[JALC] Un 2ème jeu débile

[poussifeu]

....quer revient apres une absence insoutenable le fabuleux poussin.

c'est suite à un execrable traquenard tendu par un vil individu ressemblant de loin à un canard que notre vénérable volatile orange fut enrolé de force dans l'armée mexicaine et fut envoyé dans les plus lointaines contrées

 

Mais c'est après avoir lachement déserté son camp et vécu de folles aventure sur le chemin du retour

(je vous raconterais ca plus tard c'est un vrai roman ^^ ) qu'il retrouvit son pays natal.

 

Quelle ne fut pas sa joie en revoyant tous ces paysages si familiers !! et son coeur bondit dans sa poitrine plumeuse en pensant à tous ses amis qu'il allait revoir ! et à sa belle zezette qui l'attends au pays et pour qui il a affronté tant de périls.

Mais le poussin n'oublie pas la haine envers le sale canard....il va bouffer des oranges le bougre.

 

Toutefois assoifé par temps de route, il décida d'aller boire un coup au café du coin avant de reprendre la route.

 

Quelle ne fut pas sa désagréable surprise , lorsque discutant avec un vieillard imbibé, il apprend avec une stupeur non dissimulée la traitrise de ces deux ancien camarade de cour de récré !

Ainsi il se battait pour le coeur de la belle zezette ! Les sagouins ! Profité de son absence pour essayer de lui passer devant !

grrrrrrrrrrrrrrrr ! cela ne se passera pas ainsi !

 

Rouge de colère le poussin décida de reprendre les armes (un gros fusil pour le tigre mal peigné et des bricoles religieuse pour l'ectplasme volant) et de renvoyer ces deux zigotos pleurer dans les jupons de leurs mères respectives.

 

Arrivant sur place, le couteau dans le bec et le fusil en bandouillère, notre légionnaire de poussin .......

Modifié le 7 juin 2007 par poussifeu

[DKlâgOR]

Rouge de colère le poussin décida de reprendre les armes (un gros fusil pour le tigre mal peigné et des bricoles religieuse pour l'ectplasme volant) et de renvoyer ces deux zigotos pleurer dans les jupons de leurs mères respectives.

 

Arrivant sur place, le couteau dans le bec et le fusil en bandouillère, notre légionnaire de poussin .......

 

 

 

.. dût se rendre à l’évidence : il reconnaissait à peine les lieux ! Et encore moins les nouveaux occupants de son village natal !

« Mon absence a été trop longue », se dit-il, consterné, « et probablement ma douce Zézette, elle l’aussi, m'a oublié ... à moitié enterré peut-être ! » ( Après tout .. Pourquoi pas ?)

 

Il essayait de l’imaginer, telle qu’en ses rêves : son angélique fiancée détricotant à la nuit ce chandail rayé qu’elle aurait déclaré devoir achever avant de céder aux avances du Tigre despotique la pressant sans vergogne d’écarter les autres soupirants...

 

Le poussin ignorait qu’en réalité la candide Zézette avait failli succomber aux charmes du perfide Ectoplasme : il s’en était fallu de peu qu’elle ne mette fin, malgré elle, à tant d'années de fidélité quasi-conjugale à son cher disparu, et de chasteté, bien sûr .. Bien que loyale et sincère, pas facile de résister à tous ces fourbes prétendants qui, quotidiennement, honteusement, la pressaient d’oublier son fiancé en le traitant de vil déserteur, par exemple, et de mettre fin à ce qu’elle appelait déjà son veuvage.

 

Elle était pourtant pour tous devenue le symbole respecté de la fidélité la plus intègre, et tenait à son statut.

 

 

 

Mais hélas, le stratagème du sabotage du chandail venait d'être éventé, surpris un soir de pleine lune par l’Ectoplasme jaloux, dont Zézette repoussait cependant inlassablement les avances par toutes sortes de ruses subtiles et bien féminines.

 

Ce fameux soir de pleine lune, quelques nuits à peine d’ailleurs avant le retour du Poussin, le Spectre félon, retors et rompu aux indélicatesses, avait réussi à s’introduire ..

Modifié le 6 juillet 2007 par DKlâgOR

[Dylav]

... à s’introduire, allez savoir pourquoi, dans le chas d’une aiguille... où il était bêtement resté coincé ! Ce qui expliquait son apparente disparition qui, lorsqu’elle s’en était enfin aperçue, avait soulagé Zézette d’un poids dont elle reconnaissait soudain qu’il avait été sacrément lourd pour ses frêles épaules. Plus besoin de poursuivre son éternel travail de Sisyphe...

 

Son esprit put alors vagabonder à sa guise, se fixant bientôt sur de tendres souvenirs d’instants paradisiaques autrefois vécus auprès de son fidèle Hobbes. Une pointe de nostalgie embruma un moment son regard tandis qu’elle constatait que là, maintenant, ici, tout de suite, elle aurait vraiment apprécié le retrouver à ses côtés...

[Ayoros]

elle aurait vraiment apprécié le retrouver à ses côtés...

comme au bon vieux temps où tous les deux avaient entrepris de conquérir le monde. Leur esprit mégalo n'avait que d'égal la fausse innoncence de DK. Cependant le monde leur tendait les bras, il leur disait "levez et marchez, marchez". Et ce qu'ils firent, enfin grâce à Hobbes qui l'aida tant. Car, en ce temps-là, ses jambes n'étaient pas souvent avec elle. L'une faisait du Kung-FU tandis que l'autre faisait du Bobsleigh. Heureusement que Hobbes en avait deux en stocks car c'était les soldes chez Leroy Merlin. Il en avait trouvées deux en inox, avec revêtement anti-pluie et une garantie de 5 ans, une affaire à ne pas louper. Seulement, il s'était fait arnaquer car il s'agissait de deux jambes droites.

 

Il décida donc de ne plus aller chez Leroy Merlin car les vendeurs étaient vraiment incompétents. Enfin, avec les quatre jambes, ils décidèrent de mettre leur plan en action et de se venger du vendeur de Leroy Merlin. Pour cela rien de plus simple, il fallait que zezette retrouve ses jambes et alors ils pourraient porter plainte contre l'Arnaqueur. C'est ainsi qu'ils firent la rencontre de Thorgal le champion olympique de Bobsleigh de 1764. Ce dernier s'evertuait à battre la jambe gauche de zézette mais il n'y parvenait pas, alors cela le mettait de mauvaise humeur et il passait du temps sur objet bizarre qu'il appelait son personnal computer. Grâce à cette machine, il parlait de son désarroi avec d'autres personnes. zézette regarda hobbes dans les yeux et se comprirent aussitôt : il leur fallait agir grâce à...

Modifié le 21 août 2007 par Ayoros

[Dylav]

grâce à... toutes ces paires de jambes. Zézette, se détournant de Thorgal trop occupé à nourrir sa machine diabolique, abattit rapidement un travail remarquable, avec l’entraînement qu’elle avait ! Leurs jambes en guise d’aiguilles à tricoter, ils confectionnèrent en quelques jours de magnifiques filets de pêche auxquels il ne resta plus qu’à fixer des flotteurs, qui de verre, qui de liège, avant de les charger dans la Pigeot pour s’en aller les vendre sur les ports de Quimper, Lorient et Concarneau.

 

L’opération eut un tel succès qu’ils consacrèrent les deux années suivantes à leur industrie artisanale (sic). Ils auraient vite acquis une fortune colossale s’ils n’avaient soudain été pris simultanément de crampes atroces aux jambes, qui les obligèrent à envisager une reconversion. Ils avaient néanmoins engrangé suffisamment de picaillons pour se permettre de...

[Phantom-X]

Ils avaient néanmoins engrangé suffisamment de picaillons pour se permettre de...

... quitter la Bretagne.

Mais quelle ne fut leur surprise, quand, arrivés aux portes de Nantes, ils virent l'impensable, l'innommable, un objet que ces quelques années passées dans le commerce de filets de pêche en pays celtico-franco-humide ils étaient parvenue - non sans facilité - à oublier, le soleil.

 

Passablement effrayés par cette incongrue présence en un environnement ordinairement peuplé d'eau, il ne remarquèrent pas l'apparition soudaine d'un ostréiculteur basco-tchétchène qui ainsi donc apparut soudainement et se trouvait être nul autre que le 10° Spectre de l'ordre des haltéro-mondialistes (les deux premiers étant naturellement Chuck Norris et Atlas), plus communément connu sous le splendide nom de Son Infinie Magnanimité, Comte de Moldavie Sud-Américaine, Duc de Pétaouschnock et Éternel Roi des Cons, Phantom-X.

 

Pour ne pas faillir à sa réputation, ce dernier expérimenta la solidité du crâne de la Zette à l'aide d'une hache, suite à quoi cette greluche ne trouva rien de mieux à faire qu'à ressusciter, comme à sa fâcheuse habitude trop souvent mise en exergue par tous les réactionnaires et nostalgiques scénaristes dont l'orgueil atteint des sommets quant à la place que ceux-ci ont la plus infâme immodestie de s'octroyer en ce récit.

 

Cependant au-delà de toutes ces considérations lamentablement humaines, œuvrait dans l'ombre le terrible et malsain ennemi de l'Univers tout entier - excepté quelques recoins de la galaxie d'Andromède, mais on ne peut en vouloir à quelques limaces anémiques de ne pas saisir ce genre de concepts particulièrement losangeoïde - qui n'était naturellement autre que...

Modifié le 13 septembre 2007 par Phantom-X

[mourkos]

… la merveilleuse princesse Leïa. Oui, sous ses aspects de jeune fille pas vraiment pucelle, la princesse intergalactique mettait en place une forme de pentagone rose qui était loin de n'être qu'une pâle réplique de l'œuvre stellaire et cependant obscure de feu Darth Vader.

Le polygone rose avait pour but, dans l'esprit de la jeune pucelle qui ne l'était pas, de soumettre non seulement l'humanité mais aussi les limaces anémiques à la toute puissance de l'horreur d'Hello Kitty. Elle espérait que la domination sans partage du félin sans bouche permettrait de lui offrir l'avilissement de toute forme vivante afin de l'instrumentaliser pour en faire une source d'énergie inépuisable pour alimenter son écran lcd full hd black gloss de programmes TF1nesque (ou Lelaysque ou Lelaylesque selon que l'on préfère la terminologie du Nord de la Septimanie orientale ou celle de la quatrième dimension du Nord Koweït de 1991). En effet, derrière l'horreur de la souveraine presque catin, se cachait aussi une ménagère de moins de 50 ans idolâtrant Julien Courbet et Jean Pierre Pernault. Elle poussait même le vice jusqu’à se repasser d'anciennes diffusions du JT de 13h et d'Attention la Marche.

En moins de deux secondes, la belle mais cruelle Leïa transforma le Roi des Cons en vendeur de souvenir de Vladivostok, activité peu rémunératrice sur les ports de la Loire. Craignant pour leur sort, Thorgal et Zézette réfléchissaient à un moyen d'action. Chose peu aisée car, en plus de leurs crampes l'astre lumineux, qu'ils avaient fini par oublier dans leurs années de labeur, les abrutissait quelque peu ce qui n'arrangeait en rien leurs capacités déjà limitées. Que faire ?

Ils n'eurent pas le temps d'avoir un ersatz de début de chouïa d'idée, qu'apparut un Donkey Kong géant, vêtu d'une parure de Barbie et chantant Yelle à tue-tête, qui… (to be continued)

[Dylav]

… qui, lassé d’enlever des damoiselles dont il n’avait ensuite que faire (d’autant plus qu’elles ne lui créaient que des ennuis, en attirant tous les chevaliers sans peur et sans reproche du voisinage, qu’il lui fallait éliminer en les faisant griller par son pote le célèbre dragon Olive), jeta un œil morne sur les deux péronnelles et se rabattit sur le Roi des Cons, pour lequel lui vinrent immédiatement à l’esprit quelques idées de jeux d’intérieur prometteurs… Il s’esquiva promptement avec sous le bras sa proie qui hurlait à l’aide sans grand espoir de s’en tirer intègre !

 

Il en est un qui l’avait échappé belle, c’est Thorgal. Au moment de l’apparition du mythique gorille, il s’était en effet accroupi pour relacer ses rangers, et s’en trouvait caché aux yeux du monstre affreux par le frêle corps de sa compagne. Il perçut l’heur dont l’avait fait bénéficier son lacet défectueux et, décidant de se montrer généreux, proposa à Leïa (déconcertée de se retrouver pour la première fois de sa vie sans chevalier servant), de se joindre à Zézette et lui-même dans la poursuite de leur quête du Graal…

 

Vous imaginez bien que Zézette ne voyait pas d’un œil chaleureux débarquer dans leur couple l’accorte héritière d’un monde en perdition, qui roucoulait déjà, la paupière papillonnante et l’œil humide, dans le sillage du preux chevalier au fier profil dont le regard scrutait de part en part les horizons lointains, à la recherche de l’improbable piste qui les mènerait au succès de l’opération. Mais le soir tombait doucement, et il décida que l’endroit était suffisamment sûr pour y passer la nuit.

 

D’un claquement de doigts, il appela Jolly Jumper qui, agacée de cette familiarité, s’approcha d’un trot nonchalant. Il la débarrassa prestement du paquetage qu’elle portait sur les reins, la dessella et lui tendit son seau de picotin. Puis il déplia rapidement la toile de tente acquise la veille contre quelques écus dans l’incontournable magasin « Aux Cieux, Vampeur » du coin des rues Thénard et du Sommerard, au Quartier Latin (ouvert de 11h. à 19h30 tous les jours sauf dimanches et fêtes, nocturne le jeudi jusqu’à 21h, tél. 555-987-18-49-272-547-21-11+, lignes groupées, taxé 0,11 cts/mn, demander Marie-Sophie pour la remise de 8,5% et la gratuité du parking en cas d'achat).

 

Ces tentes modernes étant d’un montage aisé, il eut tôt fait de…

[Phantom-X]

... ne pas réussir à la monter (pas fou, au trop facile nul n'est tenu, disent les héros et autres feignasses maladroites).

 

Exaspéré par tant de labeur infructueux, piqué au vif par les sarcasmes mesquins de la Zette - qui ne trouvait rien de mieux à faire qu'à flagorner paresseusement sur le cadavre en décomposition du R'né qui gisait là, abandonné depuis de trop nombreuses pages - il décida vaille que vaille, coûte que coûte, la mort dans l'âme, la fleur au fusil, les yeux brillants portant au loin, les cheveux dans le vent, le palpitant empli d'espoir, le port altier, le regard profond, les mains frémissantes et le corps en alerte, d'avoir l'incommensurable courage et impétuosité de s'engager fermement et résolument à s'avancer vers son destin et vers la Zette, afin d'y dire : "Ben t'as qu'à la monter, pisque t'es si maligne !"

 

Ce sur quoi il alla retrouver Donkey et le Roi des Cons qui faisaient une belote tandis que Mario se bouffait des tonneaux, convaincu qu'il était dans sa démence que sa vie se résumait en une vaste croisade anti-tonnelière dans le but express de sauver un max de gonzesses.

 

C'est alors que soudain...

[O.Fournier]

... ne pas réussir à la monter (pas fou, au trop facile nul n'est tenu, disent les héros et autres feignasses maladroites).

 

Exaspéré par tant de labeur infructueux, piqué au vif par les sarcasmes mesquins de la Zette - qui ne trouvait rien de mieux à faire qu'à flagorner paresseusement sur le cadavre en décomposition du R'né qui gisait là, abandonné depuis de trop nombreuses pages - il décida vaille que vaille, coûte que coûte, la mort dans l'âme, la fleur au fusil, les yeux brillants portant au loin, les cheveux dans le vent, le palpitant empli d'espoir, le port altier, le regard profond, les mains frémissantes et le corps en alerte, d'avoir l'incommensurable courage et impétuosité de s'engager fermement et résolument à s'avancer vers son destin et vers la Zette, afin d'y dire : "Ben t'as qu'à la monter, pisque t'es si maligne !"

 

Ce sur quoi il alla retrouver Donkey et le Roi des Cons qui faisaient une belote tandis que Mario se bouffait des tonneaux, convaincu qu'il était dans sa démence que sa vie se résumait en une vaste croisade anti-tonnelière dans le but express de sauver un max de gonzesses.

 

C'est alors que soudain....IGOR les grosses boules (de pétanque), sauvé des pattes des amazones, par on ne sait quel miracle de cette bonne vieille p..... de Nature, mit tout le monde d'accord en remplissant son rôle (enfin c'est une image pudique), puis le rôle suivant, etc... jusqu'à épuisement du max évoqué ci-dessus ...

Modifié le 16 novembre 2007 par O.Fournier