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[JALC] Un 2ème jeu débile


DAVY

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En effet , il préférait passer ses soirées à tuer les vaches du voisin. Il s'y prenait avec une telle dextérité qu'il en fut presque un héros.

Tout d'abord il se préparait minutieusement dans sa salle de bain , enfilait des gants de latex , lavait ses ustensiles pour le massacre et enfilait sa charlotte ( ou des bas selon la clarté du ciel pour qu'on ne le reconnaisse ).

Les nuits venues, il sortait de chez lui sans un bruit ....... les nuits étaient calmes , cela l'excitait encore plus .... il marchait tranquillement le long des bois pour arriver finalement devant la clôture déchiquettée de son voisin Paul Louis , son ennemi de toujours.

Quelques vâches ruminaient tranquillement , insouciantes ....

Il pénétrait doucement dans le champ , s'approchait lentemant de ces douces victimes , leur tapotait le flan et les égorgeait de son couteau le plus éguisé préalablement sorti de son étui.

Mais il était encore plus sadique... Une fois égorgées mais pas totalement mortes , il aimait introduire délicatement son couteau dans l'oeil des victimes , puis retirer d'un coup sec et ré-introduire de plus bel.....des vas et vients incessants ....douloureux pour ces vaches qui meuglaient à la mort ...........elles mouraient ainsi ........sans que personne ne puisse les entendre puisqu'il n'y avait pas un habitant au 30 kms et que Paul Louis n'était jamais présent au moment des massacres ...................

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  • 2 semaines après...

- « Quelle boucherie ! », se récria l'anthropologue, devinant dans son bilboquet en cristal les pensées du cruel neurologue . « Certes, ces Meuhs sont de redoutables plieuses, et de piètres chorégraphes, mais faut-il pour autant les livrer à de tels supplices ? »

Soudainement, l'Arsène et la Cunégonde, réveillés en sursaut dans leur intimité (où ils se laissaient aller à se donner de doux petits noms comme « mon Cobraaaaa », « mon p'titTitiRominet »...), déclarèrent qu'eux savaient bien où envoyer paître les embarrassantes génisses :

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  • 4 mois après...
- « Quelle boucherie ! », se récria l'anthropologue, devinant dans son bilboquet en cristal les pensées du cruel neurologue . « Certes, ces Meuhs sont de redoutables plieuses, et de piètres chorégraphes, mais faut-il pour autant les livrer à de tels supplices ? »

Soudainement, l'Arsène et la Cunégonde, réveillés en sursaut dans leur intimité (où ils se laissaient aller à se donner de doux petits noms comme « mon Cobraaaaa », « mon p'titTitiRominet »...), déclarèrent qu'eux savaient bien où envoyer paître les embarrassantes génisses :

"Vingt dieux, on n'a qu'à les y foutre dans eul..."

 

Mais hélas ! l'impétueux Arsène qui avait impétueusement pris ainsi la parole fut impétueusement foudroyé par un impétueux foudroiement d'ordre impétueusement dramatique, si tant est que le récit va ainsi se poursuivre, pétueusement :

 

L'Arsène ainsi périt en les sabots de sa Cunégonde, qui criait tant et si bien que l'on l'entendit jusque dans Christiana, où un dealer en proie à des problèmes émotionnels d'ordre psychologique traquait un pachyderme fuschia qui semblait détenir la réponse à ses questions existentielles.

 

Il venait de se frayer un chemin parmi les divers passants habituels de la rue des Dealers - iceux, junkies, touristes et autres chimères invraisemblées dont la teinte s'étale généralement du pourpre à l'indigo, en passant par le rose bonbon et le mauve - quand soudain, le suspense fut à son comble, et...

Modifié par Phantom-X
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Chais pas... Pour ma part, il paraît qu'il faut que je bosse un peu. :(

:P Si tu commençais par ressusciter Zézette ? On verrait peut-être le Tigrou rappliquer ?

Modifié par DKlâgOR
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Une surprise d'une telle raretée que vous n'y croyez meme pas! La horde des copines de Zézette revain en force, plus determiné que jamais! Elles couraient voir Cunégonde pour lui annoncer qu'elle n'avait pas perdu stupidement l'homme de sa vie! Qu'il était en chemin sur le dos d'un pachyderme fuschia accompagné d'un tourriste au visage pâle qu'il avait ramassé au coin de la route (on ne sait pas encore pourquoi). L'homme de sa vie, ce dealer en proie à des problèmes émotionnels d'ordre psychologique, était tombé amoureux de la voix de Cunégonde qui, souvenez vous, avait criait tant et si bien..

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Une surprise d'une telle raretée que vous n'y croyez meme pas! La horde des copines de Zézette revain en force, plus determiné que jamais! Elles couraient voir Cunégonde pour lui annoncer qu'elle n'avait pas perdu stupidement l'homme de sa vie! Qu'il était en chemin sur le dos d'un pachyderme fuschia accompagné d'un tourriste au visage pâle qu'il avait ramassé au coin de la route (on ne sait pas encore pourquoi). L'homme de sa vie, ce dealer en proie à des problèmes émotionnels d'ordre psychologique, était tombé amoureux de la voix de Cunégonde qui, souvenez vous, avait criait tant et si bien..
... que dame Dekha sombra de désespoir devant un tel marasme orthographique.

 

Et naturellement de la nai
s
s
ance de ce d
é
s
e
s
poir d
é
coula ce qu'a coutume de d
é
couler de la nai
s
s
ance de tout d
é
s
e
s
poir,
à
s
avoir un paquet de truc
s
et de machin
s
dont on n'a pa
s
id
é
e (d'o
ù
l'inutilit
é
flagrante d'avoir la folle t
é
m
é
rit
é
d'entamer l'e
s
s
ai d'une explication), ce qui eut naturellement pour effet (car oui, m
ê
me
s
i la rai
s
on nou
s
é
chappe, elle n'en demeure pa
s
moin
s
naturelle,
s
elon un riche philo
s
ophe du
s
amedi
s
oir - riche en alcool, notamment) de re
s
s
u
s
citer la Zette.

 

Au
s
s
it
ô
t El Tiger (catcheur mexicain de
s
on
é
tat) entreprit d'exhiber
s
a joie
à
qui voulait bien la voir,
à
s
avoir approximativement per
s
onne qui ne
s
e trouvait pa
s
ê
tre le cadet d'une entrepri
s
e familiale de plomberie italienne (non,
ç
a ne court pa
s
le
s
rue
s
,
ç
a court le
s
royaume
s
champignon
s
) :

img-013611ibkkc.gif

(Oui, c'e
s
t laid...)

ET DONC...

<dylav> Voir

ici la digression orthographique :P </dylav>

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