Dictée

[jimprotaz]

heu je crois qu'on s'attend les uns les autres sur ce coup là

[DKlâgOR]

Prêts ?

On doit pouvoir trouver une bonne centaine fautes dans le texte ci-dessous !

(Toutes ne sont pas des fautes de dictée, ni d'orthographe au sens strict : certaines sont des fautes de style, des pléonasmes ou même des mots familiers à éviter et ne sont pas comptés dans la centaine.)

 

Au niveau lexical , ce texte ne semble pas un texte spécial, mais la correction fait ressortir les erreurs . En visionnant ces phrases, vous verrez que les fautes sont omniprésentes, qu' il y a des tas d'erreurs! Nombre de faute sont patente mais trouvez en aux moins une centaine ...

 

Le progrès génère des effets pervers tel qu'il faut stopper certaines nouvelles innovations afin de solutionner ses questions. Énormément de gens le pensent et admette qu'il soit peut être tard pour en prendre consciences. Dans la conjecture actuelle et dans notre société contemporaine, en temps qu'être humain, j'y pense quelque fois en détails. Évidement, cela me stresse, je suis emprunt de nostalgie

 

A ce point de vues, il y a des différances d'opinion. Mais des solutions de facilités, de toutes façons et de tous temps, il y en n'a peu. Celle la plus ordinaire, s'est de pas penser, même si elle est dénuée de la poésie.

 

Certains se sont faits les champions de cet cause. Ce sont eux qui oublie mais, en faits, c'est une toute autre histoire. S'ils se contentent seulement de l'oubli, alors il faut mieux prévoir à l'avance un échec. Vis à vis de, cette question, nous l’a considérons de essentiel. En définitif, il n'en n'ai pas ainsi et, sans doutes, l'oubli n'arrivera pas aussi.

 

D'autres boivent pour oublié et ils vont de paire avec les précédants; il est compréhensif qu'ils se préfèrent volontiers. Des gens survivants a cet abrutissement, y-en a t'il ? Chaque un est réduit au néant, s'il on peut dire. Ayant abuser du brouilly, fatalement il confont audimat et audimètre, grafomanie et graforée... Il ne recherche pas les faits concrets, ne va pas au dela de l'apparance extérieure. Et ce contente de l'oubli et de la rêverie qu'il s'est acheté à moindre fret. Bien qu'il soye présent, il ne répond pas mais il croit à tout se qu'il entend. Les gens qu'il a entendu crier, par contre il les ignore ! Ne parlons pas du beauf balaises en battle-dress, barjo flingueur de gonzesses, qui devient foldingues de la gonflette... Si nous ne lui en empéchons pas, il tentra à le faire, sans tiré de leçon sur son expérience.

 

Ne croyez pas ni les uns ni les autres ! Le facteur réflexion, ça conte ! La plupart admette que notre richesse soit notre esprit. Le voyage aide aussi, mêmes si on vie bien dans sa ville. Pour se promener de villes en villes, on apprécie les moyens de transports, car les paysages sont de beaux oeuvres d'arts. Cela me rappel de joli souvenir. quelles journées ecxeptionnelles j'ai vécu ! S'ils suffisaient qu'on conservent ces souvenirs... Il ne ce passe pas de jours sans que l'état de chose en pire ! Pour se faire, pourquoi pas essayez d’autres alternatives ?

 

[Phantom-X]

Au niveau lexical , ce texte ne semble pas un texte spécial, mais la correction fait ressortir les erreurs . En visionnant ces phrases, vous verrez que les fautes sont omniprésentes, qu'il y a des tas d'erreurs! Nombre de fautes sont patentes mais trouvez-en aux moins une centaine ...

 

Le progrès génère des effets pervers de sorte qu'il faille stopper certaines nouvelles innovations afin de solutionner ses questions. Énormément de gens le pensent et admette qu'il est peut-être tard pour en prendre consciences. Dans la conjoncture actuelle et dans notre société contemporaine, en tant qu'être humain, j'y pense quelque fois en détails. Évidement, cela me stresse, je suis emprunt de nostalgie.

 

De ce point de vues, il y a des différences d'opinions. Mais des solutions de facilités, de toutes façons et de tout temps, il y en n'a peu (voire il n'y en a que peu, si on tient à garder la négation). Celle La plus ordinaire, s'est de pas penser, même si elle est dénuée de la poésie.

 

Je laisse la suite à qui la veut

 

PS : Je n'aurais pas l'outrecuidance d'affirmer avoir ici tout corrigé, notamment la forme entière du discours ne me sied guère, mais puis-je considérer un paragraphe entier comme une faute, pour mieux le réécrire ? Qui peut dire ?

Modifié le 8 octobre 2008 par Phantom-X

[DKlâgOR]

Pas mal, Casper !

 

Proposition de correction des fautes des paragraphes 1 à 3 :

Fautes relevant de la dictée (ponctuation comprise)

Fautes d'expression (il ne s'agit pas d'améliorer le style, mais uniquement d'en éviter les fautes d'expression)

 

Au niveau lexical , ce texte ne semble pas un texte spécial, mais la correction fait ressortir les erreurs . En visionnant ces phrases, vous verrez que les fautes sont omniprésentes, qu' il y a des tas d'erreurs! Nombre de faute sont patente mais trouvez en aux moins une centaine ...

 

Le progrès génère des effets pervers tel qu'il faut stopper certaines nouvelles innovations afin de solutionner ses questions. Énormément de gens le pensent et admette qu'il soit peut être tard pour en prendre consciences. Dans la conjecture actuelle et dans notre société contemporaine, en temps qu'être humain, j'y pense quelque fois en détails. Évidement, cela me stresse, je suis emprunt de nostalgie

 

A ce point de vues, il y a des différances d'opinion. Mais des solutions de facilités, de toutes façons et de tous temps, il y en n'a peu. Celle la plus ordinaire, s'est de pas penser, même si elle est dénuée de la poésie.

 

Correction :

Au plan lexical, ce texte ne semble pas un texte particulier, mais la correction souligne les erreurs. En visualisant ces phrases, vous verrez que les fautes sont très nombreuses, qu'il y a quantité d'erreurs ! Nombre de fautes sont patentes mais trouvez-en au moins une centaine...

 

Le progrès engendre des effets pervers tels qu'il faut arrêter certaines nouvelles innovations afin de résoudre ces questions. Beaucoup de gens le pensent et admettent qu'il soit peut-être tard pour en prendre conscience. Dans la conjoncture actuelle et dans notre société contemporaine, en tant qu'être humain, j'y pense quelquefois en détail. Évidemment, cela m'angoisse, je suis empreint de nostalgie.

 

À ce point de vue, il y a des différences d'opinions. Mais des solutions de facilité, de toute façon et de tout temps, il y en a peu. Celle La plus ordinaire, c'est de ne pas penser, même si elle est dénuée de la poésie.

 

Paragraphe 4 ?

[Dylav]

Certains se sont faits les champions de cette cause. Ce sont eux qui oublient mais, en fait, c'est une tout autre histoire. S'ils se contentent seulement de l'oubli, alors il vaut mieux prévoir à l'avance un échec. [Vis-à-vis de,] Cette question, nous la considérons comme essentielle. En définitive, il n'en est pas ainsi et, sans doute, l'oubli n'arrivera pas non plus.

 

 

Tout seul dans son coin, ce paragraphe n'a aucun sens !

Dans le contexte, ce n'est guère mieux...

Ah, parler pour ne rien dire !

 

[DKlâgOR]

Fallait pas réclamer !

 

- Certains se sont fait les champions de cette cause (Savoir accorder le participe passé, de Maurice Grevisse, ex. 52.7) <-- Incontestable ! Il ne reste donc qu'à trouver - et surtout comprendre - la règle ^^

 

- Se contenter seulement, et prévoir à l'avance : ça sent le pléonasme, non ?

 

- Pour [Vis-à-vis de,], ne peut-on pas aussi envisager une faute de sens : Vis-à-vis d'eux, (de ceux qui sont fait les champions de cette cause) ?

 

------------------

correction : J'avais reproduit la faute à fait...

« La grammaire est l'art de lever les difficultés d'une langue ; mais il ne faut pas que le levier soit plus lourd que le fardeau. » [Rivarol, Discours sur l'universalité de la langue française]

Modifié le 9 octobre 2008 par DKlâgOR

[Dylav]

Argh ! OK pour l'accord, autant pour moi (ou “au temps pour moi”, as you like).

 

OK aussi pour les pléonasmes, qui sont de ceux qu'on rencontre régulièrement dans le langage parlé (et j'avoue que je m'attachais seulement à l'orthographe).

 

Et encore OK pour ton interprétation “Vis-à-vis d'eux,” : comme quoi une écriture approximative - quasi phonétique - peut aller jusqu'à provoquer des non-sens, voire des contresens...

[DKlâgOR]

autant pour moi (ou “au temps pour moi”, as you like).

I like « au temps pour moi ». J'ai même un vrai faible pour cette graphie, justement depuis que j'ai (miraculeusement) pensé à vérifier la surprenante orthographe de cette expression, et ceci juste AVANT de la reprocher imprudemment à certain modérateur qui la vénère...

 

 

 

Il reste deux paragraphes :

D'autres boivent pour oublié et ils vont de paire avec les précédants; il est compréhensif qu'ils se préfèrent volontiers. Des gens survivants a cet abrutissement, y-en a t'il ? Chaque un est réduit au néant, s'il on peut dire. Ayant abuser du brouilly, fatalement il confont audimat et audimètre, grafomanie et graforée... Il ne recherche pas les faits concrets, ne va pas au dela de l'apparance extérieure. Et ce contente de l'oubli et de la rêverie qu'il s'est acheté à moindre fret. Bien qu'il soye présent, il ne répond pas mais il croit à tout se qu'il entend. Les gens qu'il a entendu crier, par contre il les ignore ! Ne parlons pas du beauf balaises en battle-dress, barjo flingueur de gonzesses, qui devient foldingues de la gonflette... Si nous ne lui en empéchons pas, il tentra à le faire, sans tiré de leçon sur son expérience.

 

Ne croyez pas ni les uns ni les autres ! Le facteur réflexion, ça conte ! La plupart admette que notre richesse soit notre esprit. Le voyage aide aussi, mêmes si on vie bien dans sa ville. Pour se promener de villes en villes, on apprécie les moyens de transports, car les paysages sont de beaux oeuvres d'arts. Cela me rappel de joli souvenir. quelles journées ecxeptionnelles j'ai vécu ! S'ils suffisaient qu'on conservent ces souvenirs... Il ne ce passe pas de jours sans que l'état de chose en pire ! Pour se faire, pourquoi pas essayez d’autres alternatives ?

[Phantom-X]

Au temps pour moi, à n'en pas douter, ceux qui s'échinent à l'écrire autrement ne sont jamais que des cuistres, et ils ne méritent pas notre salut.

[Dylav]

D'autres boivent pour oublier et ils vont de pair avec les précédents ; il est compréhensible qu'ils se préfèrent volontiers. Des gens survivant à cet abrutissement, y en a-t-il ? Chacun est réduit au néant, si l'on peut dire. Ayant abusé du brouilly, fatalement il confond audimat et audimètre, graphomanie et graphorrhée... Il ne recherche pas les faits concrets, ne va pas au-delà de l'apparence extérieure. Et se contente de l'oubli et de la rêverie qu'il s'est achetés à moindres frais. Bien qu'il soit présent, il ne répond pas mais il croit à tout ce qu'il entend. Les gens qu'il a entendus crier, par contre il les ignore ! Ne parlons pas du beauf balaise en battle-dress, barjo flingueur de gonzesses, qui devient foldingue de la gonflette... Si nous ne l'en empêchons pas, il tendra à le faire, sans tirer de leçon de son expérience.

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* “qu'ils se préfèrent volontiers” : c'est pour le moins un peu obscur...

* “graphomanie” et “graphorrhée” sont vraiment considérés comme synonymes.

* “barjo” ou “barjot” : selon certains, ce serait le verlan de “jobard”.

* “il tendra à le faire” : j'ai hésité à proposer “il tentera de le faire”...