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Dylav

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Tout ce qui a été posté par Dylav

  1. Je sens que vous allez me demander un second indice photographique...
  2. ... bière ... à la vôtre
  3. cailloux > calculs > reins (chute de... Ah, Monica !) Pour Fifi : tu nous a sortis de l'inquiétante impasse vaseline, mais l'enchaînement gravier, pas comprite !
  4. Loin de moi l'intention d'excuser le comportement d'un jeune c** qui a cru que tout lui était permis parce qu'il avait réussi à juguler son acné. Mais je crains que tes propos, Athos, même s'ils ne dépassent pas ta pensée, ne soient pas excusables non plus. Quel que puisse être un préjudice, et Dieu sait si nous sommes sensibles à ceux que subissent des innocents non blindés contre les aléas de la vie (mais qui, soit dit en passant, ne sont certainement pas mieux vécus plus tard), il n'est pas acceptable d'envisager de se faire brutalement justice soi-même. En tout cas d'en manifester clairement l'intention dans un audience publique, comme par exemple sur un forum. C'est trop inévitablement ouvrir la voie à d'autres radicalismes, comme ceux que prônent ouvertement les groupes extrémistes, que ce soit au niveau politique ou religieux (attention à la charte du Zéb., Dylav, referme cette parenthèse). J'ai déjà écrit plus haut dans ce topic que, honnêtement, j'ignorais comment je réagirais si le cas se présentait pour moi en tant que père. Mais, sans hypocrisie, je me dois de présumer que devant une telle éventualité j'aurai la force de respecter la loi et de confier le problème à la justice.
  5. ... NOVA
  6. Tu vas rire... enfin, pas sûr ! Ce film est réputé "britannique, américain" [sic] (je pourrai bien entendu te citer ma source) Une autre question, s'il vous plaît ?
  7. Facks ! Je t'avais pourtant demandé de couper le courant... il est survolté, ce garçon !
  8. Moi, ça n'aurait pas pu m'arriver, je bois du café... mais j'adore le NUTELLA ! Oups, la situation a évolué, j'avais oublié de tourner la page ! Sofy
  9. Le fait que ton topic ait été relativement peu lu provient à mon avis, de ses titre et sous-titre, pas véritablement accrocheurs dans le contexte du JRAD, de ton post d'ouverture, où l'on perçoit quelque chose, mais où tu ne dévoiles rien, d'où probablement le désintérêt du lecteur moyen, peu attentif quand ça ne percute pas : nous avons été mal habitués par les médias, qui traquent systématiquement le sensationnel immédiat au détriment des problèmes de fond. Il suffit d'observer la structure et le contenu d'un journal télévisé. J'ai lu quelque part que les 30 minutes du 20 heures de n'importe quelle chaîne occuperaient, à l'écrit, un quart de page du quotidien Le Monde ! Impressionnant, non ? Je te remercie pour ton appréciation, à laquelle je m'efforcerai de faire honneur, si possible en toute circonstance.
  10. Tu ferais mieux de couper le courant, Facks ! Tu vas nous faire de l'hypertension, et péter les plombs...
  11. ... charpentierMarie > Joseph > ...
  12. ... la haieRéférence au procès international de La Haye... il faut dire, Arfing, qu'il n'était pas facile d'enchaîner, avec toi !
  13. [note_du_narrateur] Je m'aperçois que j'ai omis de vous relater que la Zézette, contrairement à ce que les premiers développements de son histoire auraient pu vous faire accroire (non, je n'ai pas l'intention de vous parler ici des émouvants changements subis par son corps au moment de la puberté), n'était pas fille unique. De ses parents, elle avait hérité une grande soeur qu'ils avaient malencontreusement prénommée Armelle (enfin, c'est mon avis, que voulez-vous, non pas que je déteste ce prénom, mais l'Armelle n'avait absolument pas une tête d'Armelle). Et l'Armelle, grande fille simple, avait subi plus que suivi de longues années de collège et de lycée qui lui avaient néanmoins permis d'obtenir, au grand soulagement de ses parents, un baccalauréat sans gloire, mais en bonne et due forme. Ayant depuis longtemps acquis la certitude qu'elle se serait fourvoyée en poursuivant des études qui ne parvenaient pas à la rattraper (n'avez-vous pas remarqué, lorsque vous vous coursez autour d'un arbre, que le poursuivant peut devenir le poursuivi alors que, éventuellement, le poursuivi devient le poursuivant et que, pour compliquer les choses, il arrive souvent que ce soit réciproque, et vice versa dans les deux sens), l'Armelle avait trouvé un modeste mais honorable emploi dans le commerce de détail. Disposant désormais de moyens financiers (d'autant plus confortables qu'elle continuait à vivre chez ses parents), elle ne pouvait cependant que s'avouer qu'elle était rongée par l'ennui (la différence d'âge avec sa jeune soeur était trop grande pour qu'elles se découvrent des intérêts communs), et décida de s'offrir des distractions de son âge. Elle fit l'acquisition de quelques fringues branchées au magasin La Halle de la petite ville la plus proche, qu'elle osa enfiler le samedi soir pour s'encanailler aux bals-parquet de la région. Plutôt saine et bien formée, et particulièrement mise en valeur par ses tenues un tantinet affriolantes, elle eut tôt fait d'être remarquée par un grand gaillard placide qui avait tendance à s'embêter ferme dans ce type de soirées où l'entraînait, un peu à son corps défendant, une bande de potes relativement allumés. Lequel doux géant était également un grand timide, qui mit cinq semaines à se décider à aborder la belle plante qui osait lui décocher de discrets sourires lorsqu'elle s'imaginait qu'il ne la regardait pas. Ce fut tout de suite un sage grand amour, qui se conclut naturellement six mois plus tard par un mariage fort réussi dont tout le monde au village se promit qu'on ne l'oublierait pas de sitôt. Moins d'un an plus tard, notre Zézette était tata, et aussitôt désignée marraine d'un adorable petit Ferdinand (ce prénom lui avait été attribué d'autorité par sa grand-mère Suzanne, en souvenir de feu son époux bien-aimé) promis, comme son père Michel, aux durs métiers de l'agriculture. [/note_du_narrateur] Vous excuserez cette parenthèse un peu longue (dont les derniers événements dataient de huit ans déjà), destinée à vous présenter le turbulent galopin dont Zézette avait hérité pour l'été, et dont elle avait quelque mal à se faire obéir. - "Ferdinand, c'est bientôt l'heure du dîner, veux-tu bien ranger tout de suite ces horribles petits jouets qui puent et salissent le carrelage de la cuisine. Et veux-tu bien libérer immédiatement les quatre pauvres poussins qui gigotent dans ce cube de papier, et que l'Arsène épie d'un oeil torve !" - "Mais, marraine, je jouais à l'invasion des aliens amphibies de Matchnikor..." - "Pas de mais, tu ranges ton jeu dans sa boîte, tu remets les poussins dans la couveuse, tu files te laver les mains et..."
  14. Non point, Mariolink.
  15. Ben, remarque, pendant qu'ils font ça, ils ne font pas de bêtises... ou alors ils sont drôlement souples !
  16. Pourtant, lui, à ce que l'on dit, ce n'est pas une limace, qu'il a[vait], me semble-t-il...
  17. c reparti mon kiki © Mariolink
  18. Niémen Sofy
  19. Bienvenue sur le JRAD, Facks ! Pas mal, ton avatar, il est original... et sage, ta signature !
  20. Bon, les deux vedettes, quand vous aurez fini vos messes basses en public, vous serez gentils d'expliquer à la plèbe tellement ignorante ce qui se passe sur le Zeb'... On y sent parfois comme de l'électricité dans l'air. On a l'impression que de fortes personnalités en arrivent à se friter pour divergence de vues sur des sujets techniques. J'ai la flemme d'aller chercher la source sur le forum Hardware [?]... d'ailleurs, au fond, tout bien réfléchi, je m'en tape le coquillard sur du bitume encore frais ce qui fait moins mal, mais laisse des taches difficiles à ravoir... Pour Nico : tu pensais à Siffredi ?
  21. -> Vercingétorix Vercingétorix, probablement né en 72 av. J.-C., et mort à Rome en 46 avant notre ère, est le chef du peuple gaulois des Arvernes établi en Auvergne et rival des Éduens. Il est surtout connu pour avoir dirigé la coalition gauloise qui s'opposa aux Romains menés par Jules César. Son nom est plutôt un titre militaire : celui-ci signifie le grand roi des grands guerriers. Vercingétorix fait en effet partie de l'aristocratie gauloise. Vercingétorix succède à son père, Celtillos, qui avait lui-même été chef des Arvernes avant d'être renversé pour avoir tenté de rétablir la monarchie – peut-être à l'instigation de son frère, un magistrat (« vergobret ») nommé Gobannitio. César le fit étrangler dans sa geôle après six ans de captivité succédant à sa capitulation en 52 av. J.-C. Son action militaire En janvier -52, ayant pris les armes contre les légions romaines, tente de s'imposer aux Éduens et inspire une union des peuples du centre et de l'est de la Gaule contre Jules César. C'est grâce à l'œuvre de ce dernier, La guerre des Gaules (latin De Bello Gallico) qu'il nous est connu. Vercingétorix connaît des succès initiaux, obtenus contre ses adversaires en partie grâce à la pratique de la « terre brûlée » pour interdire tout ravitaillement à l'envahisseur, c'est le cas à Avaricum (Bourges). Le talent stratégique de César permet aux Romains de remporter la victoire contre la coalition gauloise et l'aide logistique des peuples boïen et Rèmes (Reims), alors que les Éduens semblent toujours réticents à se placer enfin sous la bannière arverne. Par la suite, voulant poursuivre son avantage, César assiège Gergovie, l'oppidum des Arvernes, où il subit une cuisante défaite. Vercingétorix, devenu à Bibracte - selon César - le chef de guerre de la coalition gauloise, se laisse pièger dans Alésia. Sur ordre de César, un « énorme travail de doubles fortifications [ou plutôt circonvallations]» est réalisé autour de la place forte, la guerre change alors en un long siège. Malgré une armée de secours gauloise, Vercingétorix perd la partie et se livre au conquérant. Après sa reddition, Vercingétorix est emmené en captivité à Rome. Il y demeure jusqu'au triomphe de César puis meurt, sans doute étranglé, à la Prison Mamertine après le triomphe du général vainqueur -46. Le restant des conjurés gaulois, emmenés par le chef de l'armée de secours, Lucterius, résiste encore jusqu'à la prise d'Uxellodunum, en -51, où ils ont connu un infâme châtiment... © Wikipédia
  22. -> Boris Vian Né en 1920 à Ville-d'Avray, et mort à Paris à 39 ans, Boris Vian était un écrivain français, un ingénieur, un inventeur, un poète, un parolier, un chanteur, un critique et un musicien de jazz (plus exactement trompettiste). Il a également publié sous le pseudonyme de Vernon Sullivan, et pris d'autres pseudonymes comme Bison Ravi (anagramme de son nom). Formé à l'École Centrale, puis ingénieur à l'Association française de normalisation (AFNOR), il reçut également le titre de satrape du Collège de ’Pataphysique. Il a écrit 11 romans, 4 recueils de poèmes, plusieurs pièces de théâtre, des nouvelles, de nombreuses chroniques musicales (dans la revue Jazz Hot), des scénarios de films, des centaines de chansons, etc., le tout avec une verve qui lui est propre. Son premier roman célèbre (sous l'hétéronyme de Vernon Sullivan) a été J'irai cracher sur vos tombes, écrit en 1946. Ce fut un roman très controversé, (notamment parce qu'il fut retrouvé sur les lieux d'un crime passionel) qui lui valut d'être condamné en 1950 pour outrage aux bonnes mœurs. S'ensuivent des romans tout aussi noirs et sarcastiques : Les Morts ont tous la même peau, Et on tuera tous les affreux, Elles se rendent pas compte. Sous son propre nom, il a écrit des romans plus fantastiques, poétiques et burlesques, l'un des plus connus étant L'Écume des jours mais il y a aussi L'Arrache-cœur, L'Herbe rouge, etc. Il était également auteur de jeux, histoires courtes et chansons, et fervent défenseur de la ’Pataphysique. Le jazz était sa passion, il a souvent joué au Tabou, célèbre club de Saint-Germain-des-Prés (il jouait de la trompette de poche, qu'il avait baptisée trompinette), mais a été aussi directeur artistique chez Philips et chroniqueur dans Jazz Hot de décembre 1947 à juillet 1958 d'une revue de la presse explosive et extravagante. Henri Salvador disait de lui : « il était un amoureux du jazz, ne vivait que pour le jazz, n'entendait, ne s'exprimait qu'en jazz ». Sa chanson la plus célèbre (parmi les 460 qu'il a écrites) est Le Déserteur, chanson pacifiste écrite à la fin de la guerre d'Indochine (soit le 15 février 1954), juste avant la guerre d'Algérie. Amoureux de la culture américaine, il a également traduit en français le grand classique de la science-fiction qu'est le Monde des A- d'A. E. van Vogt, tout comme sa suite les Joueurs du A-. Il a également traduit Raymond Chandler, ainsi que le poème Jabberwocky de Lewis Carroll, extrait de De l'autre côté du miroir. Il a fait quelques apparitions sur scène, au théâtre et dans quelques films. Il joue par exemple le cardinal de Paris (!) dans Notre-Dame de Paris de Jean Delannoy. Le matin du 23 juin 1959, Boris Vian était à la première du film inspiré de son roman J'irai cracher sur vos tombes. Il avait déjà combattu les producteurs, sûrs de leur interprétation de son travail, et publiquement dénoncé le film, annonçant qu'il souhaitait faire enlever son nom du générique. Quelques minutes après le début du film, il s'effondre dans son siège et meurt d'une crise cardiaque en route vers l'hôpital. Ses principaux romans et œuvres poétiques, * L'Écume des jours 1947 * L'Automne à Pékin 1947 * Vercoquin et le plancton 1947 * Cantilène en gelée (recueil de poèmes) 1949 * Les Fourmis 1949 * L'Herbe rouge 1950 * Le Ratichon baigneur 1950 * L'Arrache-cœur 1953 * Le Goûter des généraux 1962, théatre * Troubles dans les andains 1966 * Le Loup-garou (recueil de nouvelles, publié en 1970) * Les Bâtisseurs d'empire, théatre Et sous le pseudonyme de Vernon Sullivan, * J'irai cracher sur vos tombes 1946 * Les Morts ont tous la même peau 1947 * Et on tuera tous les affreux 1948 * Elles se rendent pas compte 1950 © Wikipédia
  23. ... Calvados
  24. Cursed (2005) ? I Love Your Work (2003) ?
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