[JALC] Un 2ème jeu débile

[DKlâgOR]

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l : JVRAD, c'

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tait pour un autre jeu....

[neyra]

C'est alors que soudain....IGOR les grosses boules (de pétanque), sauvé des pattes des amazones, par on ne sait quel miracle de cette bonne vieille p..... de Nature, mit tout le monde d'accord en remplissant son rôle (enfin c'est une image pudique), puis le rôle suivant, etc... jusqu'à épuisement du max évoqué ci-dessus ... Puis, ivre de puissance mais dépourvu de satisfaction, il saisit la tasse de tisane qu'un gnome lui tendait et la vida d'un trait.

Il se sentait mal, très mal, il ne savait pas où il était. Il tombait, se relevait avec des gens autour de lui qui le regardaient parce qu'il était resté inconscient, mais il ne le savait pas. Il mangea avec les doigts parce qu’il ne se voyait pas et quand il remonta sur ce nuage rouge qui lui faisait de l'oeil, il comprit qu'on avait tenté de l'empoisonné et s’endormit dans la vapeur pourpre. Quand le marchand de sable arriva, il secoua le corps d'igor mais ne parvint pas à la reveiller. La Chose*, elle se reveilla et compris ce que le gnome avait voulu faire et se mit en colère car elle, elle ne voulait pas. Elle s’empara du corps, se leva et se rua aux toilettes où elle contracta l’estomac pour le vider de tout ce qu’il contenait puis s'allongea sur le nuage et laissa le corps se battre avec lui-même, vomissant sur le sol le jus de son estomac qui ne contenait plus rien. Elle ferma les yeux et elle était ailleur.

Fiat lux.

La lumière s’alluma et transperça les paupières d'Igor qui s’ouvrirent. Il regarda autour de lui et ne vit rien car rien ne l’entourait et pourtant il n’était pas seul. il ne pouvait pas bouger car le mouvement est relatif à ce qui entoure un corps et rien n’entourait le corps d'Igor. Il ne pouvait pas parler mais il pouvait penser et il n’était pas le seul à penser. il sentit un vide immense dans son corps, comme si tout ce qu’il contenait était à l’extérieur.

Tu ne dois pas avoir peur car ton dedans est dehors et tu t’appelles Lumière.

Et tout à coup Igor se sentit fort et il aurait pu affronter n’importe qui, n’importe quoi sans trembler car le mouvement est relatif à ce qui entoure un corps et rien n’entourait le corps d'Igor. Il sentit l’extérieur emplir son intérieur et il pu bouger mais il n’y avait rien en lui. Rien. Rien à détruire, rien à salir, rien. Et il était fort. il sentit pour la première fois qu’il n’était pas né de la même façon que ceux parmis lesquels il vivait. il venait d’ailleur et ce que l’on appelle humanité n’existait pas en cet ailleur. Igor ne connaissait pas les vices et les vertues de ceux qu’il prit longtemps pour ses semblables. Igor serait toujours triste mais cette tristesse ne serait jamais la même que celle qui peut ronger ceux que l’on appelle les Hommes.

Ton néant n’est pas vide et ton vide n’est pas néant. Souviens toi que tu as existé déjà, bien des siècles avant notre ère et que tu subsisteras bien après la fin de toutes les fins des Hommes. Souviens t’en et tu n’aura plus jamais peur car blanc ne veut pas dire néant et ton nom est Lumière.

 

 

*il s'agit bien entendu de la seconde personnalité d'Igor...

Modifié le 12 décembre 2007 par neyra

[Phantom-X]

Alors Igor se réveilla, une gueule de bois comme c'est pas possible lui tambourinant les tempes au rythme des battements irréguliers de son cÅ“ur fatigué.

 

D'un geste machinal il éteignit le poste de télévision où un discours de Raël passait en rediffusion, songea un instant à résilier son abonnement à TV Propagande - depuis longtemps appelée TF1 en novlangue - quand il tomba dans un cratère qu'une météorite avait eu la délicatesse de creuser en sa maison, et de fait put-il ainsi connaître les joies qui sont celles des chutes matinales de lendemain de cuite, joies qui se trouvent être relatées dans l'ouvrage De la douleur et du châtiment à travers les âges, écrit par José Bovis Che Zapateros quelques trois mois avant sa naissance (dix-sept euros quatre-vingt huit centimes la page chez votre buraliste).

 

Ainsi donc se retrouvait-il le nez dans la farine (dont un paquet avait été éventré par le doux passage de la météorite sur un placard de la cuisine d'Igor, quand soudain...

Modifié le 12 décembre 2007 par Phantom-X

[Dylav]

Assise au coin de l’âtre de la cheminée monumentale de la cuisine de l'imposante demeure familiale, Neyra couvait d’un œil attendri son Casper. Il lui avait délicatement ravi la parole pour poursuivre la narration de cet invraisemblable et pourtant probable conte de fées moderne à leurs petits-enfants groupés à leurs pieds, buvant littéralement les paroles de l’ancêtre.

Ah, soupira-t-elle, pourquoi donc ont-ils inventé la télévision, alors que ces veillées campagnardes rassemblaient si naturellement les générations en une symbiose tellement harmonieuse qu’elles auraient dû continuer à appartenir pour les siècles des siècles au patrimoine des traditions universelles.

 

« Ainsi donc, poursuivait Casper pour le plus grand bonheur des petits et des grands, Igor se retrouva le nez dans la farine quand soudain... »

[castotwo]

Ainsi donc, poursuivait Casper pour le plus grand bonheur des petits et des grands, Igor se retrouva le nez dans la farine quand soudain...

 

... Chuck Norris entra, car il avait entendu en fond sonore la Star AK47. Pris de folie, il se mit à battre le gentil fantôme. Heureusement, la douce Neyra défendit son cher et tendre ectoplasme, ainsi que les petits qui mordaient, bavaient et hurlaient plus fort qu'une Bianca Castafiore dans ses grands moments. Ces cris firent éclater la télé.

 

Soudain, un calme d'outre-tombe monta autour de nos personnages...

[Nemes]

... Chuck Norris entra, car il avait entendu en fond sonore la Star AK47. Pris de folie, il se mit à battre le gentil fantôme. Heureusement, la douce Neyra défendit son cher et tendre ectoplasme, ainsi que les petits qui mordaient, bavaient et hurlaient plus fort qu'une Bianca Castafiore dans ses grands moments. Ces cris firent éclater la télé.

 

Soudain, un calme d'outre-tombe monta autour de nos personnages... Un air moite et irrespirable envahissait la pièce, les bannanes à Rama moisirent et la quiétude laissa place à la terreur.

Modifié le 19 février 2008 par Nemes

[Rion]

Si on pouvait me répondre, ce serait sympa : y a-t-il vraiment une histoire à respecter ? Parce que depuis le temps que vous écrivez je n'ai pas eu le courage de tout lire, et je voulais savoir s'il y avait vraiment un fil conducteur ?

[cauxboy]

Soudain, un calme d'outre-tombe monta autour de nos personnages... Un air moite et irrespirable envahissait la pièce, les bannanes à Rama moisirent et la quiétude laissa place à la terreur.

 

Et c'est la qu'apparu le celebre monstre orange casimir qui se mis a fracasser la pauvre tete ectoplasmique afin de se rendre contre que sur l'ile aux enfants la moindre exaspération conduisait inexonablement vers l'engloutissment de toute intelligence.

 

Cependant sorti de ......

Modifié le 13 mars 2008 par cauxboy

[Nemes]

Cependant sorti de l'on ne sait où, une petite framboise se mit à danser, mais danser! Tous les monstres, toutes les affreuses images, tous les méchants devinrent beaux. Je ne parle pas d'une beauté physique là, mais bien de la beauté du coeur. Il étaient tous absorbés par ce petit point rose qui virevoltait entre eux.

Elle glissait, jouait, sautait! Elle allait partout sans se fatiguer, une musique enfantine la suivait... Chacun des personnages de la scène si mit à reprendre les paroles de celle-ci et c'est ainsi que le ciel est redevenu bleu.

 

- Comment te nommes-tu? Intervient le plus vile des méchants qui se trouvait la en direction du petit fruit rose,

La framboise s'arrêta devant lui pour lui répondre:

 

- Mon nom est Anna m'sieur, A - N - A, Anna monsieur.

- Et que fait tu ici petite Anna?

- Je danse m'sieur, je joue aussi, viens jouer avec moi m'sieur!

- Euh.. Je suis un méchant, je ne peux pas faire cela fillette, mais dis moi, ou sont tes parents?

- Mes parents sont pas la m'sieur, ils sont au ciel m'sieur, vient danser avec moi m'sieur!

 

Le vil méchant surpris reprit ainsi:

- Mais que leurs est-il arrivé petite?

- Un m'sieur pareil que vous en tout point a dit que mon p'pa avait fait quelque chose de mal, alors il a puni mon p'pa et ma maman a voulu le défendre!

-Et... Alors?

- Bah, pris de panique le méchant m'sieur a tiré avec un gros pistolet sur mon p'pa et ma maman -snif-

- Et toi?

- Bah moi, toute petite que je suis, je me suis caché derrière une feuille de pissenlit et puis quand le méchant est parti, j'ai fuis!

- Il ne te manquent pas tes parents?

- Non m'sieur, ils sont dans mon coeur et vont partout avec moi, ils jouent et dansent avec moi! Viens danser avec nous m'sieur!

 

Le vile personnage qui d'habitude rigole de pareil situation ne put s'empecher de laisser couler une petite larme...

Modifié le 6 mai 2008 par Nemes

[Dylav]

Le vil personnage, qui d'habitude rigole de pareille situation, ne put s'empêcher de laisser couler une petite larme...

 

Il comprit aussitôt que, pour lui, plus rien ne serait plus jamais comme avant ! Et il n'en supporta pas l'idée… Quelques minutes plus tard, ayant cherché en vain une alternative (ou même simplement une porte de sortie honorable pour un mécréant tel que lui), il décida que la vie ne valait plus d'être vécue, et se supprima brutalement avec une violence que seul un affreux méchant comme lui pouvait mettre en œuvre, et que je me garderai bien de décrire ici, vous ne le supporteriez pas !

 

Ce fut un électrochoc pour ses congénères qui, procédant inexorablement à des introspections similaires, mirent l'un après l'autre fin à leur terrible existence par des moyens plus barbares les uns que les autres…

 

C'est alors que notre petite framboise, qui en réalité s'appelait Zézette et avait sur cette planète officiellement demandé à se faire immatriculer NL*, constata qu'elle était bien seule. Eh oui, chacun possédait au moins une once de méchanceté que la pureté de notre charmante danseuse avait mise en lumière et, n'ayant pu le supporter, avait mis fin à ses jours sans regrets.

 

Conservant malgré tout une lueur d'espoir, NL sillonna la planète par monts et par vaux, à la recherche de l'âme sœur avec laquelle elle pourrait reconstruire un monde meilleur.

 

Malheureusement…

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* Allez savoir pourquoi ? Ceci dit, Nordiques pour Nordiques, je n'ai rien contre les Bataves