[Aparté pour Squirrel] D'homme à homme, j'ai enlevé ma casquette,
dis-moi, l'Ecureuil, quand tu dis que tu me cites, arrête d'inventer le contenu,
surtout pour me traiter de dragon de Komodo.
Tu cherches vraiment la bagarre,
rapport à une histoire de traiteur spécialisé dans la cuisson des merguez au barbecue buccal...
Allez, tu l'auras voulu, je publie encore une fois ta photo, celle qui avait tant fait peur à Sylvitara !
[/Aparté pour /Squirrel]
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Et pendant ce temps-là...
Contrairement à ce qu'elle avait craint dans un premier temps, le départ de Luke n'affectait guère Zézette. Elle avait rapidement fait le tour des limites du genre cow-boy rustique, et aspirait finalement à un peu plus de poésie.
C'est donc parfaitement détendue qu'elle se coucha, ce soir-là. Quelques minutes plus tard, elle dormait aussi paisiblement qu'un nouveau-né. Et, en moins de temps qu'il n'en faut à un papillon posé sur une fleur des champs pour battre des ailes, Zézette se retrouva au beau milieu de son rêve préféré.
Celui où elle joue le rôle de la reine Guenièvre, alanguie sur son lit, luttant contre le sommeil qui l'assaille insidieusement. Soudain son coeur bat. Des pas résonnent dans l'antichambre. On toque à sa porte. Elle trouve à peine la force de ramener sur sa gorge les pans de sa robe de chambre. Dans un murmure, elle invite son visiteur à entrer. La porte s'ouvre lentement. Et c'est alors qu'apparaît...
Alors, Sylvitara,c'est mieux comme ça ?