Phantom-X

QUI --T -- LE --- -- ----- ? B---E, C-----, ------, ----- ET ------. aa b ccc eee h iii llll nnnn oooo rr ss t uuuuu

Malheur à ceux qui parcourront ce salmigondis indigne de trois, quatre pustules suppurantes et purulentes, ils risquent de s'ancrer dans une rigidité morbide au point de prendre définitivement racine. Alors survint, soudainement autant qu'inopinément, errare humanum est, le soldat inconnu gisant tout nu, persevare diabolicum, sur, veni vidi vessie, un écran géant. Alors il leva son verre de pastis et dit : "Je vous bénis, de m'avoir... - Cognac-Jay, à vous les studios !" ça ne pouvait mieux tomber

QUI --- -- -- --- -- ----- ? -----, ------, ------, ----- ET ------. aa bb cccc eeeee h iii lllll nnnn oooo rr ss tt uuuuu

--- --- -- -- --- -- ----- ? -----, ------, ------, ----- -- ------. aa bb cccc eeeeee h iiii lllll nnnn oooo q rr ss ttt uuuuuu

CELUI OU CELLE QUI SOURIT EN LISANT CE CHARI, EST UN BON BOULET !

Malheur à ceux qui parcourront ce salmigondis indigne de trois, quatre pustules suppurantes et purulentes, ils risquent de s'ancrer dans une rigidité morbide au point de prendre définitivement racine. Alors survint, soudainement autant qu'inopinément, errare humanum est, le soldat inconnu gisant tout nu, persevare diabolicum, sur, veni vidi vessie, un écran géant. Alors il leva son verre de Cognac-Jay Avoulestudio

Malheur à ceux qui parcourront ce salmigondis indigne de trois, quatre pustules suppurantes et purulentes, ils risquent de s'ancrer dans une rigidité morbide au point de prendre définitivement racine. Alors survint, soudainement autant qu'inopinément, errare humanum est, le soldat inconnu gisant tout nu, persevare diabolicum, sur, veni vidi vessie,

Malheur à ceux qui parcourront ce salmigondis indigne de trois, quatre pustules suppurantes et purulentes, ils risquent de s'ancrer dans une rigidité morbide au point de prendre définitivement racine. Alors survint soudainement

----- -- ----E QUI S----- E- -----T -E -----, --- -- --- BOULON ! aa b cccc eeee h iiii llll nnn oo rr ss ttt uuu

Et où qu'elles sont mes lettres bien placées ? Tu vas quand même pas me dire que j'en ai même pas une dans le tas ?

Bâche et bouse ont traîné le lisier en Luçon, qui tu cul coulis !

Ce n'est que dans la mouise que l'orang-outan du Jardin des Plantes, qui par ailleurs ressemblait à Rion en période de désintoxication, réussissait à se désalcooliser et procréer avec Jean-Edouard et Loana. Il savait toutefois qu'il était présomptueux de tenter l'ajout verbal vers les plébéiens, forcément limités culturellement. Tigrouette, leur mentor, de même paressait voluptueusement au soleil de minuit. Pourtant, les loups hurlaient comme des cochons auxquels on aurait tire-bouchonné la hure... quelle douleur ! Dès lors que la raie se déplace, les regards se croisent au vers le plus érotique du poème, erreur une Manta ! Malheur à ceux qui parcourront ce salmigondis indigne de trois, quatre pustules suppurantes et purulentes, ils risquent de s'ancrer dans

Trumeau, mansion*, maison, on oublie le principal là ! Pour être, besoin d'étai disait Perec * Manoir chez les rosbifs

Ca me rappelle un sketch de Magdane tout ça

Tandis que les dents de l'amer s'entrechoquaient comme des tronqueuses de scie sauteuse déchaînée (sic), Michel décida d'ulcérer des strings ficelles en tressant des bretelles de lin rouge. Sur ces entrefaits arrive Jean-Mimi qui, de manière honteuse, s'exclame : « Iatrodmodenlpostaciril ! », célèbre cri du singe à poil dans la main. Ce n'est que dans la mouise que l'orang-outan du Jardin des Plantes, qui par ailleurs ressemblait à Rion en période de désintoxication, réussissait à se désalcooliser et procréer avec Jean-Edouard et Loana. Il savait toutefois qu'il était présomptueux de tenter l'ajout verbal vers les plébéiens, forcément limités culturellement. Tigrouette, leur mentor, de même paressait voluptueusement au soleil de minuit. Pourtant, les loups hurlaient comme des cochons auxquels on aurait tire-bouchonné la hure... quelle douleur ! Dès lors que la raie se déplace, les regards se croisent au vers le plus érotique du poème, erreur une Manta ! Malheur à ceux qui parcourront ce salmigondis indigne de trois, quatre pustules

... ne pas réussir à la monter (pas fou, au trop facile nul n'est tenu, disent les héros et autres feignasses maladroites). Exaspéré par tant de labeur infructueux, piqué au vif par les sarcasmes mesquins de la Zette - qui ne trouvait rien de mieux à faire qu'à flagorner paresseusement sur le cadavre en décomposition du R'né qui gisait là, abandonné depuis de trop nombreuses pages - il décida vaille que vaille, coûte que coûte, la mort dans l'âme, la fleur au fusil, les yeux brillants portant au loin, les cheveux dans le vent, le palpitant empli d'espoir, le port altier, le regard profond, les mains frémissantes et le corps en alerte, d'avoir l'incommensurable courage et impétuosité de s'engager fermement et résolument à s'avancer vers son destin et vers la Zette, afin d'y dire : "Ben t'as qu'à la monter, pisque t'es si maligne !" Ce sur quoi il alla retrouver Donkey et le Roi des Cons qui faisaient une belote tandis que Mario se bouffait des tonneaux, convaincu qu'il était dans sa démence que sa vie se résumait en une vaste croisade anti-tonnelière dans le but express de sauver un max de gonzesses. C'est alors que soudain...

Qu'est-ce tu te fatigues à prendre ver et verre aussi ?? T'y fous la paix au ver ! Et si le verre est plein, tu le vides, s'il est vide, pourquoi y toucher ? Et comme au final il sera vide, t'as pas à te poser la question de "Comment que j'écris que j'les prends ?"

Et comment qu'on joue avec un portable ?

La pomme ne tombe que parce que c'est ainsi que nous ressentons le rapprochement de la pomme et de la Terre. Dire que la Terre tombe sur la pomme est tout aussi juste, mais on ne le dit pas

Personnellement je dirais que les lois de la physique sont une lorgnette qui aujourd'hui permet de mieux cerner l'univers que le simple cadran solaire d'Eratosthène, en aucun cas une réalité sensible

Non, mais c'est la raison pour laquelle tu t'es octroyé ce droit.

C'est peut-être pour ça que je me fous royalement de ses mesures écologiques, le plus grand mal de la planète, c'est l'humanité, autant la laisser se suicider plutôt que d'en panser les plaies... Tout animal s'adapte à la planète ou meurt. Aujourd'hui voilà qu'une race prétentieuse entend adapter la planète plutôt que de s'y adapter... Ou comment terraformer la Terre

Désolé de penser plus loin dans l'avenir

Je n'émets pas de supposition, je constate juste que tu as exigé la fermeture d'un topic plus qu'intéressant, sous prétexte que c'était le tien. Il y a un truc qui m'échappe...

Marre de la bien-pensée qui aujourd'hui par mode voudrait que tout topic un tant soit peu dévié soit fermé, d'abord le topic de Bob, fermé pour des raisons que la raison ignore (mais fermé quand même, pour deux trublions ça coulait de source), ensuite icelui, alors qu'au-delà des chamailleries correctionnelles qui le ponctuent, certains posts se contentaient de rappeler à tout un chacun quelques règles, qu'elles soient orthographiques, grammaticales, conjugales ou typographiques. Quand sur un arbre une branche dépérit, ne suffit-il pas de couper la branche, et non tout l'arbre ? Une fois pour toute cessez donc d'ériger votre honneur en vertu absolue que souille de telles "atteintes" à vos topics, ce n'est pas en fermant les rares topics qui ne sont ni des jeux, ni morts, qu'on va parvenir à ranimer ces JRAD et JVRAD dépérissant... Un genre de folie règne en ce moment sur zeb, celle de s'offusquer, se plaindre, pleurnicher et finalement fermer toutes choses, ce qui a pour résultat que les topics éclatent les uns après les autres. La discussion n'est pas un crime, le débat n'est pas un troll (et pourtant, partout on crie au troll quand des discussions sur des points pour lesquels s'arrêter sur une conclusion est un choix purement subjectif, ce qui est dommageable, car ce n'est pas ainsi que peuvent être pesés pour et contre, ni même apportés de nouveaux éléments), discuter au-delà des bienséances hypocrites qui voudraient nous voir tous les sourire crispé nous faire des compliments n'a jamais été ni profondément mal, ni complètement stérile. Et Ténébreuse n'a rien à voir là-dedans, laisse Marion Zimmer-Bradley en dehors de ça