

Heureux d'avoir survécu à la catastrophe, nos deux amis joueur s'embrassèrent puis, se retournant, ils aperçurent la Zette qu'ils identifièrent immédiatement comme la cause du cataclysme. Outrée par cette accusation douteuse, celle çi s'empara d'un *** et en matraqua le crane des deux malotrus. Ceux çi s'emparèrent à leur tour d'un *** mais le leur était beaucoup plus gros, c'était presque un ****. La Zette qui avait plus d'un tour dans son parapluie en tira un ***** qui effraya définitivement les deux désormais compères qui s'enfuirent non sans se munir préalablement d'un misérable ** (arme pathétique comme son nom l'indique)

La Zette posa son ***** à terre, s'assit dessus et mit ses mains sur son visage pour cacher ses larmes de rages. Soudain, un main se posa sur son épaule, elle se retourna et vit St Antoine de Padoue armé d'un ****** qui semblait en trés bon état et pret à sévir. La Zette s'enfui, hurlant et gesticulant mais fut vite rattrapée par St ant., hurlant et gesticulant lui aussi. Mais comme ils hurlaient et gesticulaient tout deux en canon, le ***** de Zette et le ****** de St ant. se heurtèrent et de leur collision naquit...

Posté(e) (modifié)

Philippe Ompeutipatatarte. Épicier berbère officiant en Belgique de son état, Philippe, très vite surnommé Philippon, Pilip, puis Peep et enfin Daniel, naquit donc dans la douleur, et de cette douleur naquit le premier juron, un splendide et censuré ***********, union parfaite du ***** de la Zette et du ****** du Stonio.

 

Daniel, tout juste remis des ses émotions, vit alors débouler au loin un conglomérat intergalactique, dont la principale faculté était de vociférer "HOUX SQUELETTE AMER ?" à tu-tête, ce qui avait naturellement eu pour effet de décapiter tous les pékins qui jusqu'ici les avaient croisé.

Quand tout à coup survinrent les Croisés, flamboyant dans leur toge nacrée arborant une fière croix rouge (non, c'est pas moi), qui décidèrent de croiser le fer avec ces chasseurs de têtes croisées, cruciverbistes voire verbicrucistes à leurs heures.

La bataille commença donc dans un bazar peu commun...

Modifié par Phantom-X
  • 2 semaines après...
Posté(e)
La bataille commença donc dans un bazar peu commun...

 

... Pas celui de l'hotel de Ville, non, mais un vrai Big Bazar. Tous les protagonistes Chantaient (criaent? hurlaient ?) afin de désarmer les autres, ce qui eu pour effet de déclencher un incommensurable orage. Des quantitées inimaginables de petites gouttes d'eau assemblées en grosses gouttes, elles même assemblées en véritables sceaux d'eau se mirent à dégringoler. L'acier des épées rouilla, les guerriers qui ne se noyerent pas attraperent le tétanos, et la planete fut netoyée par cette immense chasse d'eau qui venait de déferler.

Le calme etait revenu. Plus un bruit, à part quelques "plic plic" de gouttes qui finissaient de tomber.

Vu d'en haut, il y avait désormais beaucoup de bleu et tres peu de terre.

Zoomons sur la Terre

Mise au point

En bordure d'un lac...

Mise au point

Sous un petit caillou...

Mise au point

Dans une craquelure du sol qui avait secher trop vite...

Mise au point

Une petite pousse verte sortait du sol ...

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