[JALC] Un 2ème jeu débile

[DK-]

Oui, au fait, c'est pour quand ?

Et comment veux-tu que je devine la suite ? Ce n'est pas mon histoire !

Si tu as l'eau à la bouche, alors admets que le Tigrou est cette fois bien mouillé jusqu'au bout des vibrisses, et donc à toi le stylo.

[Dylav]

Le retour fut absolument catastrophique : train détourné de la gare Montparnasse et arrivant avec 3h55 de retard (donc pas de remboursement intégral des titres de transport), attente du bus pendant 25mn, lui-même détourné de son itinéraire habituel par un chantier de rénovation de la chaussée, changement inopiné du code d'ouverture de la porte cochère (45mn pour trouver le numéro d'un autre occupant de l'immeuble), panne non moins inopinée de l'ascenseur (6 étages à monter avec les 5 valises de Zézette), 10mn pour retrouver les clefs au fond du sac de voyage, atmosphère irrespirable à 35° dans l'appartement... bref quelle VDM !

[DK-]

Ça hume bien le vécu cette fois...
Rappel : n'était-il pas question de construire les villes à la campagne car l'air y est plus pur ?
(Allais)
Pour cet air pur, et également contre tous les emm*rdements que tu évoques, plus tous ceux auxquels tu t'es certainement habitué, DK a définitivement choisi la campagne (un truc plein de prés, bois, rivières, veaux vaches cochons couvées et ptits zoiseaux inside... genre Noirmoutier, quoi, mais 12 mois sur 12... )


Tiens d'ailleurs ! La cOmpagne n'y serait-elle pas mieux lotie ?
Tu lui en touches deux (ou trois) mots, à ta Zette ?

[Dylav]

En fait, tout ceci n'était que pure invention ! Des déboires réservés aux classes laborieuses...

En réalité, la Zézette et son Tigrou rejoignirent sans encombre la capitale à bord de leur cabriolet Jaguar XK 150 — modèle 1961, délicieusement suranné — qui avait fait craquer Zézette lorsqu'il l'avait klaxonnée sur un passage piétons de l'avenue Montaigne. Méthode certes cavalière d'aborder une jolie femme, mais qui s'était avérée fructueuse au-delà même de toute espérance.



Un vent coquin sema quelque désordre dans la chevelure de la belle... ce qui ne manqua pas d'ajouter encore à son charme. Lors d'un arrêt dont nous tairons pudiquement les raisons, elle se prêta volontiers et néanmoins ingénument à une séance de pose dans une contrée verdoyante du cher pays de notre enfance.



Mais foin de tout ceci, ils regagnèrent rapidement Paris grâce au puissant moteur de leur véhicule automobile à conduite intérieure (ils devaient ce jour-là être bénis des dieux car, plus souvent qu'il n'eût été raisonnable, ils poussèrent des pointes de vitesse que la maréchaussée aurait sévèrement réprimées). Et c'est avec un plaisir non dissimulé que Zézette retrouva son nid douillet...



Je me demande si je ne vais pas postuler pour une place de pigiste chez Confidences ou Nous deux...

[anthome_vedene]

Bonjour Tigrou,

Je suis Jo, le frère de Zette.
@ Jocko : si tu venais à passer par là, ne te méprends pas : je sais pertinemment que tu ne peux être notre Jocko, puisque nous l'avons depuis très longtemps ramené dans sa jungle natale, où il coule des jours heureux avec Cheetah et où ils ont organisé, avec leur nombreuse descendance, la guérilla contre les braconniers.
Mais là, je m'égare... de l'Ouest.
Il me semble comprendre à travers ton récit, parfois à demi-mots mais souvent à mots entiers, qu'elle ne te laisse pas indifférent. J'ai tenté, en vain, de sonder son cœur à propos de ta personne. Aussi me décidé-je à te poser la question qui taraude mon esprit et me brûle les lèvres : d'homme à homme, peux-tu me dire quelles sont tes intentions à son égard ?

[DK-]

Et c'est avec un plaisir non dissimulé que Zézette retrouva son nid douillet...

Et les jours suivant s'écoulèrent sans accroc, jusqu'à ce beau matin d'octembre où, se lamentant sur de sombres considérations météo, le Tiger décacheta un pli intriguant, et chaussant ses lunettes, il lut :

 

Bonjour Tigrou,

Je suis Jo, le frère de Zette.
Il me semble comprendre à travers ton récit, parfois à demi-mots mais souvent à mots entiers, qu'elle ne te laisse pas indifférent. J'ai tenté, en vain, de sonder son cœur à propos de ta personne. Aussi me décidé-je à te poser la question qui taraude mon esprit et me brûle les lèvres : d'homme à homme, peux-tu me dire quelles sont tes intentions à son égard ?

 

Après une courte réflexion, il affuta son plus beau clavier pour répondre en ces mots...

[Dylav]

Dois-je continuer à le faire façon roman-photo de Nous Deux ?

[anthome_vedene]

Oh, petit ! C'est comme ça que tu parles de ma sœur ! Comme d'une radasse de Nous Deux ? Tu te moques de moi ? Moi, je viens te voir, je te parle d'homme à homme, et toi tu méprises MA SŒUR ??
Ce que je ne t'ai pas dit, c'est que mon prénom, c'est Ghjiseppu, et avec mes frères Ange, Battistu, Pasquale et Matteu, on n'a pas l'habitude de laisser notre petite sœur se faire rouler dans la farine par un Bellâtre qui n'a même pas le courage de me regarder en face... Oh, je te parle !!
Tu l'auras voulu : je t'attends sur le pré, demain... à 16 heures, après ma sieste. Viens avec deux témoins, ils feront l'apéro avec nous après que je t'aie réglé ton compte !!!

 

 

 

 

À Édith : petite correction de pinsute (déjà...)

 

2nd édit : mise en italique du pinsute ci-dessus (ah, le français, pardon le pinsute, quand on le regarde depuis l'Île de Beauté, c'est tout de suite beaucoup plus compliqué...)

Modifié le 15 octobre 2017 par anthome_vedene

[DK-]

Explosée !

 

Il ne manque que l'accent...

Dylav, viiiite la suite....

[Dylav]

Nan nan nan, j'ai trop peur...