Dictée

[Dylav]

Bonjour Poutoupoute, bonjour DK,

 

Bravo pour les rectifications. Je n'aurai que deux tirets à ajouter, dans au—delà et là—haut.

[Rion]

Bonjour les amis ! A vous de jouer !!

 

 

L'existentialisme athé [...] déclare que si Dieu n'existe pas, il y a au moin un etre chez qui l'existence prècéde l'essance, un être qui existe avant de pouvoir être définit par ocun concept et que cet être c'est l'home ou, comme dit Heidegger, la réalité-humaine. Qu'est ce que signifie ici que l'existence précède l'essance? Celà signifie que l'homme existe dabord, se rencontre, surgis dans le monde, et qu'il se définis après. L'homme, tel que le conçoit l'existentialiste, s'il n'est pas définissable, c'est qu'il n'est d'abord rien. Il ne sera qu'ensuite, et il sera tel qu'il se sera fait. Ainsi, il n'y a pas de nature humaine, puisqu'il n'y a pas de Dieu pour la concevoir. L'homme est non seulemant tel qu'il se conçois, mais tel qu'il se veut, et comme il se conçoit après l'existence, comme il se veut après cet élent vers l'existence, l'homme n'est rien d'autre que ce qu'il se fais. Tel est le premier principe de l'existentialisme. C'est aussi ce qu'on appelle la subjectivitet, et que l'on nous reproche sous se nom même. Mais que voulons-nous dire par là, sinon que l'homme a une plus grande dignité que la pierre ou que la table ? Car nous voulons dire que l'homme existe d'abord, c'est-à-dire que l'homme est d'abord ce qui se jète vers un avenir, et ce qui est concient de se projeté dans l'avenir. L'homme est d'abord un projé qui se vit subjectivement, au lieu d'être une mousse, une pouriture ou un chous-fleurs ; rien n'existe préalablement à ce projet ; rien n'est au ciel inteligible, et l'homme sera d'abord ce qu'il aura projeté d'être.

 

 

Texte que j'affectionne tout particulièrement !!

[DKlâgOR]

tsss... Pas touche aux classiques !

 

 

« L’existentialisme athée, que je représente, est plus cohérent. Il déclare que si Dieu n’existe pas, il y a au moins un être chez qui l’existence précède l’essence, un être qui existe avant de pouvoir être défini par aucun concept et que cet être c’est l’homme ou, comme dit Heidegger, la réalité humaine. Qu’est-ce que signifie ici que l’existence précède l’essence ? Cela signifie que l’homme existe d’abord, se rencontre, surgit dans le monde, et qu’il se définit après. L’homme, tel que le conçoit l’existentialiste, s’il n’est pas définissable, c’est qu’il n’est d’abord rien. Il ne sera qu’ensuite, et il sera tel qu’il se sera fait. Ainsi, il n’y a pas de nature humaine, puisqu’il n’y a pas de Dieu pour la concevoir. L’homme est seulement, non seulement tel qu’il se veut, et comme il se conçoit après l’existence, comme il se veut après cet élan vers l’existence ; l’homme n’est rien d’autre que ce qu’il se fait. Tel est le premier principe de l’existentialisme. C’est aussi ce qu’on appelle la subjectivité, et que l’on nous reproche sous ce nom même. Mais que voulons-nous dire par là, sinon que l’homme a une plus grande dignité que la pierre ou que la table ? Car nous voulons dire que l’homme existe d’abord, c’est-à-dire que l’homme est d’abord ce qui se jette vers un avenir, et ce qui est conscient de se projeter dans l’avenir. L’homme est d’abord un projet qui se vit subjectivement, au lieu d’être une mousse, une pourriture ou un chou-fleur ; rien n’existe préalablement à ce projet ; rien n’est au ciel intelligible, et l’homme sera d’abord ce qu’il aura projeté d’être. »

Sartre, L’existentialisme est un humanisme, Paris, Nagel, 1966, p. 21-22-23.

[Rion]

Mais euhhhhh !!

[DKlâgOR]

Philosophie, suite :

Bonjour !

 

J'

é

taix en trin de f

è

re un travail un peu particuliez quant ... J'ai repenc

é

à

ce Po

s

t !

Le niveau e

s

t tr

è

s

é

lev

é

je trouve !?

 

A+

 

P.

S

.: la prochaine foi

s

je ne ferai

s

pa

s

le

s

5 faute

s

volontaire

s

...

Et les six autres ?

[Dylav]

Faiblirais-tu, DK ?

 

Andro a un peu forcé la dose avec des “mots” qui n'existent pas et sont donc forcément détectés par n'importe quel correcteur orthographique digne de ce nom ! Il faut croire que cette profusion de bizarreries t'a fait tourner la tête… Pour ma part, je dénombre 7 fautes dans cette “citation”

 

Je relève en outre dans le post-scriptum une touche de mauvaise foi qui ne trompera personne

[DKlâgOR]

Pour rester dans la mauvaise foi :

Bonjour !

 

J'

é

tai

x

en tr

i

n de f

è

re un travail un peu particulie

z

quan

t

...

J'ai repen

c

é

à

ce

P

o

s

t !

Le niveau e

s

t tr

è

s

é

lev

é

je trouve !?

 

A+

 

P.

S

.:

l

a prochaine foi

s

je ne ferai

s

pa

s

le

s

5 faute

s

volontaire

s

...

 

Ponctuation et majuscules farfelues...

[Dylav]

• OK pour une 8ème faute avec la majuscule de “Post”.
  
• OK pour une 9ème (deux fois) avec les “…” qui doivent être collés au mot qu'ils suivent.
  
• Et une 10ème pour le post-scriptum, mais je ne vois pas la même que toi. Il manque un espace devant les “:”. Mais je ne suis pas d'accord pour une majuscule derrière ces “:” : derrière deux points, ce n'est pas une nouvelle phrase, mais plutôt une nouvelle “proposition” (je ne suis pas sûr que le mot soit adéquat, le vocabulaire d'analyse grammaticale semblant avoir beaucoup évolué depuis mon enfance).
  
• In extremis, une 11ème, avec le “J” majuscule derrière les “…” de silence “suspense” (dramatique, tout ça ),
  
• une 12ème pour la virgule avant “je trouve”,
  
• … et une 13ème pour la virgule après “la prochaine fois”.
  
• Nota : je ne compte pas vraiment pour une faute le “5” qui aurait dû être écrit en toutes lettres, parce que j'en ai moi-même usé ci-dessus pour égrener les fautes.
  

Pour conclure, il aurait fallu écrire (encore que le style soit un peu pauvre et très “parlé”),

Bonjour !

J'étais en train de faire un travail un peu particulier quand… j'ai repensé à ce post !

Le niveau est très élevé, je trouve !?

A+

P.S. : la prochaine fois, je ne ferai pas les cinq fautes volontaires…

[DKlâgOR]

Pour conclure, il aurait fallu écrire (...)

Erreur, Dylav ! Pour conclure, il vaut mieux NE PLUS RIEN écrire du tout...

[Dylav]

Qui ne fait rien ne commet aucune erreur, c'est certain !

 

 

 

 

 

 

 

Quoique…