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[JALC] Un 2ème jeu débile


DAVY

Messages recommandés

... que dame Dekha sombra de désespoir devant un tel marasme orthographique.
Naan, ne rêve pas ! À force de traîner sur le zweb, elle a (presque) fini par se résigner et choisit désormais d'abîmer tout autrement ses obscures désillusions...

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d'où l'inutilité flagrante d'avoir la folle témérité d'entamer l'essai d'une explication
Pfff... Dommage : on rate le récit des sublimes évènements de ce beau samedi soir d'octembre, où le Spectre, déjà aviné, tout guilleret et trop pressé qu'il était de rentrer chez lui pour se plonger devant TF2 avec ses knackies goût pomme, faillit, de son caddie débordant aux méchantes roues grippées, renverser la Zette ! Sans reconnaître celle qui, pour survivre depuis la lamentable désertion de ses deux plus fervents admirateurs, en était réduite à n'user de ses charmes (jadis si convoités mais très perceptiblement alourdis par un régime adapté à ses nouvelles fonctions) que pour séduire quelques ménagères, flanquées de marmailles et d'époux divers s'attardant, dans la galerie marchande du Mammouth, devant les alimentaires animations Nutella où Zette officiait... Hélas, même la caméra de surveillance n'a pas filmé l'improbable collision, et seul Casper pourrait dire comment il réussit finalement à reconnaître et extraire la Zette du Mammouth, ainsi que de son uniforme fuchsia, à la ramener probablement d'abord dans ses suaires (mais ça, tout le monde s'en fout), et à la réinjecter enfin dans l'histoire... (Quant au dealer amoureux de Cunégonde, il semble qu'après avoir tenté d'absorber les knackies premier prix mélangés au Nutella par le choc spectro-pachydermique, il ait dû se faire admettre dans une clinique spécialisée, mais aucun avis de décès n'est encore parvenu à la rédaction.)

 

Aussitôt El Tiger (catcheur mexicain de son état) entreprit d'exhiber sa joie à qui voulait bien la voir, à savoir approximativement personne qui ne se trouvait pas être le cadet d'une entreprise familiale de plomberie italienne (non, ça ne court pas les rues, ça court les royaumes champignons)

ET DONC...

Et donc ??

Ohh ! Dylav ! C'est écrit : Aussitôt !

Modifié par DKlâgOR
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  • 2 semaines après...
  • 2 mois après...
  • 8 ans après...

Post 666 :

irrésistible...

 

... ressusciter la Zette.

Aussitôt El Tiger (catcheur mexicain de son état) entreprit d'exhiber sa joie à qui voulait bien la voir, à savoir approximativement personne qui ne se trouvait pas être le cadet d'une entreprise familiale de plomberie italienne (non, ça ne court pas les rues, ça court les royaumes champignons) :
ET DONC...

Monde de merde...

 


Et donc "Monde de merde", dans le tourbillon d'la vie, et par un beau matin d'hiver, la Zézette et Tigrou se pacsèrent !

Ouais, se sont seulement pacsés ! J'avoue que personnellement j'ai été dégoûtée de l'apprendre.

Mais lui était trop radin pour claquer son bien maigre salaire laborieusement épargné en tant qu'attaché parlementaire européen (il avait dû se reconvertir fissa, car le catch sud-américain traversait un marasme catastrophique depuis l'avènement des républiques modérées, et puis souvenez-vous, il avait déjà tâté de l'emploi fictif royalement rétribué). Sordidement pingre donc, il avait longuement cauchemardé à l'idée de cercler le doigt de sa muse d'un anneau qui lui serait resté sur l'estomac !

Quant à la dite muse privée de son anneau gastrique, elle fut d'abord désappointée. Certes, telle Pénélope, elle était passionnément éprise de son homérique hybride tigré (et encore par-surcroît-et-même-davantage depuis que celui-ci avait, dans un ultime combat, fastueux et tragique - mais très officiellement affilié à la 3WImageIPBmachinchoseChampionship -, férocement dépecé le suprême soupirant, à savoir l’Illustre Spectre cramoisi par la docte Censure des suppôts du Protocole à Rome (*).

(*) L’immuable rival, mais néanmoins artiste indélébile, en est actuellement certainement réduit à dérouiller sa Red Cross et rédiger la numérotation de ses abattis au Tartare-du-Dessous-de-la-Rhétorique-Thébaïde, mais c'est une autre épopée... que cet aède Confit d'ectoplasme n'a, hélas, pas encore eu l'obligeance de poster à la postérité.

Où en étais-je, avant ces phrases bien trop longues et ce regret à peine formulé ? Ah oui : Certes profondément amoureuse, notre divine Zette tenait également à l’intégrité de son vagin (très conformiste, celui-là, qui estimait unanimement qu'une cérémonie même minime demeurait le seul chemin qui y mène). La frivole eût préféré une retentissante demande en mariage devant tout un parterre de badauds médusés, et une cérémonie avec des amoncellements de tulle, et une magistrale chanson de Jauni Halidé, et une pièce montée, et et et ... mais, fi du subjonctif et de l'extravagance des rêves de princesse exaltée ! Non, la tyrannique avarice de son inaltérable soupirant ne saura la réduire à s'emmurer dans le célibat éternel. Congédiant ses remords et son analyste, la bienheureuse a donc plié, et cédé. Et le sommier à lattes aussi.



Ainsi, sans liturgie aucune, les voici amarrés l'un à l'autre, dans la banale exiguïté de leur appartement du 8ème, parés à de bien longues années de petits bonheurs entremêlés de vagues joies, jusqu'à ce que...


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DK, piteuse : Esprit de l'icqsse, es-tu là ?

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— « J'avoue que je ne réussis pas à me remettre dans le bain de foule, mais dans ton bain moussant, ma Zette, j'y plongerai tous les jours avec amour délice et hymnes latines... »

 

(L'aqueuse jouvencelle avait tout bien lu son Coran illustré, et retenu que l’Islam interdit les bains mixtes, même aux époux ; il y a donc le bain femme et le bain mari ; aussi aurait-elle refusé à l'ex-cubain le barbotage dans un therme commun, si toutefois celui-ci avait daigné l'épouser équitablement... mais puisqu'il avait refusé de la bécoter officiellement devant le maire en lui offrant sa bague-attelle, elle se tamponnait des inhibitions coraniques inadéquates.)

 

Alors, à ces moites suggestions, c'est sans aucun scrupule que la naïade l'engageait à se rincer l'œil-de-tigre dans leur singulière baignoire en marbre blanc d'Espagne (et ouép, un therme de Carrare eût été trop dispendieux selon le pingre feutré), ce qui d'ailleurs obligeait quotidiennement notre félin colosse à de grotesques contorsions (bien fait !).
Ainsi éclaboussé, l'acrobatigre concubin n'eut promptement plus un poil de cinq à sec.
— « Effectivement c’est du propre ! Te v'là mouillé jusqu'au cou ! »

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  • Modérateurs

Là, attention, il ne faut pas me confondre avec Nicolas*, François, Marine et autre François qui – alors que l'on ne s'y attendait pas – se sont bêtement retrouvés sous les projecteurs à de biens mauvais moments. Des quatre, seule une n'en a que faire, qui d'ailleurs continue à briller telle l'Étoile du Nord ! Mais foin de politique...
* même si Zézette a eu l'occasion de croiser Carla

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Faut vraiment coller ton caca boudin dans cette grandiose histoire, stp ?

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— « Là, attention, il ne faut pas me confondre avec Nicolas, François, Marine et autre François qui ...

En réalité, El Tiger n'eut le loisir ni de finir ses phrases ni de se répandre en pensées ombrageuses, et dû précipitamment ravaler son foin (et sa liste d'esquintés ex-quinquénables), ceci sans même songer à refermer les guillemets.

— « Ta gu... ! (eh oui, la douce Zette sait les rouvrir et se montrer convaincante quand il le faut). Y'en a marre de tes soupçons ! Tu es trop jaloux, mon teigneux Tigrou. Bon ok, oublie pour Nicolas... Mais je proteste, Marine n'en valait pas la peine, quant à Jean-Vincent François Paul et les autres j'ai juste *** avec eux : ça ne compte pas. » (et elle n'oublia pas de refermer méticuleusement ces saletés de guillemets, et même de les lester de tout le poids de l'écrasante suspicion proférée ci-dessus.)
Puis elle se ravisa et afin de mieux éclairer son 'Grou quant à la décence et l'innocence de ses public relations avec des personnes existantes ou ayant fortuitement existé, elle remplaça ses trois étoiles par des ampoules halogènes ; mais comme son félin restait encore aveugle à ses arguments, elle alla carrément chercher les projecteurs intempestifs du post précédent. Et la lumière fut. Et Zette vit que la lumière était bonne. Et Zette sépara les ténèbres d'avec la lumière dans la défiance du Tigrou plus amène.

Toutefois, encore un tantinet énervée par les accusations écœurantes de son rageur Tiger – puisque Dame Zette s'était, pour sa part, astreinte à une fidélité et une loyauté incontestables en ces années de traversée de l'aride Désert del J'vrad où elle n'avait pas croisé le moindre chameau – elle préféra expédier au diable la suite du cérémonial toilettage de son Tigrou pie.
Non sans avoir une dernière fois rincé son honneur, avec un peu d'assouplissant, dans le fond de la baignoire ibérique (détail crucial qui se doit d'être rappelé à toutes fins futiles) elle essora soigneusement son auréole, et sortit de l'eau en grelottant (n'oublions pas ces guillemets mal verrouillés qui laissaient furtivement passer un avis de tempête et quelques miasmes fétides ; et surtout l'avarice tâtillonne d'El Grigou, qui veillait scrupuleusement à la déflation de toute dépense domestique, lésinant jusque sur le chauffage des ablutions quotidiennes de sa douce).


Rescapée de cette toilette conflictuelle, notre horripilée héroïne défroissa énergiquement sa dignité chiffonnée, y drapa ses derniers frissons, et ainsi vêtue eut tôt fait de recadrer son Tiger en abusant de ses charmes maranesques, ce qu'il toléra sans modération.



La journée commençait bien mal. (to be continued)

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