Comment Zézette a-t-elle pu régaler Fako et Pako de ses sandwichs, me direz-vous, si un cachalot lui est tombé sur le coin de la gu... deux épisodes auparavant ? C'est que Casper s'est bien gardé de vous dire que le cachalot, c'était une bouée d'enfant qu'un coup de vent malicieux avait guidé jusque-là en même temps que le pingouin qui le suivait, nez en l'air (une histoire de lune, de doigt, de sage et d'imbécile... non non, pas cochonne, mais je ne sais plus dans quel ordre ça se présente ) !
Toujours est-il que Ségo et Sarko ont bien fait de se casser ailleurs, parce que tout le monde tombe comme des mouches, dans cette histoire. Et Zézette ? Si une fois de plus, elle s'en tire indemne, notre Zézette, c'est qu'elle a horreur des sandwichs au jambon, qui lui rappellent trop le temps où elle brûlait la chandelle par les deux bouts dans ses folles soirées parisiennes (mais c'est une autre histoire, sur laquelle nous ne reviendrons pas maintenant, les enfants ne sont pas encore couchés ).
Ainsi donc, tous ses partenaires sortis ou éliminés, Zézette se retrouve toute seule en scène. Elle salue d'une élégante révérence, et le public lui offre une ovation debout*, qui dure près d'un quart d'heure... après quoi, les voix étant devenues un peu rauques d'avoir tant prodigué de vivas, et les mains un peu douloureuses d'avoir si fort applaudi sans réserve, le calme revient peu à peu. Lorsque soudain une silhouette se dresse, et une voix forte retentit...
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* a standing ovation (excusez-moi, j'ai voulu suivre les directives du Ministère de la Culture)...