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Dylav

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Tout ce qui a été posté par Dylav

  1. ... bon, je mets tout à la poubelle, tant pis !
  2. ........ danger .........
  3. ........ danger .........
  4. En toute sincérité, Fifi, nous n'avions pas l'intention de t'en laisser...
  5. ... maigreur ...
  6. Allez, je ne peux plus me retenir ! Voici un second indice, ...et, Coolman, j'ajoute que ce film date du millénaire dernier !
  7. Parler pour ne rien dire Mesdames et messieurs, je vous signale tout de suite que je vais parler pour ne rien dire. Oh, je sais ! Vous pensez : "S'il n'a rien à dire... il ferait mieux de se taire !" Evidemment ! Mais c'est trop facile ! ... C'est trop facile ! Vous voudriez que je fasse comme tout ceux qui n'ont rien à dire et qui le gardent pour eux ? Eh bien, non ! Mesdames et messieurs, moi, lorsque je n'ai rien à dire, je veux qu'on le sache ! Je veux en faire profiter les autres ! Et si, vous-mêmes, mesdames et messieurs, vous n'avez rien à dire, eh bien, on en parle, on en discute ! Je ne suis pas ennemi du colloque. Mais, me direz-vous, si on en parle pour ne rien dire, de quoi allons-nous parler ? Eh bien, de rien ! De rien ! Car rien... ce n'est pas rien ! La preuve c'est qu'on peut le soustraire. Exemple : rien moins rien = moins que rien ! Si l'on peut trouver moins que rien c'est que rien vaut déjà quelque chose ! On peut acheter quelque chose avec rien ! En le multipliant, Une fois rien, c'est rien. Deux fois rien, ce n'est pas beaucoup ! Mais trois fois rien ! Pour trois fois rien, on peut déjà acheter quelque chose... et pour pas cher ! Maintenant, si vous multipliez trois fois rien par trois fois rien : Rien multiplié par rien = rien. Trois multiplié par trois = neuf. Cela fait rien de neuf ! Oui... ce n'est pas la peine d'en parler ! Bon ! Parlons d'autres choses ! Parlons de la situation, tenez ! Sans préciser laquelle ! Si vous le permettez, je vais faire brièvement l'historique de la situation, quelle qu'elle soit ! Il y a quelques mois, souvenez-vous la situation pour n'être pas pire que celle d'aujourd'hui n'en était pas meilleure non plus ! Déjà, nous allions vers la catastrophe et nous le savions... nous en étions conscients ! Car il ne faudrait pas croire que les responsables d'hier étaient plus ignorants de la situation que ne le sont ceux d'aujourd'hui ! Oui ! La catastrophe, nous le pensions, était pour demain ! C'est-à-dire qu'en fait elle devait être pour aujourd'hui ! Si mes calculs sont justes ! Or, que voyons-nous aujourd'hui ? Qu'elle est toujours pour demain ! Alors, je vous pose la question, mesdames et messieurs : Est-ce en remettant toujours au lendemain la castastrophe que nous pourrions faire le jour même que nous l'éviterons ? D'ailleurs, je vous signale entre parenthèses que si le gouvernement actuel n'est pas capable d'assurer la catastrophe, il est possible que l'opposition s'en empare ! © Raymond Devos J'éprouve une admiration insondable pour la manière dont il manie la langue française, et je tenais à vous en faire profiter... Le regretté Boby Lapointe savait lui aussi tirer parti des consonnances inhabituelles de certaines associations de mots. Je n'ai rien à ajouter... pour le moment
  8. ... amour
  9. canard aux clémentines Qu'est-ce que j'ai dit, moi ?
  10. ... zinc
  11. En même temps j'ai envie de dire, Scuny, depuis le temps qu'il traîne ses guêtres sur le Zéb., le Fifi, il doit être plutôt indigeste...
  12. Je sens que vous allez me demander un second indice photographique...
  13. ... bière ... à la vôtre
  14. cailloux > calculs > reins (chute de... Ah, Monica !) Pour Fifi : tu nous a sortis de l'inquiétante impasse vaseline, mais l'enchaînement gravier, pas comprite !
  15. Loin de moi l'intention d'excuser le comportement d'un jeune c** qui a cru que tout lui était permis parce qu'il avait réussi à juguler son acné. Mais je crains que tes propos, Athos, même s'ils ne dépassent pas ta pensée, ne soient pas excusables non plus. Quel que puisse être un préjudice, et Dieu sait si nous sommes sensibles à ceux que subissent des innocents non blindés contre les aléas de la vie (mais qui, soit dit en passant, ne sont certainement pas mieux vécus plus tard), il n'est pas acceptable d'envisager de se faire brutalement justice soi-même. En tout cas d'en manifester clairement l'intention dans un audience publique, comme par exemple sur un forum. C'est trop inévitablement ouvrir la voie à d'autres radicalismes, comme ceux que prônent ouvertement les groupes extrémistes, que ce soit au niveau politique ou religieux (attention à la charte du Zéb., Dylav, referme cette parenthèse). J'ai déjà écrit plus haut dans ce topic que, honnêtement, j'ignorais comment je réagirais si le cas se présentait pour moi en tant que père. Mais, sans hypocrisie, je me dois de présumer que devant une telle éventualité j'aurai la force de respecter la loi et de confier le problème à la justice.
  16. ... NOVA
  17. Tu vas rire... enfin, pas sûr ! Ce film est réputé "britannique, américain" [sic] (je pourrai bien entendu te citer ma source) Une autre question, s'il vous plaît ?
  18. Facks ! Je t'avais pourtant demandé de couper le courant... il est survolté, ce garçon !
  19. Moi, ça n'aurait pas pu m'arriver, je bois du café... mais j'adore le NUTELLA ! Oups, la situation a évolué, j'avais oublié de tourner la page ! Sofy
  20. Le fait que ton topic ait été relativement peu lu provient à mon avis, de ses titre et sous-titre, pas véritablement accrocheurs dans le contexte du JRAD, de ton post d'ouverture, où l'on perçoit quelque chose, mais où tu ne dévoiles rien, d'où probablement le désintérêt du lecteur moyen, peu attentif quand ça ne percute pas : nous avons été mal habitués par les médias, qui traquent systématiquement le sensationnel immédiat au détriment des problèmes de fond. Il suffit d'observer la structure et le contenu d'un journal télévisé. J'ai lu quelque part que les 30 minutes du 20 heures de n'importe quelle chaîne occuperaient, à l'écrit, un quart de page du quotidien Le Monde ! Impressionnant, non ? Je te remercie pour ton appréciation, à laquelle je m'efforcerai de faire honneur, si possible en toute circonstance.
  21. Tu ferais mieux de couper le courant, Facks ! Tu vas nous faire de l'hypertension, et péter les plombs...
  22. ... charpentierMarie > Joseph > ...
  23. ... la haieRéférence au procès international de La Haye... il faut dire, Arfing, qu'il n'était pas facile d'enchaîner, avec toi !
  24. [note_du_narrateur] Je m'aperçois que j'ai omis de vous relater que la Zézette, contrairement à ce que les premiers développements de son histoire auraient pu vous faire accroire (non, je n'ai pas l'intention de vous parler ici des émouvants changements subis par son corps au moment de la puberté), n'était pas fille unique. De ses parents, elle avait hérité une grande soeur qu'ils avaient malencontreusement prénommée Armelle (enfin, c'est mon avis, que voulez-vous, non pas que je déteste ce prénom, mais l'Armelle n'avait absolument pas une tête d'Armelle). Et l'Armelle, grande fille simple, avait subi plus que suivi de longues années de collège et de lycée qui lui avaient néanmoins permis d'obtenir, au grand soulagement de ses parents, un baccalauréat sans gloire, mais en bonne et due forme. Ayant depuis longtemps acquis la certitude qu'elle se serait fourvoyée en poursuivant des études qui ne parvenaient pas à la rattraper (n'avez-vous pas remarqué, lorsque vous vous coursez autour d'un arbre, que le poursuivant peut devenir le poursuivi alors que, éventuellement, le poursuivi devient le poursuivant et que, pour compliquer les choses, il arrive souvent que ce soit réciproque, et vice versa dans les deux sens), l'Armelle avait trouvé un modeste mais honorable emploi dans le commerce de détail. Disposant désormais de moyens financiers (d'autant plus confortables qu'elle continuait à vivre chez ses parents), elle ne pouvait cependant que s'avouer qu'elle était rongée par l'ennui (la différence d'âge avec sa jeune soeur était trop grande pour qu'elles se découvrent des intérêts communs), et décida de s'offrir des distractions de son âge. Elle fit l'acquisition de quelques fringues branchées au magasin La Halle de la petite ville la plus proche, qu'elle osa enfiler le samedi soir pour s'encanailler aux bals-parquet de la région. Plutôt saine et bien formée, et particulièrement mise en valeur par ses tenues un tantinet affriolantes, elle eut tôt fait d'être remarquée par un grand gaillard placide qui avait tendance à s'embêter ferme dans ce type de soirées où l'entraînait, un peu à son corps défendant, une bande de potes relativement allumés. Lequel doux géant était également un grand timide, qui mit cinq semaines à se décider à aborder la belle plante qui osait lui décocher de discrets sourires lorsqu'elle s'imaginait qu'il ne la regardait pas. Ce fut tout de suite un sage grand amour, qui se conclut naturellement six mois plus tard par un mariage fort réussi dont tout le monde au village se promit qu'on ne l'oublierait pas de sitôt. Moins d'un an plus tard, notre Zézette était tata, et aussitôt désignée marraine d'un adorable petit Ferdinand (ce prénom lui avait été attribué d'autorité par sa grand-mère Suzanne, en souvenir de feu son époux bien-aimé) promis, comme son père Michel, aux durs métiers de l'agriculture. [/note_du_narrateur] Vous excuserez cette parenthèse un peu longue (dont les derniers événements dataient de huit ans déjà), destinée à vous présenter le turbulent galopin dont Zézette avait hérité pour l'été, et dont elle avait quelque mal à se faire obéir. - "Ferdinand, c'est bientôt l'heure du dîner, veux-tu bien ranger tout de suite ces horribles petits jouets qui puent et salissent le carrelage de la cuisine. Et veux-tu bien libérer immédiatement les quatre pauvres poussins qui gigotent dans ce cube de papier, et que l'Arsène épie d'un oeil torve !" - "Mais, marraine, je jouais à l'invasion des aliens amphibies de Matchnikor..." - "Pas de mais, tu ranges ton jeu dans sa boîte, tu remets les poussins dans la couveuse, tu files te laver les mains et..."
  25. Non point, Mariolink.
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